Plusieurs centaines d'habitants du village Tizi n'Ali Slimane ont observé, dans la matinée d'hier, un sit-in devant le siège de l'APC de Bordj Ménaël, à l'est de Boumerdès, en signe de protestation contre les mesures judicaires entamées par les responsables locaux à l'encontre de quatre citoyens de village pour avoir proféré des menaces à l'encontre des éboueurs de l'APC. Selon les villageois, des responsables ont déposé une plainte contre ces quatre personnes. Ces jeunes auraient émis des menaces à l'encontre des agents de nettoyage de l'APC pour avoir déversé des ordures ménagères au niveau de la décharge Vachet, fermée depuis plusieurs mois par les villageois. Ils ont réclamé la levée des poursuites judiciaires contre ces quatre jeunes. « Ces jeunes ne doivent pas être poursuivis en justice, car, c'est tout le village qui réclame, depuis plusieurs mois, le transfert de la décharge Vachet vers un autre endroit », disent-ils. Ladite décharge a été, rappelons-le, fermée par les villageois en raison des désagréments qu'elle cause à longueur d'année. « Il est très difficile d'y vivre en été du fait des odeurs nauséabondes qui s'en dégagent », nous dira un villageois. Plusieurs actions de protestation ont été organisées vainement par les villageois afin de faire entendre leur revendication concernant le transfért de ladite décharge. Ils ont décidé d'interdire le jet des déchets ménagers et autres déblais et détritus. Depuis, l'APC est confrontée à d'énormes difficultés pour décharger les ordures de la ville. C'est les décharges des Issers, de Legata et de Chabet El-Ameur que les services de l'APC utilisent momentanément. En milieu de la journée d'hier, une délégation de protestataires a été reçue par des responsables locaux afin de tenter de trouver une issue favorable à ce problème qui n'a que trop durer. Plusieurs centaines d'habitants du village Tizi n'Ali Slimane ont observé, dans la matinée d'hier, un sit-in devant le siège de l'APC de Bordj Ménaël, à l'est de Boumerdès, en signe de protestation contre les mesures judicaires entamées par les responsables locaux à l'encontre de quatre citoyens de village pour avoir proféré des menaces à l'encontre des éboueurs de l'APC. Selon les villageois, des responsables ont déposé une plainte contre ces quatre personnes. Ces jeunes auraient émis des menaces à l'encontre des agents de nettoyage de l'APC pour avoir déversé des ordures ménagères au niveau de la décharge Vachet, fermée depuis plusieurs mois par les villageois. Ils ont réclamé la levée des poursuites judiciaires contre ces quatre jeunes. « Ces jeunes ne doivent pas être poursuivis en justice, car, c'est tout le village qui réclame, depuis plusieurs mois, le transfert de la décharge Vachet vers un autre endroit », disent-ils. Ladite décharge a été, rappelons-le, fermée par les villageois en raison des désagréments qu'elle cause à longueur d'année. « Il est très difficile d'y vivre en été du fait des odeurs nauséabondes qui s'en dégagent », nous dira un villageois. Plusieurs actions de protestation ont été organisées vainement par les villageois afin de faire entendre leur revendication concernant le transfért de ladite décharge. Ils ont décidé d'interdire le jet des déchets ménagers et autres déblais et détritus. Depuis, l'APC est confrontée à d'énormes difficultés pour décharger les ordures de la ville. C'est les décharges des Issers, de Legata et de Chabet El-Ameur que les services de l'APC utilisent momentanément. En milieu de la journée d'hier, une délégation de protestataires a été reçue par des responsables locaux afin de tenter de trouver une issue favorable à ce problème qui n'a que trop durer.