Le nouvel univers des jouvenceaux Love.com, habibti.com, drague.net, amitie.fr sont des sites de rencontres les plus visitées actuellement dans le monde du net. La liste de ces sites est loin d'être exhaustive et le jeune n'a qu'à choisir sa destination, selon ce qu'il recherche. Pour éviter les engagements réels, les jeunes filles et garçons en Algérie préfèrent le contact par Internet que ce soit au niveau des cybercafés ou à la maison pour ceux qui possèdent la connexion. Ils utilisent des pseudonymes pour ne pas donner la véritable identité et souvent inventent une identité différente, mentent sur leur âge ou leur profil. Par exemple : «Jeune homme de 25 ans, commerçant, beau, dynamique, sportif, cherche jeune fille pour amitié» ou «Jeune fille de 22ans, étudiante, blonde, sexy, cool, cherche quelqu'un pour amitié ou plus». Alors que le jeune homme est un chômeur fauché, la fille peut être tout sauf sexy, mais le monde virtuel leur permet, à travers un filtre, de pallier leurs différences. Le premier contact commence à travers un de ces sites de rencontre avec une discussion ordinaire sur la musique, le foot et le sexe. Puis, ça peut passer à d'autres étapes, comme échanger les adresses MSN ou Skype ou les emails. Le contact devient alors plus régulier et du message écrit, ils passent au son et à l'image en utilisant le webcam. Dans bien des cas, ça aboutit à l'échange des numéros de téléphone portable pour arriver, enfin, à une rencontre réelle, qui peut réussir ou tomber à l'eau. Samir, un jeune de 21 ans habitant à Benaknoun consacre, chaque jour, deux jusqu'à trois heures de chat depuis trois ans. Il avoue qu'il préfère se type de relations virtuelles parce que ça lui permet de faire la connaissance d'une française qui peut-être viendra cet été, en Algérie, lui rendre visite. L'affluence des jeunes pour entrer en contact entre eux est facilitée par les tarifs actuels puisqu'on a une connexion à 30 DA l'heure dans les cybercafés. On trouve aussi la formule «Nuit blanche» avec un tarif de 100 DA de minuit à 6 heures du matin. Certains cybercafés offrent même des forfaits genre «pour 2 heures de connexion, la 3e est gratuite». «Je suis la championne du virtuel, ça me permet de connaître des hommes et avoir une expérience dans les relations d'amour et au même temps rester anonyme, comme ça quand j'aurai une relation réelle je m'en sortirai bien, c'est comme la théorie en quelque sorte», dit Karima 19 ans, étudiante qui habite à Hydra. Elle aussi accroc du chatt qui lui prend une partie de son temps puisqu'elle passe en moyenne quatre à cinq heures par jour plantée à son micro-ordinateur. Beaucoup de filles comme Karima trouvent que les relations virtuelles sont plus prudentes que les relations réelles puisque généralement elles donnent toujours de faux renseignements afin d'éviter d'être découvertes par les gens qui les connaissent. Un gérant d'un cybercafé à Ben Aknoun dit que les jeunes consomment beaucoup de temps et d'argent sur le net et pour eux le virtuel est une sorte d'évasion. Pour lui, les jeunes peuvent ainsi avoir des relations et exprimer leurs sentiments sans aucun engagement réel, tout en gardant l'anonymat de leur identité. Par contre, Hakima, une dame de 46 ans est une mère de trois enfants trouve que ce genre de relations virtuelles est très dangereux même si on reste anonyme, car il y a le risque qu'une personne qui s'attache à une autre et que ça finisse par une déception ou un choc sentimental, dit-elle. L'Internet est un moyen de communication qui a brisé toutes sortes de contrôle que les parents ou la société peut exercer sur les jeunes et surtout les adolescents. Certains gérants de cybercafés vont jusqu'à bloquer les sites de rencontres. Le nouvel univers des jouvenceaux Love.com, habibti.com, drague.net, amitie.fr sont des sites de rencontres les plus visitées actuellement dans le monde du net. La liste de ces sites est loin d'être exhaustive et le jeune n'a qu'à choisir sa destination, selon ce qu'il recherche. Pour éviter les engagements réels, les jeunes filles et garçons en Algérie préfèrent le contact par Internet que ce soit au niveau des cybercafés ou à la maison pour ceux qui possèdent la connexion. Ils utilisent des pseudonymes pour ne pas donner la véritable identité et souvent inventent une identité différente, mentent sur leur âge ou leur profil. Par exemple : «Jeune homme de 25 ans, commerçant, beau, dynamique, sportif, cherche jeune fille pour amitié» ou «Jeune fille de 22ans, étudiante, blonde, sexy, cool, cherche quelqu'un pour amitié ou plus». Alors que le jeune homme est un chômeur fauché, la fille peut être tout sauf sexy, mais le monde virtuel leur permet, à travers un filtre, de pallier leurs différences. Le premier contact commence à travers un de ces sites de rencontre avec une discussion ordinaire sur la musique, le foot et le sexe. Puis, ça peut passer à d'autres étapes, comme échanger les adresses MSN ou Skype ou les emails. Le contact devient alors plus régulier et du message écrit, ils passent au son et à l'image en utilisant le webcam. Dans bien des cas, ça aboutit à l'échange des numéros de téléphone portable pour arriver, enfin, à une rencontre réelle, qui peut réussir ou tomber à l'eau. Samir, un jeune de 21 ans habitant à Benaknoun consacre, chaque jour, deux jusqu'à trois heures de chat depuis trois ans. Il avoue qu'il préfère se type de relations virtuelles parce que ça lui permet de faire la connaissance d'une française qui peut-être viendra cet été, en Algérie, lui rendre visite. L'affluence des jeunes pour entrer en contact entre eux est facilitée par les tarifs actuels puisqu'on a une connexion à 30 DA l'heure dans les cybercafés. On trouve aussi la formule «Nuit blanche» avec un tarif de 100 DA de minuit à 6 heures du matin. Certains cybercafés offrent même des forfaits genre «pour 2 heures de connexion, la 3e est gratuite». «Je suis la championne du virtuel, ça me permet de connaître des hommes et avoir une expérience dans les relations d'amour et au même temps rester anonyme, comme ça quand j'aurai une relation réelle je m'en sortirai bien, c'est comme la théorie en quelque sorte», dit Karima 19 ans, étudiante qui habite à Hydra. Elle aussi accroc du chatt qui lui prend une partie de son temps puisqu'elle passe en moyenne quatre à cinq heures par jour plantée à son micro-ordinateur. Beaucoup de filles comme Karima trouvent que les relations virtuelles sont plus prudentes que les relations réelles puisque généralement elles donnent toujours de faux renseignements afin d'éviter d'être découvertes par les gens qui les connaissent. Un gérant d'un cybercafé à Ben Aknoun dit que les jeunes consomment beaucoup de temps et d'argent sur le net et pour eux le virtuel est une sorte d'évasion. Pour lui, les jeunes peuvent ainsi avoir des relations et exprimer leurs sentiments sans aucun engagement réel, tout en gardant l'anonymat de leur identité. Par contre, Hakima, une dame de 46 ans est une mère de trois enfants trouve que ce genre de relations virtuelles est très dangereux même si on reste anonyme, car il y a le risque qu'une personne qui s'attache à une autre et que ça finisse par une déception ou un choc sentimental, dit-elle. L'Internet est un moyen de communication qui a brisé toutes sortes de contrôle que les parents ou la société peut exercer sur les jeunes et surtout les adolescents. Certains gérants de cybercafés vont jusqu'à bloquer les sites de rencontres.