Le président de la Haute Autorité de Transition (HAT) malgache, Andry Rajoelina, a officiellement promulgué, hier à Antananarivo, la Constitution de la 4e République de Madagascar, adoptée lors du référendum constitutionnel organisé en novembre dernier dans le pays, ont rapporté des médias. La promulgation de cette Constitution et la mise en place de la 4e République, intervient cinq jours après l'annonce des résultats officiels du référendum du 17 novembre par le président de la Haute Cour Constitutionnelle (HCC), Michel Rajaonarivony. Selon le président de la HCC, 2.657.962 sur les 3.761.977 votants (74,19%) ont approuvé la nouvelle Constitution. Le nombre d'électeurs a été de 7.151.223 et le taux de participation est de 52,61%. Selon la HAT, ce référendum est destiné à sortir l'île de Madagascar de la crise politique qu'elle traverse depuis le mouvement de contestation populaire emmené début 2009 par l'ex-maire d'Antananarivo Andry Rajoelina, qui a débouché sur le départ forcé du président M. Marc Ravalomanana, aujourd'hui en exil en Afrique du Sud. Le président de la Haute Autorité de Transition (HAT) malgache, Andry Rajoelina, a officiellement promulgué, hier à Antananarivo, la Constitution de la 4e République de Madagascar, adoptée lors du référendum constitutionnel organisé en novembre dernier dans le pays, ont rapporté des médias. La promulgation de cette Constitution et la mise en place de la 4e République, intervient cinq jours après l'annonce des résultats officiels du référendum du 17 novembre par le président de la Haute Cour Constitutionnelle (HCC), Michel Rajaonarivony. Selon le président de la HCC, 2.657.962 sur les 3.761.977 votants (74,19%) ont approuvé la nouvelle Constitution. Le nombre d'électeurs a été de 7.151.223 et le taux de participation est de 52,61%. Selon la HAT, ce référendum est destiné à sortir l'île de Madagascar de la crise politique qu'elle traverse depuis le mouvement de contestation populaire emmené début 2009 par l'ex-maire d'Antananarivo Andry Rajoelina, qui a débouché sur le départ forcé du président M. Marc Ravalomanana, aujourd'hui en exil en Afrique du Sud.