A l'issue de la signature du mémorandum, le chef de la diplomatie algérienne a déclaré à la presse que «nous avons convenu d'améliorer, sans cesse, le cadre juridique devant permettre aux opérateurs économiques japonais d'intervenir dans des conditions qui soient meilleures que jamais». A l'issue de la signature du mémorandum, le chef de la diplomatie algérienne a déclaré à la presse que «nous avons convenu d'améliorer, sans cesse, le cadre juridique devant permettre aux opérateurs économiques japonais d'intervenir dans des conditions qui soient meilleures que jamais». La première visite du ministre des Affaires étrangères japonais en Algérie, depuis l'Indépendance, qualifiée par son homologue algérien d'« historique » semble apporter des fruits. En effet, un mémorandum portant sur les consultations politiques entre l'Algérie et le Japon a été signé, hier à Alger, par le ministre des Affaires étrangères, Mourad Medelci et son homologue japonais, Seiji Maehara. A l'issue de la signature du mémorandum, le chef de la diplomatie algérienne a déclaré à la presse : « Nous avons convenu d'améliorer, sans cesse, le cadre juridique devant permettre aux opérateurs économiques japonais d'intervenir dans des conditions qui soient meilleures que jamais ». Précisant que les deux pays se sont engagés pour avoir des consultations « régulières » sur le plan politique. Ce qui permettra, a expliqué le ministre, d'« d'évaluer, à la fois et régulièrement, les relations bilatérales mais également d'échanger les points de vues sur les questions internationales ». En outre, Medelci a indiqué que la réunion a permis aux deux parties d'évoquer, « avec satisfaction des deux côtés, la qualité des relations entre les deux pays dans les domaines de la technologie, de l'énergie, des eaux et de la formation ». Il a, dans ce sens, fait savoir que cet accord vise à consolider les efforts, consentis par les deux pays, et ce, a-t-il ajouté, afin que « le partenariat, dans des domaines très divers en dehors des hydrocarbures, puissent se développer au cours des prochains mois et des prochaines années ». Pour sa part, Seiji Maehara a, estimant que la technologie japonaise pourrait contribuer au développement de l'Algérie, déclaré que « Le gouvernement algérien a annoncé, en mai dernier, le nouveau plan quinquennal qui comprend également les domaines du chemin de fer, des énergies renouvelables et le dessalement de l'eau de mer ». Qualifiant les discussions, entretenues avec son homologue algérien, de « très fructueuses », le chef de la diplomatie japonaise a, à cette occasion, estimé que le comité économique algéro-japonais, créé rappelons-le en 1991, « nécessite le renforcement ». Maehara a également affirmé que l'Algérie connaît une croissance économique « remarquable ». Par ailleurs, le ministre japonais a salué le rôle leader de l'Algérie dans le continent africain. D'autre part, Mourad Medelci a annoncé que la signature du mémorandum sera suivie par la signature, en 2011, de deux accords portant sur la non double imposition et sur la garantie et la promotion réciproque des investissements. La première visite du ministre des Affaires étrangères japonais en Algérie, depuis l'Indépendance, qualifiée par son homologue algérien d'« historique » semble apporter des fruits. En effet, un mémorandum portant sur les consultations politiques entre l'Algérie et le Japon a été signé, hier à Alger, par le ministre des Affaires étrangères, Mourad Medelci et son homologue japonais, Seiji Maehara. A l'issue de la signature du mémorandum, le chef de la diplomatie algérienne a déclaré à la presse : « Nous avons convenu d'améliorer, sans cesse, le cadre juridique devant permettre aux opérateurs économiques japonais d'intervenir dans des conditions qui soient meilleures que jamais ». Précisant que les deux pays se sont engagés pour avoir des consultations « régulières » sur le plan politique. Ce qui permettra, a expliqué le ministre, d'« d'évaluer, à la fois et régulièrement, les relations bilatérales mais également d'échanger les points de vues sur les questions internationales ». En outre, Medelci a indiqué que la réunion a permis aux deux parties d'évoquer, « avec satisfaction des deux côtés, la qualité des relations entre les deux pays dans les domaines de la technologie, de l'énergie, des eaux et de la formation ». Il a, dans ce sens, fait savoir que cet accord vise à consolider les efforts, consentis par les deux pays, et ce, a-t-il ajouté, afin que « le partenariat, dans des domaines très divers en dehors des hydrocarbures, puissent se développer au cours des prochains mois et des prochaines années ». Pour sa part, Seiji Maehara a, estimant que la technologie japonaise pourrait contribuer au développement de l'Algérie, déclaré que « Le gouvernement algérien a annoncé, en mai dernier, le nouveau plan quinquennal qui comprend également les domaines du chemin de fer, des énergies renouvelables et le dessalement de l'eau de mer ». Qualifiant les discussions, entretenues avec son homologue algérien, de « très fructueuses », le chef de la diplomatie japonaise a, à cette occasion, estimé que le comité économique algéro-japonais, créé rappelons-le en 1991, « nécessite le renforcement ». Maehara a également affirmé que l'Algérie connaît une croissance économique « remarquable ». Par ailleurs, le ministre japonais a salué le rôle leader de l'Algérie dans le continent africain. D'autre part, Mourad Medelci a annoncé que la signature du mémorandum sera suivie par la signature, en 2011, de deux accords portant sur la non double imposition et sur la garantie et la promotion réciproque des investissements.