De plus en plus nombreux, les Algériens, du moins ceux qui ont les moyens, se tournent vers les écoles privées pour l'éducation de leurs enfants. Des écoles privées qui voient leur nombre s'accroître au fil des ans et cette tendance s'inscrit dans la durée. Elles sont au total 179 réparties à travers 16 wilayas du pays. Le chiffre a été révélé, jeudi, par le ministre de l'Education nationale, Boubekeur Benbouzid, en réponse à une question d'un membre de l'Assemblée populaire nationale (APN) sur la réglementation de l'ouverture, de la gestion et du contrôle des établissements éducatifs privés, lors d'une séance plénière. Selon le ministre, le nombre de ces établissements augmentait d'année en année, passant de 119 écoles privées en 2008 à 179 écoles en 2010. Il estime le nombre d'élèves scolarisés dans ces établissements à 31.661, tous paliers confondus. Le premier responsable du secteur donne quelques indications sur l'implantation géographique de ces établissements. Alger est en tête avec 112 écoles, suivie de Tizi Ouzou avec 13 écoles et Oran avec 9 écoles. Les autres sont éparpillés dans d'autres régions du pays. Selon Benbouzid, l'ouverture de ces écoles privées est passée par trois étapes sur les plans législatif et réglementaire. La première étape a été marquée par la modification de l'ordonnance 76-35 du 16 avril 1976 portant organisation de l'éducation et de la formation, par une ordonnance promulguée en 2003, la fin du monopole de l'Etat sur l'ouverture d'établissements privés d'enseignement, et la promulgation, en 2004, d'un décret exécutif obligeant ces établissements à se mettre en conformité avant la rentrée scolaire 2005-2006. La deuxième étape, elle, a été marquée par la promulgation de l'ordonnance 05-07 du 23 août 2005 fixant les règles générales qui régissent l'enseignement au sein des établissements privés et la promulgation d'un autre décret définissant les règles de création, d'ouverture et de contrôle de ces établissements. La troisième et dernière étape, a précisé le ministre, a été marquée par la promulgation de la loi d'orientation de l'Education nationale N° 08-04 du 23 janvier 2008 qui consacre les articles 57 à 65 du cinquième chapitre du titre III aux établissements privés d'enseignement. Pour Benbouzid, les textes d'application relatifs à ces établissements qui précèdent cette loi « ne diffèrent pas des dispositions de la loi d'orientation relative et ne la contredisent pas », et ces textes, a-t-il souligné, demeureront en vigueur jusqu'à la promulgation du texte réglementaire en application de l'article 57 de la loi d'orientation parmi les textes d'application de cette loi, dont 4 décrets exécutifs ont été promulgués à ce jour. Evoquant le régime indemnitaire du personnel de l'éducation, Boubekeur Benbouzid réitère l'exclusion des fonctionnaires des services économiques des indemnités de documentation et d'expérience pédagogique soulignant que la question « est tributaire des missions et de nature du travail accompli par le fonctionnaire. Ces deux indemnités sont attribuées sur la base des missions purement éducatives et pédagogiques », a-t-il observé, précisant qu' « elles ne relèvent aucunement de la compétence des services économiques ». Pour lui, « ces indemnité, ne sont attribuées qu'aux corps chargés de missions pédagogiques, et ce, conformément aux dispositions du décret exécutif 78-10 du 24 février 2010 instituant le régime indemnitaire au profit des personnels de l'éducation nationale» et il insiste que le fait que la hausse des salaires au profit des personnels des services économiques était conséquente par rapport à ce qu'ils percevaient avant. De plus en plus nombreux, les Algériens, du moins ceux qui ont les moyens, se tournent vers les écoles privées pour l'éducation de leurs enfants. Des écoles privées qui voient leur nombre s'accroître au fil des ans et cette tendance s'inscrit dans la durée. Elles sont au total 179 réparties à travers 16 wilayas du pays. Le chiffre a été révélé, jeudi, par le ministre de l'Education nationale, Boubekeur Benbouzid, en réponse à une question d'un membre de l'Assemblée populaire nationale (APN) sur la réglementation de l'ouverture, de la gestion et du contrôle des établissements éducatifs privés, lors d'une séance plénière. Selon le ministre, le nombre de ces établissements augmentait d'année en année, passant de 119 écoles privées en 2008 à 179 écoles en 2010. Il estime le nombre d'élèves scolarisés dans ces établissements à 31.661, tous paliers confondus. Le premier responsable du secteur donne quelques indications sur l'implantation géographique de ces établissements. Alger est en tête avec 112 écoles, suivie de Tizi Ouzou avec 13 écoles et Oran avec 9 écoles. Les autres sont éparpillés dans d'autres régions du pays. Selon Benbouzid, l'ouverture de ces écoles privées est passée par trois étapes sur les plans législatif et réglementaire. La première étape a été marquée par la modification de l'ordonnance 76-35 du 16 avril 1976 portant organisation de l'éducation et de la formation, par une ordonnance promulguée en 2003, la fin du monopole de l'Etat sur l'ouverture d'établissements privés d'enseignement, et la promulgation, en 2004, d'un décret exécutif obligeant ces établissements à se mettre en conformité avant la rentrée scolaire 2005-2006. La deuxième étape, elle, a été marquée par la promulgation de l'ordonnance 05-07 du 23 août 2005 fixant les règles générales qui régissent l'enseignement au sein des établissements privés et la promulgation d'un autre décret définissant les règles de création, d'ouverture et de contrôle de ces établissements. La troisième et dernière étape, a précisé le ministre, a été marquée par la promulgation de la loi d'orientation de l'Education nationale N° 08-04 du 23 janvier 2008 qui consacre les articles 57 à 65 du cinquième chapitre du titre III aux établissements privés d'enseignement. Pour Benbouzid, les textes d'application relatifs à ces établissements qui précèdent cette loi « ne diffèrent pas des dispositions de la loi d'orientation relative et ne la contredisent pas », et ces textes, a-t-il souligné, demeureront en vigueur jusqu'à la promulgation du texte réglementaire en application de l'article 57 de la loi d'orientation parmi les textes d'application de cette loi, dont 4 décrets exécutifs ont été promulgués à ce jour. Evoquant le régime indemnitaire du personnel de l'éducation, Boubekeur Benbouzid réitère l'exclusion des fonctionnaires des services économiques des indemnités de documentation et d'expérience pédagogique soulignant que la question « est tributaire des missions et de nature du travail accompli par le fonctionnaire. Ces deux indemnités sont attribuées sur la base des missions purement éducatives et pédagogiques », a-t-il observé, précisant qu' « elles ne relèvent aucunement de la compétence des services économiques ». Pour lui, « ces indemnité, ne sont attribuées qu'aux corps chargés de missions pédagogiques, et ce, conformément aux dispositions du décret exécutif 78-10 du 24 février 2010 instituant le régime indemnitaire au profit des personnels de l'éducation nationale» et il insiste que le fait que la hausse des salaires au profit des personnels des services économiques était conséquente par rapport à ce qu'ils percevaient avant.