M. Abbas a appelé le Quartette international pour le règlement du conflit au Proche-Orient (Etats-Unis, la Russie, l'UE et l'ONU) à clarifier sa position vis-à-vis de la reconnaissance d'un Etat palestinien libre et indépendant avec ses frontières de 1967, en soulignant que le travail de ce quatuor ne devrait pas seulement se limiter à des visites dans la région "sans résultats". M. Abbas a appelé le Quartette international pour le règlement du conflit au Proche-Orient (Etats-Unis, la Russie, l'UE et l'ONU) à clarifier sa position vis-à-vis de la reconnaissance d'un Etat palestinien libre et indépendant avec ses frontières de 1967, en soulignant que le travail de ce quatuor ne devrait pas seulement se limiter à des visites dans la région "sans résultats". L'Autorité palestinienne a réclamé dimanche dernier une implication internationale dans le processus de paix au Proche-Orient, sombré dans un "coma profond", et appelé le Quartette international à clarifier sa position vis-à-vis de l'Etat palestinien indépendant aux frontières de 1967, reconnu déjà par des pays d'Amérique latine. "On doit impliquer tout le monde dans le processus de paix au Proche-Orient car cela est dans l'intérêt des Palestiniens, des Etats-Unis et du monde entier", a déclaré M. Abbas, dans une déclaration au quotidien jordanien "El-Rai". Le président palestinien s'exprimait ainsi en réaction à l'impasse actuelle dans le processus de paix israélo-palestinien en raison de la poursuite des activités de colonisation israélienne des terres palestiniennes occupées, une situation de statut quo qui menace même la création d'un Etat palestinien. A cet effet, M. Abbas a appelé le Quartette international pour le règlement du conflit au Proche-Orient (Etats-Unis, la Russie, l'UE et l'ONU) à clarifier sa position vis-à-vis de la reconnaissance d'un Etat palestinien libre et indépendant avec ses frontières de 1967, en soulignant que le travail de ce quatuor ne devrait pas seulement se limiter à des visites dans la région "sans résultats". "Nous avons discuté avec les pays arabes d'une rencontre avec le Quartette pour que ce dernier adhère à l'importante déclaration approuvée en décembre dernier par l'Union européenne (UE)", a dit le chef de l'Autorité palestinienne. Cette position a été réaffirmée par le Premier ministre palestinien, Salam Fayyadh, qui a jugé samedi qu'il était temps de développer le rôle du Quartette, lequel ne "ne doit pas se limiter dans l'organisation de simples réunions pour annoncer ses positions". "Il est temps pour la communauté internationale d'assumer directement ses responsabilités politiques et juridiques pour mettre un terme à la colonisation israélienne dans les territoires palestiniens", a-t-il insisté. L'UE avait souligné récemment le caractère illégal des activités de colonisation juive dans les territoires palestiniens occupés, et a réaffirmé sa volonté d'agir pour la création d'un Etat palestinien "souverain". Deux pays d'Amérique latine, le Brésil et l'Argentine, avaient annoncé dernièrement la reconnaissance de l'Etat palestinien dans les frontières de 1967, alors que l'Uruguay s'apprête à les suivre début 2011. De son côté, la Russie, membre du Quartette, a appelé dimanche à une réunion urgente de ce Quartette au niveau ministériel pour débloquer la situation au Proche-Orient pour une reprise des discussions entre les Palestiniens et les Israéliens, interrompues en raison de la poursuite de la colonisation juiveCes développements interviennent au moment où l'Administration américaine continue d'entretenir le doute quant à ses projets pour relancer les négociations entre Palestiniens et Israéliens, après avoir proposé des discussions indirectes, jugées "insuffisantes" et "sans crédibilité" par les Palestiniens. Pour le négociateur palestinien Nabil Chaath, le processus de paix est dans un "coma profond" et les propositions de la Maison blanche pour le relancer sont "totalement inutiles" en l'état. Les Palestiniens réclament avant toute reprise de ces discussions avec l'occupant israélien, des références politiques claires, dont la fin de l'occupation des territoires palestiniens occupés en 1967 avec El Qods comme capitale de leur futur Etat indépendant et souverain. Dans cette optique, M. Chaath a fait savoir que les pays arabes préparent un projet de résolution contre la construction des colonies juives dans les territoires palestiniens occupés, devant être soumis au Conseil de sécurité des Nations-unies. Le responsable palestinien a souligné que ce projet de résolution peut être soumis à l'Assemblée générale de l'ONU même dans le cas où les Etats-Unis opposent leur veto, en ajoutant que l'Assemblée onusienne est capable d'appeler à des sanctions contre les pays qui n'appliquent pas ses résolutions. Pour Nabil Chaath, les Etats-Unis ne peuvent pas contrer ce projet, étant donné qu'ils se sont publiquement opposés à la construction des colonies juives, de même que l'ensemble de la communauté internationale. Les négociations de paix directes israélo-palestiniennes, entamées début septembre sous l'égide des Etats-Unis, sont toujours dans l'impasse en raison de la poursuite de la colonisation juive dans les territoires palestiniens. L'Autorité palestinienne avait décidé de rompre ces pourparlers avec Israël après le refus de ce dernier de prolonger le moratoire du gel des activités de colonisation. Les Palestiniens avaient mis en garde qu'en cas d'absence d'avancées dans le processus de paix, ils pourraient faire recours à plusieurs possibilités, dont la saisie des Nations-unies et du Conseil de sécurité pour trouver une solution. L'Autorité palestinienne a réclamé dimanche dernier une implication internationale dans le processus de paix au Proche-Orient, sombré dans un "coma profond", et appelé le Quartette international à clarifier sa position vis-à-vis de l'Etat palestinien indépendant aux frontières de 1967, reconnu déjà par des pays d'Amérique latine. "On doit impliquer tout le monde dans le processus de paix au Proche-Orient car cela est dans l'intérêt des Palestiniens, des Etats-Unis et du monde entier", a déclaré M. Abbas, dans une déclaration au quotidien jordanien "El-Rai". Le président palestinien s'exprimait ainsi en réaction à l'impasse actuelle dans le processus de paix israélo-palestinien en raison de la poursuite des activités de colonisation israélienne des terres palestiniennes occupées, une situation de statut quo qui menace même la création d'un Etat palestinien. A cet effet, M. Abbas a appelé le Quartette international pour le règlement du conflit au Proche-Orient (Etats-Unis, la Russie, l'UE et l'ONU) à clarifier sa position vis-à-vis de la reconnaissance d'un Etat palestinien libre et indépendant avec ses frontières de 1967, en soulignant que le travail de ce quatuor ne devrait pas seulement se limiter à des visites dans la région "sans résultats". "Nous avons discuté avec les pays arabes d'une rencontre avec le Quartette pour que ce dernier adhère à l'importante déclaration approuvée en décembre dernier par l'Union européenne (UE)", a dit le chef de l'Autorité palestinienne. Cette position a été réaffirmée par le Premier ministre palestinien, Salam Fayyadh, qui a jugé samedi qu'il était temps de développer le rôle du Quartette, lequel ne "ne doit pas se limiter dans l'organisation de simples réunions pour annoncer ses positions". "Il est temps pour la communauté internationale d'assumer directement ses responsabilités politiques et juridiques pour mettre un terme à la colonisation israélienne dans les territoires palestiniens", a-t-il insisté. L'UE avait souligné récemment le caractère illégal des activités de colonisation juive dans les territoires palestiniens occupés, et a réaffirmé sa volonté d'agir pour la création d'un Etat palestinien "souverain". Deux pays d'Amérique latine, le Brésil et l'Argentine, avaient annoncé dernièrement la reconnaissance de l'Etat palestinien dans les frontières de 1967, alors que l'Uruguay s'apprête à les suivre début 2011. De son côté, la Russie, membre du Quartette, a appelé dimanche à une réunion urgente de ce Quartette au niveau ministériel pour débloquer la situation au Proche-Orient pour une reprise des discussions entre les Palestiniens et les Israéliens, interrompues en raison de la poursuite de la colonisation juiveCes développements interviennent au moment où l'Administration américaine continue d'entretenir le doute quant à ses projets pour relancer les négociations entre Palestiniens et Israéliens, après avoir proposé des discussions indirectes, jugées "insuffisantes" et "sans crédibilité" par les Palestiniens. Pour le négociateur palestinien Nabil Chaath, le processus de paix est dans un "coma profond" et les propositions de la Maison blanche pour le relancer sont "totalement inutiles" en l'état. Les Palestiniens réclament avant toute reprise de ces discussions avec l'occupant israélien, des références politiques claires, dont la fin de l'occupation des territoires palestiniens occupés en 1967 avec El Qods comme capitale de leur futur Etat indépendant et souverain. Dans cette optique, M. Chaath a fait savoir que les pays arabes préparent un projet de résolution contre la construction des colonies juives dans les territoires palestiniens occupés, devant être soumis au Conseil de sécurité des Nations-unies. Le responsable palestinien a souligné que ce projet de résolution peut être soumis à l'Assemblée générale de l'ONU même dans le cas où les Etats-Unis opposent leur veto, en ajoutant que l'Assemblée onusienne est capable d'appeler à des sanctions contre les pays qui n'appliquent pas ses résolutions. Pour Nabil Chaath, les Etats-Unis ne peuvent pas contrer ce projet, étant donné qu'ils se sont publiquement opposés à la construction des colonies juives, de même que l'ensemble de la communauté internationale. Les négociations de paix directes israélo-palestiniennes, entamées début septembre sous l'égide des Etats-Unis, sont toujours dans l'impasse en raison de la poursuite de la colonisation juive dans les territoires palestiniens. L'Autorité palestinienne avait décidé de rompre ces pourparlers avec Israël après le refus de ce dernier de prolonger le moratoire du gel des activités de colonisation. Les Palestiniens avaient mis en garde qu'en cas d'absence d'avancées dans le processus de paix, ils pourraient faire recours à plusieurs possibilités, dont la saisie des Nations-unies et du Conseil de sécurité pour trouver une solution.