L'opération de régularisation et de mise en conformité des constructions dans la wilaya de Béjaïa "n'arrive pas encore à prendre son envol", a relevé, mercredi, le wali exhortant les services municipaux et ceux relevant de la Direction de l'urbanisme à renforcer leur sensibilisation auprès des citoyens concernés. Intervenant à l'occasion de la tenue d'une journée de vulgarisation de la loi du 20 juillet 2008, fixant les règles de mise en conformité des constructions et leur achèvement, le wali a souligné que depuis l'entrée en vigueur de cette loi, seuls 600 dossiers sont parvenus à la wilaya, dont à peine une soixantaine a été régularisée. "Il n'y a pas d'explication objective pour justifier cette situation", a indiqué le chef de l'exécutif qui appréhende que cet atermoiement provoque un phénomène de bousculade à l'arrivée des délais impartis par ce texte aux concernés pour se mettre en conformité. Par ailleurs, cette situation est de nature à ralentir l'action des services de l'urbanisme, engagés dans une profonde opération d'aménagement et d'amélioration urbains, a-t-on relevé. A titre d'exemple, il a été fait cas particulièrement "de ce qui est supposé être la nouvelle ville de Béjaïa, le plateau de Sidi-Bouderham, dont de grands espaces ont été indûment occupés et construits, et qu'il va falloir régulariser ou plutôt faciliter sa réalisation", a-t-on souligné. Le cas vaut aussi pour le quartier de Tizi, à la périphérie Sud de la ville, construit de façon spontanée, voire illicite, appelant, en raison de la concentration populaire qui le caractérise, non seulement la mise en place en son sein de nouvelles servitudes publiques, mais aussi un déménagement et une profonde requalification, a-t-on fait savoir. En fait, l'occasion de cette rencontre, présidée par M. Makhlouf Naït Saâda, directeur central au ministère de l'Habitat, par delà l'explication des avantages fournis par cette loi tout autant que les obligations qu'elle impose, a constitué une réelle occasion pour débattre des opportunités à même de renforcer les aménagements urbains et d'inscrire les actions qu'elle prévoit dans le respect des normes de constructions et d'urbanisme. L'opération de régularisation et de mise en conformité des constructions dans la wilaya de Béjaïa "n'arrive pas encore à prendre son envol", a relevé, mercredi, le wali exhortant les services municipaux et ceux relevant de la Direction de l'urbanisme à renforcer leur sensibilisation auprès des citoyens concernés. Intervenant à l'occasion de la tenue d'une journée de vulgarisation de la loi du 20 juillet 2008, fixant les règles de mise en conformité des constructions et leur achèvement, le wali a souligné que depuis l'entrée en vigueur de cette loi, seuls 600 dossiers sont parvenus à la wilaya, dont à peine une soixantaine a été régularisée. "Il n'y a pas d'explication objective pour justifier cette situation", a indiqué le chef de l'exécutif qui appréhende que cet atermoiement provoque un phénomène de bousculade à l'arrivée des délais impartis par ce texte aux concernés pour se mettre en conformité. Par ailleurs, cette situation est de nature à ralentir l'action des services de l'urbanisme, engagés dans une profonde opération d'aménagement et d'amélioration urbains, a-t-on relevé. A titre d'exemple, il a été fait cas particulièrement "de ce qui est supposé être la nouvelle ville de Béjaïa, le plateau de Sidi-Bouderham, dont de grands espaces ont été indûment occupés et construits, et qu'il va falloir régulariser ou plutôt faciliter sa réalisation", a-t-on souligné. Le cas vaut aussi pour le quartier de Tizi, à la périphérie Sud de la ville, construit de façon spontanée, voire illicite, appelant, en raison de la concentration populaire qui le caractérise, non seulement la mise en place en son sein de nouvelles servitudes publiques, mais aussi un déménagement et une profonde requalification, a-t-on fait savoir. En fait, l'occasion de cette rencontre, présidée par M. Makhlouf Naït Saâda, directeur central au ministère de l'Habitat, par delà l'explication des avantages fournis par cette loi tout autant que les obligations qu'elle impose, a constitué une réelle occasion pour débattre des opportunités à même de renforcer les aménagements urbains et d'inscrire les actions qu'elle prévoit dans le respect des normes de constructions et d'urbanisme.