Des experts et spécialistes espagnols de l'auscultation et la sécurisation des barrages ont présenté aux responsables algériens des ressources en eau leur technologie et leur savoir-faire, ainsi que leur expertise, en présence des dirigeants de l'Agence nationale des barrages et de transfert et des différents gérants des principaux barrages du pays, tel que celui de Beni Haroun. Des experts et spécialistes espagnols de l'auscultation et la sécurisation des barrages ont présenté aux responsables algériens des ressources en eau leur technologie et leur savoir-faire, ainsi que leur expertise, en présence des dirigeants de l'Agence nationale des barrages et de transfert et des différents gérants des principaux barrages du pays, tel que celui de Beni Haroun. "L'envasement de nos barrages présente actuellement des taux prévus lors de leur conception et réalisation, ce qui implique que nous procédons seulement à des actions en amont dans le sens, notamment, de reboisement des 40 bassins riverains pour réduire les impacts induits par les pluies violentes et les sols dénudés" a déclaré Abdelouahab Smati, directeur général de la mobilisation des ressources hydriques au ministère, en marge de la Journée technique algéro-espagnole portant sur "Sécurité et auscultation des barrages" organisée, hier, à Alger sous le haut patronage du ministre des Ressources en eau. Selon une autre source proche du ministère, le taux moyen d'envasement des barrages est de 11% suivant la situation géographique des barrages. Des experts et spécialistes espagnols de l'auscultation et la sécurisation des barrages ont présenté, donc, aux responsables algériens des ressources en eau leur technologie et leur savoir-faire, ainsi que leur expertise, lors de cette journée, en présence des dirigeants de l'Agence nationale des barrages et de transfert et des différents gérants des principaux barrages du pays, tel que celui de Beni Haroun. Selon Abdelouahab Smati, les 68 barrages déjà existants et opérationnels et les 19 autres en cours de construction ou à construire, constituent un véritable patrimoine qu'il faut gérer au quotidien. D'où la veille qui doit être organisée dans les pays du pourtour méditerranéen en utilisant les technologies d'auscultation en vigueur dans le monde. Smati a ajouté qu'il n'y a pas un taux d'envasement prépondérant entre un barrage et un autre. C'est dans le même souci que la durée de vie de ces ouvrages est généralement conforme à celle prévue dans les contrats de réalisation. Il a souligné que "les Espagnols ont fait un grand pas qualitatif dans la maintenance des barrages, en général, et l'auscultation périodique des ouvrages hydrauliques, en particulier, et c'est pourquoi nous avons choisi notre partenaire ibérique Ofiteco, avec qui nous avons déjà procédé à des auscultations de nos barrages". Smati a également insisté, dans ce sens, sur l'échange d'expériences et de transfert de technologies afin de mieux contrôler les 68 barrages actuellement en service. Smati estime, par ailleurs, que l'Algérie œuvre pour l'acquisition de technologies et le renforcement des capacités des barrages en utilisant, notamment, le GPS et la télédétection pour les méthodes d'auscultation. "Nous sommes en veille de ce qui se passe dans le monde en matière de technologies et nous voulons bénéficier de l'expérience des Espagnols en termes de gestion des ouvrages et du transfert technologique" a-t-il indiqué. Le contrôle et la sécurité sont, en fait, très importants et indispensables pour prévenir et éviter les désastres environnementaux et écologiques. Ainsi, le directeur des ressources hydriques souligne que "l'essentiel consiste à mettre une connexion à nos ouvrages avec une gestion automatique par le biais de l'information fiable et nécessaire en tenant, en temps réel, les stockages et le comportement de tous les éléments au niveau des ouvrages". Rôle important des barrages dans l'irrigation agricole Pour Enrique Jimenez, chef de département des systèmes et de l'instrumentation de l'entreprise Ofiteco S. A Espagne, "le rôle et la place des barrages pour répondre aux besoins du développement durable, et des besoins de l'agriculture en matière d'irrigation des terres abales semi-arides, sont très importants, en ce sens que les ressources hydriques permettent des rendements agricoles élevés". Il estime que l'apport de l'inspection des barrages pour le développement de l'agriculture du Tiers-Monde est prépondérante et vitale sachant que les barrages en exploitation en Afrique sont seulement de l'ordre de 3% tandis qu'en Asie, le taux est de 59% soit plus que la moitié mondiale. Jimenez précise que l'irrigation de l'agriculture et la collecte des eaux pluviales sont nécessaires sachant qu'1 milliard de personnes sont actuellement sans eau potable alors que la croissance démographique est constante. D'où la nécessité d'adopter des politiques économiques, environnementales et agricoles adéquates à travers la construction et l'auscultation des barrages afin de produire également de l'hydroélectricité pour le développement durable en Afrique. "L'envasement de nos barrages présente actuellement des taux prévus lors de leur conception et réalisation, ce qui implique que nous procédons seulement à des actions en amont dans le sens, notamment, de reboisement des 40 bassins riverains pour réduire les impacts induits par les pluies violentes et les sols dénudés" a déclaré Abdelouahab Smati, directeur général de la mobilisation des ressources hydriques au ministère, en marge de la Journée technique algéro-espagnole portant sur "Sécurité et auscultation des barrages" organisée, hier, à Alger sous le haut patronage du ministre des Ressources en eau. Selon une autre source proche du ministère, le taux moyen d'envasement des barrages est de 11% suivant la situation géographique des barrages. Des experts et spécialistes espagnols de l'auscultation et la sécurisation des barrages ont présenté, donc, aux responsables algériens des ressources en eau leur technologie et leur savoir-faire, ainsi que leur expertise, lors de cette journée, en présence des dirigeants de l'Agence nationale des barrages et de transfert et des différents gérants des principaux barrages du pays, tel que celui de Beni Haroun. Selon Abdelouahab Smati, les 68 barrages déjà existants et opérationnels et les 19 autres en cours de construction ou à construire, constituent un véritable patrimoine qu'il faut gérer au quotidien. D'où la veille qui doit être organisée dans les pays du pourtour méditerranéen en utilisant les technologies d'auscultation en vigueur dans le monde. Smati a ajouté qu'il n'y a pas un taux d'envasement prépondérant entre un barrage et un autre. C'est dans le même souci que la durée de vie de ces ouvrages est généralement conforme à celle prévue dans les contrats de réalisation. Il a souligné que "les Espagnols ont fait un grand pas qualitatif dans la maintenance des barrages, en général, et l'auscultation périodique des ouvrages hydrauliques, en particulier, et c'est pourquoi nous avons choisi notre partenaire ibérique Ofiteco, avec qui nous avons déjà procédé à des auscultations de nos barrages". Smati a également insisté, dans ce sens, sur l'échange d'expériences et de transfert de technologies afin de mieux contrôler les 68 barrages actuellement en service. Smati estime, par ailleurs, que l'Algérie œuvre pour l'acquisition de technologies et le renforcement des capacités des barrages en utilisant, notamment, le GPS et la télédétection pour les méthodes d'auscultation. "Nous sommes en veille de ce qui se passe dans le monde en matière de technologies et nous voulons bénéficier de l'expérience des Espagnols en termes de gestion des ouvrages et du transfert technologique" a-t-il indiqué. Le contrôle et la sécurité sont, en fait, très importants et indispensables pour prévenir et éviter les désastres environnementaux et écologiques. Ainsi, le directeur des ressources hydriques souligne que "l'essentiel consiste à mettre une connexion à nos ouvrages avec une gestion automatique par le biais de l'information fiable et nécessaire en tenant, en temps réel, les stockages et le comportement de tous les éléments au niveau des ouvrages". Rôle important des barrages dans l'irrigation agricole Pour Enrique Jimenez, chef de département des systèmes et de l'instrumentation de l'entreprise Ofiteco S. A Espagne, "le rôle et la place des barrages pour répondre aux besoins du développement durable, et des besoins de l'agriculture en matière d'irrigation des terres abales semi-arides, sont très importants, en ce sens que les ressources hydriques permettent des rendements agricoles élevés". Il estime que l'apport de l'inspection des barrages pour le développement de l'agriculture du Tiers-Monde est prépondérante et vitale sachant que les barrages en exploitation en Afrique sont seulement de l'ordre de 3% tandis qu'en Asie, le taux est de 59% soit plus que la moitié mondiale. Jimenez précise que l'irrigation de l'agriculture et la collecte des eaux pluviales sont nécessaires sachant qu'1 milliard de personnes sont actuellement sans eau potable alors que la croissance démographique est constante. D'où la nécessité d'adopter des politiques économiques, environnementales et agricoles adéquates à travers la construction et l'auscultation des barrages afin de produire également de l'hydroélectricité pour le développement durable en Afrique.