Prudence si vous envisagez un tatouage au henné. Usage ancestral, teinture naturelle, rien n'est moins sûr ! Un produit d'usage très courant dans l'industrie est souvent ajouté au henné. Celui-ci est susceptible de provoquer des allergies à vie. Prudence si vous envisagez un tatouage au henné. Usage ancestral, teinture naturelle, rien n'est moins sûr ! Un produit d'usage très courant dans l'industrie est souvent ajouté au henné. Celui-ci est susceptible de provoquer des allergies à vie. Le responsable : La paraphénylène diamine Les tatouages au henné semi-permanents, c'est-à-dire censés disparaître dans les 15 jours suivant leur réalisation, comportent un risque d'eczéma retardé. La zone tatouée enfle, rougit, des démangeaisons apparaissent et un eczéma de contact vient prendre la forme du motif initialement tatoué. Le plus embêtant est que cette allergie peut conduire à une hyper-sensibilisation à vie. Cette réaction est due à un agent colorant, le paraphénylène diamine (PPD), qui est ajouté au henné afin de renforcer la teinte et sa fixation sur la peau. Le problème est qu'il est employé à des concentrations bien trop élevées. En effet, cette substance utilisée couramment dans l'industrie comme colorant textile ou dans les teintures capillaires est habituellement bien tolérée à un taux maximal de 6%. Ainsi, une fois sensibilisé à un excès de PPD, on devient allergique à toutes les teintures contenant ce produit, même à la concentration autorisée et même à certains vêtements teintés avec ce colorant, comme les jeans. L'eczéma réapparaîtra à chaque nouveau contact.Méfiez-vous des tatouages aux couleurs très foncées. La teinte normale du tatouage au henné varie du marron à l'orange. Par ailleurs, la chaleur et l'humidité l'estompent rapidement.Renseignez-vous sur la composition du henné et plus précisément sur sa teneur en PPD, dont le taux doit être inférieur ou égal à 6%. Il est également intéressant de demander le nom et le numéro de lot du produit employé, des informations très utiles en cas de sensibilisation. Le tatoueur étant rarement en mesure de vous fournir ce type de données, mieux vaut s'abstenir. Evidement, ces tatouages ne doivent jamais être réalisés sur des enfants. Le responsable : La paraphénylène diamine Les tatouages au henné semi-permanents, c'est-à-dire censés disparaître dans les 15 jours suivant leur réalisation, comportent un risque d'eczéma retardé. La zone tatouée enfle, rougit, des démangeaisons apparaissent et un eczéma de contact vient prendre la forme du motif initialement tatoué. Le plus embêtant est que cette allergie peut conduire à une hyper-sensibilisation à vie. Cette réaction est due à un agent colorant, le paraphénylène diamine (PPD), qui est ajouté au henné afin de renforcer la teinte et sa fixation sur la peau. Le problème est qu'il est employé à des concentrations bien trop élevées. En effet, cette substance utilisée couramment dans l'industrie comme colorant textile ou dans les teintures capillaires est habituellement bien tolérée à un taux maximal de 6%. Ainsi, une fois sensibilisé à un excès de PPD, on devient allergique à toutes les teintures contenant ce produit, même à la concentration autorisée et même à certains vêtements teintés avec ce colorant, comme les jeans. L'eczéma réapparaîtra à chaque nouveau contact.Méfiez-vous des tatouages aux couleurs très foncées. La teinte normale du tatouage au henné varie du marron à l'orange. Par ailleurs, la chaleur et l'humidité l'estompent rapidement.Renseignez-vous sur la composition du henné et plus précisément sur sa teneur en PPD, dont le taux doit être inférieur ou égal à 6%. Il est également intéressant de demander le nom et le numéro de lot du produit employé, des informations très utiles en cas de sensibilisation. Le tatoueur étant rarement en mesure de vous fournir ce type de données, mieux vaut s'abstenir. Evidement, ces tatouages ne doivent jamais être réalisés sur des enfants.