Les trois mis en cause ont été condamnés à deux mois de prison avec sursis. Les prévenus, originaires du village d'Ath Atteli, ont comparu devant le tribunal correctionnel de Larbaâ Nath Irathen, dans la wilaya de Tizi-Ouzou. « L'ouverture de lieu de culte sans l'autorisation de la commission nationale des cultes autres que musulman » est le chef d'accusation principal retenu contre eux. Les trois mis en cause ont été condamnés à deux mois de prison avec sursis. Les prévenus, originaires du village d'Ath Atteli, ont comparu devant le tribunal correctionnel de Larbaâ Nath Irathen, dans la wilaya de Tizi-Ouzou. « L'ouverture de lieu de culte sans l'autorisation de la commission nationale des cultes autres que musulman » est le chef d'accusation principal retenu contre eux. Le verdict dans l'affaire des quatre citoyens de confession chrétienne dans la région de Larbaâ Nath Irathen a été rendu public, hier, par le tribunal correctionnel de l'ex-Fort National. Ainsi, le propriétaire du local ayant servi de lieu de culte a écopé de trois mois de prison avec sursis assortis de 10.000 DA d'amende. Ce dernier a été aussi accusé d'avoir hébergé une personne de nationalité étrangère sans autorisation préalable de la part des autorités concernées. Les trois autres mis en cause ont été condamnés à deux mois de prison avec sursis. Pour rappel, le procureur de la République avait demandé, au cours du procès qui a été renvoyé à deux reprises, la peine d'une année de prison ferme dans son réquisitoire. Le jour du procès a connu une mobilisation égale à celles enregistrées lors de procès similaires mettant en cause des chrétiens ou des non jeuneurs. Lors de leur comparution dans cette affaire, les accusés ont révélé qu'ils avaient introduit une demande officielle auprès de l'association de l'Eglise protestante d'Algérie en 2006. Ils ont bien reçu un récépissé de dépôt, mais n'ont jamais eu de réponse positive ou négative. Les quatre accusés ont agi sur la base du récépissé en question. Les prévenus dans cette affaire, originaires du village d'Ath Atteli, ont comparu devant le tribunal correctionnel de Larbaâ Nath Irathen, dans la wilaya de Tizi-Ouzou. « L'ouverture de lieu de culte sans l'autorisation de la commission nationale des cultes autres que musulman » est le chef d'accusation principal retenu contre eux. L'affaire en question a fait suite au lancement d'une pétition, initiée par des citoyens de la région qui s'élèvent contre la présence de chrétiens dans leur village. Rappelons que des affaires similaires, ayant trait à des activités de chrétiens protestants, ont été acquittés au terme de leurs procès à l'exemple des chrétiens non jeuneurs de Aïn El-Hammam. Ce genre de procès connait une importante mobilisation de la société civile, de quelques partis politiques comme le Rassemblement pour la culture et la démocratie, le Mouvement démocratique et social, le collectif SOS Libertés et la Ligue algérienne de la défense des droits de l'Homme. C'est l'association l'Eglise protestante d'Algérie, EPE, qui chapeaute la pratique de la religion protestante dans notre pays. Cette dernière est dûment agréée par l'Etat algérien. Le verdict dans l'affaire des quatre citoyens de confession chrétienne dans la région de Larbaâ Nath Irathen a été rendu public, hier, par le tribunal correctionnel de l'ex-Fort National. Ainsi, le propriétaire du local ayant servi de lieu de culte a écopé de trois mois de prison avec sursis assortis de 10.000 DA d'amende. Ce dernier a été aussi accusé d'avoir hébergé une personne de nationalité étrangère sans autorisation préalable de la part des autorités concernées. Les trois autres mis en cause ont été condamnés à deux mois de prison avec sursis. Pour rappel, le procureur de la République avait demandé, au cours du procès qui a été renvoyé à deux reprises, la peine d'une année de prison ferme dans son réquisitoire. Le jour du procès a connu une mobilisation égale à celles enregistrées lors de procès similaires mettant en cause des chrétiens ou des non jeuneurs. Lors de leur comparution dans cette affaire, les accusés ont révélé qu'ils avaient introduit une demande officielle auprès de l'association de l'Eglise protestante d'Algérie en 2006. Ils ont bien reçu un récépissé de dépôt, mais n'ont jamais eu de réponse positive ou négative. Les quatre accusés ont agi sur la base du récépissé en question. Les prévenus dans cette affaire, originaires du village d'Ath Atteli, ont comparu devant le tribunal correctionnel de Larbaâ Nath Irathen, dans la wilaya de Tizi-Ouzou. « L'ouverture de lieu de culte sans l'autorisation de la commission nationale des cultes autres que musulman » est le chef d'accusation principal retenu contre eux. L'affaire en question a fait suite au lancement d'une pétition, initiée par des citoyens de la région qui s'élèvent contre la présence de chrétiens dans leur village. Rappelons que des affaires similaires, ayant trait à des activités de chrétiens protestants, ont été acquittés au terme de leurs procès à l'exemple des chrétiens non jeuneurs de Aïn El-Hammam. Ce genre de procès connait une importante mobilisation de la société civile, de quelques partis politiques comme le Rassemblement pour la culture et la démocratie, le Mouvement démocratique et social, le collectif SOS Libertés et la Ligue algérienne de la défense des droits de l'Homme. C'est l'association l'Eglise protestante d'Algérie, EPE, qui chapeaute la pratique de la religion protestante dans notre pays. Cette dernière est dûment agréée par l'Etat algérien.