La baisse de la criminalité enregistrée est le résultat, assure Aziz El Affani, directeur de la Police judiciaire « de la mise en œuvre du plan d'action de prévention et de lutte contre la criminalité, urbaine en particulier ». La baisse de la criminalité enregistrée est le résultat, assure Aziz El Affani, directeur de la Police judiciaire « de la mise en œuvre du plan d'action de prévention et de lutte contre la criminalité, urbaine en particulier ». La criminalité a baissé de 30% en Algérie. L'ensemble des services de sécurité, y compris les services des Douane algériennes, pour la contrebande et le trafic illicite, ont contribué à cette performance. Pour les services de la Police nationale, la baisse est de -5% pour 2009. Ce taux a presque doublé pour 2010, à fin novembre, pour atteindre 9,7%. Le volume de la lutte contre les différentes formes de criminalité se concentre essentiellement dans la criminalité ordinaire, 97% et seulement 2,7 pour le crime organisé. La baisse de la criminalité enregistrée est le résultat, assure Aziz El Affani, directeur de la Police judiciaire qui intervenait, hier à la radio nationale, « de la mise en œuvre du plan d'action de prévention et de lutte contre la criminalité, urbaine en particulier » Ce plan d'action s'articule sur 2 volets, souligne le représentant de la DGSN qui explique que le 1er volet concerne « la formation spécialisée », le second volet est « l'acquisition des moyens d'investigation ». Il reste que le vol de véhicules est « une préoccupation importante » pour le directeur de la Police judiciaire, qui évoque la neutralisation de 2 réseaux ayant des ramification à Alger, Oran, Constantine, la récupération de 61 véhicules et l'arrestation des auteurs des vols. Pour les affaires liées au terrorisme, Aziz El Affani parle de « deux réseaux neutralisés et l'arrestation de 2 individus et l'enquête suit son cours ». Pour le directeur de la Police judiciaire, « il n' y a pas de bande organisée en Algérie » et « les groupes de malfaiteurs n'ont aucune relation avec le terrorisme », expliquant, pour les cas d'enlèvement et de kidnapping avec demande de rançon pour la libération des otages, en particulier dans la région de Tizi-Ouzou, que hormis des cas avérés, il s'agit de fugues d'enfants qui ont été élucidés. Il se félicite, dans ce cadre « de la mobilisation de la population » pour exiger la libération des otages détenus par les terroristes et il estime « très important » pour la DGSN ce soutien populaire dans la lutte contre le terrorisme. Faisant le bilan des saisies de drogue, résine de cannabis notamment, Aziz El Affani fait état de 2, 315 t pour 2010 et de 5,300t pour 2009 récupérés par les services de la Police. Ces quantités de drogues émanent, souligne le représentant de la DGSN, du Sud, du Sud-Ouest et des pays du Sahel et pour lesquels, respectivement 4.176 et 6.390 individus ont été présentés devant la justice. Par ailleurs, il réfute le fait que des gens aient subis des gardes à vue musclées. Selon lui, la garde à vue « est régit par le code de procédure pénale » et « des locaux appropriés sont prévus à cet effet », précisant que « les détenus ont droit à une visite médicale et familiale et ont droit à des moyens de communication », outre le fait que le procureur de la République informé, s'arroge le droit de visite inopinée et en cas de dépassement de lourdes sanctions tomberont sur les auteurs, avec ou sans dépôt de plainte du détenu. Au sujet de la lutte contre la corruption, l'intervenant rappelle que l'Algérie a ratifié la convention des Nations unies relative à la prévention et la lutte contre la corruption et la lutte contre ce phénomène se fait dans le cadre de la 01/06. Il révèle que pour 2010, 25 infractions liées à la corruption ont été traitées par des brigades spécialisées, dont 46 affaires impliquant des agents publics et des étrangers. Pour 2009, elles étaient de l'ordre de 339, dont 62 impliquant des nationaux et des étrangers. Selon lui, les affaires de corruption au sein du corps de la Police ne dépassent pas les 5 ou 6 cas qui ont été traités, avouant que « les cas de corruption sont difficile à prouver ». Il faut, précise-t-il « le flagrant délit ». Enfin sur la télésurveillance, Aziz El Affani révèle que « le projet est en cours de mise en service » et est destiné « à renforcer encore la prévention et la lutte contre la criminalité ». La criminalité a baissé de 30% en Algérie. L'ensemble des services de sécurité, y compris les services des Douane algériennes, pour la contrebande et le trafic illicite, ont contribué à cette performance. Pour les services de la Police nationale, la baisse est de -5% pour 2009. Ce taux a presque doublé pour 2010, à fin novembre, pour atteindre 9,7%. Le volume de la lutte contre les différentes formes de criminalité se concentre essentiellement dans la criminalité ordinaire, 97% et seulement 2,7 pour le crime organisé. La baisse de la criminalité enregistrée est le résultat, assure Aziz El Affani, directeur de la Police judiciaire qui intervenait, hier à la radio nationale, « de la mise en œuvre du plan d'action de prévention et de lutte contre la criminalité, urbaine en particulier » Ce plan d'action s'articule sur 2 volets, souligne le représentant de la DGSN qui explique que le 1er volet concerne « la formation spécialisée », le second volet est « l'acquisition des moyens d'investigation ». Il reste que le vol de véhicules est « une préoccupation importante » pour le directeur de la Police judiciaire, qui évoque la neutralisation de 2 réseaux ayant des ramification à Alger, Oran, Constantine, la récupération de 61 véhicules et l'arrestation des auteurs des vols. Pour les affaires liées au terrorisme, Aziz El Affani parle de « deux réseaux neutralisés et l'arrestation de 2 individus et l'enquête suit son cours ». Pour le directeur de la Police judiciaire, « il n' y a pas de bande organisée en Algérie » et « les groupes de malfaiteurs n'ont aucune relation avec le terrorisme », expliquant, pour les cas d'enlèvement et de kidnapping avec demande de rançon pour la libération des otages, en particulier dans la région de Tizi-Ouzou, que hormis des cas avérés, il s'agit de fugues d'enfants qui ont été élucidés. Il se félicite, dans ce cadre « de la mobilisation de la population » pour exiger la libération des otages détenus par les terroristes et il estime « très important » pour la DGSN ce soutien populaire dans la lutte contre le terrorisme. Faisant le bilan des saisies de drogue, résine de cannabis notamment, Aziz El Affani fait état de 2, 315 t pour 2010 et de 5,300t pour 2009 récupérés par les services de la Police. Ces quantités de drogues émanent, souligne le représentant de la DGSN, du Sud, du Sud-Ouest et des pays du Sahel et pour lesquels, respectivement 4.176 et 6.390 individus ont été présentés devant la justice. Par ailleurs, il réfute le fait que des gens aient subis des gardes à vue musclées. Selon lui, la garde à vue « est régit par le code de procédure pénale » et « des locaux appropriés sont prévus à cet effet », précisant que « les détenus ont droit à une visite médicale et familiale et ont droit à des moyens de communication », outre le fait que le procureur de la République informé, s'arroge le droit de visite inopinée et en cas de dépassement de lourdes sanctions tomberont sur les auteurs, avec ou sans dépôt de plainte du détenu. Au sujet de la lutte contre la corruption, l'intervenant rappelle que l'Algérie a ratifié la convention des Nations unies relative à la prévention et la lutte contre la corruption et la lutte contre ce phénomène se fait dans le cadre de la 01/06. Il révèle que pour 2010, 25 infractions liées à la corruption ont été traitées par des brigades spécialisées, dont 46 affaires impliquant des agents publics et des étrangers. Pour 2009, elles étaient de l'ordre de 339, dont 62 impliquant des nationaux et des étrangers. Selon lui, les affaires de corruption au sein du corps de la Police ne dépassent pas les 5 ou 6 cas qui ont été traités, avouant que « les cas de corruption sont difficile à prouver ». Il faut, précise-t-il « le flagrant délit ». Enfin sur la télésurveillance, Aziz El Affani révèle que « le projet est en cours de mise en service » et est destiné « à renforcer encore la prévention et la lutte contre la criminalité ».