Dès le premier jour de ces vacances d'hiver les cybercafés ont été pris d'assaut par les adolescents, voire des enfants, et ce durant toute la journée. Considéré par beaucoup comme un moyen d'évasion, le Net nonobstant ses indéniables qualités, lorsqu'il est mal utilisé peut être très dangereux surtout pour les plus jeunes. Dès le premier jour de ces vacances d'hiver les cybercafés ont été pris d'assaut par les adolescents, voire des enfants, et ce durant toute la journée. Considéré par beaucoup comme un moyen d'évasion, le Net nonobstant ses indéniables qualités, lorsqu'il est mal utilisé peut être très dangereux surtout pour les plus jeunes. Habitude ou nécessité, Internet s'est imposé dans le quotidien des jeunes, cela à travers ses différents aspects. Que cela soit chez eux, pour les plus chanceux, ou encore dans les espaces de connexion publiques «cybercafés», ces derniers qu'ils soient connaisseurs ou simples amateurs occupent leur temps à surfer sur la Toile. Entre consultation de leurs comptes, rechercher l'âme sœur ou bien la quête de l'eldorado, les motivations sont multiples même si le moyen demeure le même pour tous. Ce phénomène, touche de plus en plus les adolescents et écoliers qui l'utilisent, malheureusement, loin des regards vigilants des parents, connait ces derniers temps une inquiétante augmentation, surtout durant les vacances scolaires. Avec le début des vacances d'hiver les cybercafés, en effet, sont investis par les adolescents dès les premières heures de la journée. Considéré par beaucoup comme moyen d'évasion, le Net est souvent très mal employé par ses utilsateurs. Ce moyen moderne a réussi à voyager à travers le monde en un seul clic, mais il représente une arme à double tranchant pour l'utilisateur inconscient. Le Web en fait offre de multiples applications et programmes de recherche dans différents domaines. Cependant, ces derniers sont dédaignés par les jeunes au profil de sites de rencontres et de tchat à l'instar de facebook, tendance de l'année, le msn, Badoo, hi5 et les blogs et bien d'autres encore. Des sites mal exploité par des jeunes sans surveillance qui se trouvent ainsi exposés à de graves dangers. Des dangers omniprésents au moindre clic qui les expose au péril de tomber sur la mauvaise personne, le pédophile aux aguets ou de potentiels agresseurs, c'est ce qui alimente malheureusement la rubrique des « faits divers » dans nos quotidiens. Cette réalité a pu être constatée de visu au cours d'une petite virée à travers quelques cybercafés de la capitale, lesquels il faut le rappeler se font de plus en plus rares en raison de l'accessibilité des citoyens à partir de leurs domicile au Web. Cette virée nous a permis de constater l'étendue du danger. À l'instar de Easy café situé au niveau de la commune d'El Biar, qui est, selon son gérant, bondé pratiquement tous les jours. Des adolescents, âgés entre 12 ans et 19 ans, y affluent chaque jour, soit pour disputer en réseau des jeux de guerre et violence, ou surfer sur le Web en aveugle multipliant les risques. « Parfois je suis contraint face à certains dépassements d'intervenir et parfois même de renvoyer certains clients du cyber ». Des propos repris par d'autres gérants de ces espaces de connexion dans d'autres communes qui jouent eux-mêmes le rôle de surveillants face au danger. Mais parfois le laxisme de certains gérants fait qu'aucune surveillance ou restriction n'est imposée aux jeunes utilisateurs qui sont libres d'accéder à tous les sites. D'où l'inquiétude grandissante des parents, qui ne peuvent être constamment derrière leurs enfants. Mais face à l'ampleur prises par ces pratiques et phénomène la sonnette d'alarme est tirée et il faut dire que cela n'arrive pas qu'aux autres. Habitude ou nécessité, Internet s'est imposé dans le quotidien des jeunes, cela à travers ses différents aspects. Que cela soit chez eux, pour les plus chanceux, ou encore dans les espaces de connexion publiques «cybercafés», ces derniers qu'ils soient connaisseurs ou simples amateurs occupent leur temps à surfer sur la Toile. Entre consultation de leurs comptes, rechercher l'âme sœur ou bien la quête de l'eldorado, les motivations sont multiples même si le moyen demeure le même pour tous. Ce phénomène, touche de plus en plus les adolescents et écoliers qui l'utilisent, malheureusement, loin des regards vigilants des parents, connait ces derniers temps une inquiétante augmentation, surtout durant les vacances scolaires. Avec le début des vacances d'hiver les cybercafés, en effet, sont investis par les adolescents dès les premières heures de la journée. Considéré par beaucoup comme moyen d'évasion, le Net est souvent très mal employé par ses utilsateurs. Ce moyen moderne a réussi à voyager à travers le monde en un seul clic, mais il représente une arme à double tranchant pour l'utilisateur inconscient. Le Web en fait offre de multiples applications et programmes de recherche dans différents domaines. Cependant, ces derniers sont dédaignés par les jeunes au profil de sites de rencontres et de tchat à l'instar de facebook, tendance de l'année, le msn, Badoo, hi5 et les blogs et bien d'autres encore. Des sites mal exploité par des jeunes sans surveillance qui se trouvent ainsi exposés à de graves dangers. Des dangers omniprésents au moindre clic qui les expose au péril de tomber sur la mauvaise personne, le pédophile aux aguets ou de potentiels agresseurs, c'est ce qui alimente malheureusement la rubrique des « faits divers » dans nos quotidiens. Cette réalité a pu être constatée de visu au cours d'une petite virée à travers quelques cybercafés de la capitale, lesquels il faut le rappeler se font de plus en plus rares en raison de l'accessibilité des citoyens à partir de leurs domicile au Web. Cette virée nous a permis de constater l'étendue du danger. À l'instar de Easy café situé au niveau de la commune d'El Biar, qui est, selon son gérant, bondé pratiquement tous les jours. Des adolescents, âgés entre 12 ans et 19 ans, y affluent chaque jour, soit pour disputer en réseau des jeux de guerre et violence, ou surfer sur le Web en aveugle multipliant les risques. « Parfois je suis contraint face à certains dépassements d'intervenir et parfois même de renvoyer certains clients du cyber ». Des propos repris par d'autres gérants de ces espaces de connexion dans d'autres communes qui jouent eux-mêmes le rôle de surveillants face au danger. Mais parfois le laxisme de certains gérants fait qu'aucune surveillance ou restriction n'est imposée aux jeunes utilisateurs qui sont libres d'accéder à tous les sites. D'où l'inquiétude grandissante des parents, qui ne peuvent être constamment derrière leurs enfants. Mais face à l'ampleur prises par ces pratiques et phénomène la sonnette d'alarme est tirée et il faut dire que cela n'arrive pas qu'aux autres.