Les spécialistes en pathologie vertébro-médullaires ont appelé, mardi 13 décembre à Alger, à la création d'un premier centre de prise en charge du rachis (colonne vertébrale) devant travailler H24. Lors des 5es journées d'Azur-Plage, consacrées aux blessés vertébro-médullaires, les participants ont mis en évidence la gravité de cette maladie et l'importance de sa prise en charge délicate qui nécessite la création, ont-ils dit, d'"une unité spinale", vu le nombre croissant des malades. "Nous enregistrons 300 nouveaux cas de paraplégiques par an au minimum et je reçois, personnellement, 3 nouveaux cas tous les deux mois", a déclaré le professeur Ameziane Ammenouche de l'hôpital d'Azur-Plage. Il a indiqué que la plupart des malades, soit 70% des cas qui représentent cette pathologie "très très lourde" et qui nécessitent, après une chirurgie, des services de rééducation, sont causés par les accidents de la route suivis par des accidents de travail. Selon les spécialistes, la prise en charge de cette pathologie est "souvent très lourde pour des résultats fréquemment médiocres et souvent très tardifs aux prix d'énormes sacrifices qui ne peuvent pas éviter un certain nombre de complications de séquelles voire des décès". APS Les spécialistes en pathologie vertébro-médullaires ont appelé, mardi 13 décembre à Alger, à la création d'un premier centre de prise en charge du rachis (colonne vertébrale) devant travailler H24. Lors des 5es journées d'Azur-Plage, consacrées aux blessés vertébro-médullaires, les participants ont mis en évidence la gravité de cette maladie et l'importance de sa prise en charge délicate qui nécessite la création, ont-ils dit, d'"une unité spinale", vu le nombre croissant des malades. "Nous enregistrons 300 nouveaux cas de paraplégiques par an au minimum et je reçois, personnellement, 3 nouveaux cas tous les deux mois", a déclaré le professeur Ameziane Ammenouche de l'hôpital d'Azur-Plage. Il a indiqué que la plupart des malades, soit 70% des cas qui représentent cette pathologie "très très lourde" et qui nécessitent, après une chirurgie, des services de rééducation, sont causés par les accidents de la route suivis par des accidents de travail. Selon les spécialistes, la prise en charge de cette pathologie est "souvent très lourde pour des résultats fréquemment médiocres et souvent très tardifs aux prix d'énormes sacrifices qui ne peuvent pas éviter un certain nombre de complications de séquelles voire des décès". APS