L'Algérie recèle d'importantes quantités d'énergie solaire, notamment dans le sud du pays où le soleil brille plus de 3.200 heures par an, d'où les nombreuses opportunités de mener à bien des projets de partenariat gagnant-gagnant avec des firmes allemandes spécialisées dans les énergies renouvelables. L'Algérie recèle d'importantes quantités d'énergie solaire, notamment dans le sud du pays où le soleil brille plus de 3.200 heures par an, d'où les nombreuses opportunités de mener à bien des projets de partenariat gagnant-gagnant avec des firmes allemandes spécialisées dans les énergies renouvelables. La révolution verte des énergies renouvelables qui est le corollaire des énergies fossiles, pour ne pas dire la substitution, vise notamment à diversifier les sources d'énergie en Algérie. Mais, il a fallu la visite du Président Bouteflika à Berlin et la rencontre avec la chancelière allemande Angela Merkel pour redynamiser le projet ‘'Desertec'' et afficher la volonté de l'Etat de se lancer, résolument, dans le développement de ces sources d'énergie inépuisables, propres et non polluantes, le solaire, l'éolien et le photovoltaïque. L'Algérie recèle d'importantes quantités d'énergie solaire, notamment dans le sud du pays où le soleil brille plus de 3.200 heures par an, d'où les nombreuses opportunités de mener à bien des projets de partenariat gagnant-gagnant avec des firmes allemandes spécialisées dans les énergies renouvelables. D'ores et déjà, la politique de développement dans ce secteur commence à porter ses fruits sachant qu'un projet de ferme éolienne en Algérie est en cours de réalisation avec l'ouverture des plis des offres commerciales, prévue aujourd'hui, par la compagnie nationale d'engineering de l'électricité et du gaz. Cela concerne la première ferme éolienne d'une puissance globale de 10 mégawatts qui sera réalisée dans la région d'Adrar. Pour la concrétisation de ce projet ambitieux dont l'Algérie a tracé, selon le ministre de l'Energie et des mines, Youcef Yoiusfi, un programme étalé sur une période de 20 années, quatre entreprises internationales sont retenues pour cette phase commerciale. Il s'agit, en fait, de l'entreprise espagnole COMSA EMTE, le consortium chinois CECIC-CGC, de la firme française Vergnet et enfin du consortium mixte algéro-français SPA CEGELEC SAS. Avec les importantes capacités et les gisements indéniables et insoupçonnés de l'énergie solaire existante dans le désert algérien, l'Algérie peut exporter, selon les statistiques avancées par les experts, plus de 15 % de l'énergie électrique de l'Europe d'ici 40 années. Un intérêt particulier des entreprises allemandes Les entreprises allemandes, très spécialisées dans ce domaine, sont particulièrement intéressées par le projet ‘'Desertec'', et de nombreux opérateurs économique et industriels de land de la Bavière ont déjà visité l'Algérie où ils ont eu des contacts avec des responsables d'entreprises locales versées dans les énergies renouvelables. Néanmoins, des firmes germaniques ne tarderont pas à s'impliquer concrètement dans des projets en Algérie, notamment avec les conventions signées en matière de développement des énergies renouvelables entre les deux pays. Bien que la production actuelle d'énergie éolienne en Algérie est faible avec seulement 0,7 mégawatt, la future ferme éolienne d'Adrar sera, donc, d'une capacité plus de dix fois supérieure (10 mégawatts) avec un investissement financier de l'ordre de 30 millions d'euros. La part de l'énergie éolienne dans la production de l'électricité en Algérie est de 3 % tandis que le solaire est de 5 %. Même les médias étrangers accordent une grande importance au projet ‘'Desertec'' et à la coopération algéro-allemande en ce sens que certains journaux qualifient cette stratégie de nouveau dada et de nouvelle passion de Bouteflika. Celui-ci a notamment indiqué que «nous travaillerons dans les énergies nouvelles à travers un projet colossal que nous allons approfondir d'un commun accord». Le ministre de l'Energie et des Mines renchérit sur cette politique en annonçant récemment le lancement d'un «ambitieux et enthousiaste» projet ayant pour objet essentiel d'augmenter, d'ici 20 ans, la production d'électricité à partir de sources renouvelables et alternatives, à savoir le solaire, l'éolien, le photovoltaïque et le géothermique dont l'engouement des entreprises nationales et internationales est de plus en plus important. Avec cette mise au vert, les projets vont pulluler alors que les emplois directs et indirects seront plus nombreux dans ce nouveau créneau dont les populations nomades du Sud algérien et de l'immense désert sont déjà en train d'utiliser l'énergie solaire comme source d'énergie domestique permanente, puisque les équipements et les technologies solaires utilisées par ces consommateurs sont mobiles (panneaux solaires, dispositif technologique et autres accessoires légers…). Cette source d'énergie peut, notamment, convenir aux régions de l'intérieur du pays, notamment dans les régions montagneuses et les Hauts-Plateaux où la température atteint plus de 38 degrés durant la période estivale. La révolution verte des énergies renouvelables qui est le corollaire des énergies fossiles, pour ne pas dire la substitution, vise notamment à diversifier les sources d'énergie en Algérie. Mais, il a fallu la visite du Président Bouteflika à Berlin et la rencontre avec la chancelière allemande Angela Merkel pour redynamiser le projet ‘'Desertec'' et afficher la volonté de l'Etat de se lancer, résolument, dans le développement de ces sources d'énergie inépuisables, propres et non polluantes, le solaire, l'éolien et le photovoltaïque. L'Algérie recèle d'importantes quantités d'énergie solaire, notamment dans le sud du pays où le soleil brille plus de 3.200 heures par an, d'où les nombreuses opportunités de mener à bien des projets de partenariat gagnant-gagnant avec des firmes allemandes spécialisées dans les énergies renouvelables. D'ores et déjà, la politique de développement dans ce secteur commence à porter ses fruits sachant qu'un projet de ferme éolienne en Algérie est en cours de réalisation avec l'ouverture des plis des offres commerciales, prévue aujourd'hui, par la compagnie nationale d'engineering de l'électricité et du gaz. Cela concerne la première ferme éolienne d'une puissance globale de 10 mégawatts qui sera réalisée dans la région d'Adrar. Pour la concrétisation de ce projet ambitieux dont l'Algérie a tracé, selon le ministre de l'Energie et des mines, Youcef Yoiusfi, un programme étalé sur une période de 20 années, quatre entreprises internationales sont retenues pour cette phase commerciale. Il s'agit, en fait, de l'entreprise espagnole COMSA EMTE, le consortium chinois CECIC-CGC, de la firme française Vergnet et enfin du consortium mixte algéro-français SPA CEGELEC SAS. Avec les importantes capacités et les gisements indéniables et insoupçonnés de l'énergie solaire existante dans le désert algérien, l'Algérie peut exporter, selon les statistiques avancées par les experts, plus de 15 % de l'énergie électrique de l'Europe d'ici 40 années. Un intérêt particulier des entreprises allemandes Les entreprises allemandes, très spécialisées dans ce domaine, sont particulièrement intéressées par le projet ‘'Desertec'', et de nombreux opérateurs économique et industriels de land de la Bavière ont déjà visité l'Algérie où ils ont eu des contacts avec des responsables d'entreprises locales versées dans les énergies renouvelables. Néanmoins, des firmes germaniques ne tarderont pas à s'impliquer concrètement dans des projets en Algérie, notamment avec les conventions signées en matière de développement des énergies renouvelables entre les deux pays. Bien que la production actuelle d'énergie éolienne en Algérie est faible avec seulement 0,7 mégawatt, la future ferme éolienne d'Adrar sera, donc, d'une capacité plus de dix fois supérieure (10 mégawatts) avec un investissement financier de l'ordre de 30 millions d'euros. La part de l'énergie éolienne dans la production de l'électricité en Algérie est de 3 % tandis que le solaire est de 5 %. Même les médias étrangers accordent une grande importance au projet ‘'Desertec'' et à la coopération algéro-allemande en ce sens que certains journaux qualifient cette stratégie de nouveau dada et de nouvelle passion de Bouteflika. Celui-ci a notamment indiqué que «nous travaillerons dans les énergies nouvelles à travers un projet colossal que nous allons approfondir d'un commun accord». Le ministre de l'Energie et des Mines renchérit sur cette politique en annonçant récemment le lancement d'un «ambitieux et enthousiaste» projet ayant pour objet essentiel d'augmenter, d'ici 20 ans, la production d'électricité à partir de sources renouvelables et alternatives, à savoir le solaire, l'éolien, le photovoltaïque et le géothermique dont l'engouement des entreprises nationales et internationales est de plus en plus important. Avec cette mise au vert, les projets vont pulluler alors que les emplois directs et indirects seront plus nombreux dans ce nouveau créneau dont les populations nomades du Sud algérien et de l'immense désert sont déjà en train d'utiliser l'énergie solaire comme source d'énergie domestique permanente, puisque les équipements et les technologies solaires utilisées par ces consommateurs sont mobiles (panneaux solaires, dispositif technologique et autres accessoires légers…). Cette source d'énergie peut, notamment, convenir aux régions de l'intérieur du pays, notamment dans les régions montagneuses et les Hauts-Plateaux où la température atteint plus de 38 degrés durant la période estivale.