Les pourparlers concernant la finalisation de l'accord inhérent à l'implantation d'une usine Renault en Algérie ne sont pas à l'arrêt, puisque la reprise des tractations et des négociations pour concrétiser cet important projet de construction automobile est prévue pour janvier prochain, selon le ministre de l'Industrie, de la PME et de la promotion des investissements, Mohamed Benmeradi. Les pourparlers concernant la finalisation de l'accord inhérent à l'implantation d'une usine Renault en Algérie ne sont pas à l'arrêt, puisque la reprise des tractations et des négociations pour concrétiser cet important projet de construction automobile est prévue pour janvier prochain, selon le ministre de l'Industrie, de la PME et de la promotion des investissements, Mohamed Benmeradi. Benmeradi a indiqué que « les discussions avec le constructeur automobile français Renault pour l'implantation d'une usine de construction en Algérie sont toujours en cours, et qu'une rencontre réunira les deux parties à la mi-janvier 2011 ». Après maintes tergiversations et atermoiements, donc, les deux parties sont déterminées à matérialiser ce partenariat gagnant-gagnant dans l'intérêt des deux pays, sachant que, le projet industriel pourra générer des milliers d'emplois et produire des véhicules pour le marché domestique accessibles à tous les consommateurs et à des prix raisonnables. Il s'agit également d'envisager des quotas pour l'exportation vers l'Afrique, sachant qu'actuellement le constructeur français pourvoit le marché algérien en véhicules automobiles fabriqués en Turquie (Renault Symbol) et en Roumanie (Renault Dacia)Cependant, les négociations, qui ne sont qu'à un stade préliminaire, doivent rapidement aboutir à des résultats concrets, car cette affaire a traîné et a trop tardé alors que le constructeur Renault a déjà opté pour le marché marocain. Selon le ministre, « il y a eu les premières manifestations des responsables français de reprendre les négociations avec nous. Nous sommes au stade d'échanges d'informations ». Le moment n'est pas encore venu, hélas, d'accélérer les démarches en ce sens que rien de palpable n'est décelé en l'état actuel des choses. « C'est un dossier qui est à l'étude. Renault est en train de préparer des dossiers pour répondre à un certain nombre de nos interrogations. Nous-mêmes sommes en train de préparer des réponses à un certain nombre d'interrogations (posées par la partie française) » a-t-il poursuivi. Sur les exigences de l'Algérie dans le cadre des négociations avec Renault, concernant le processus de gestation de cet important projet, on arrive difficilement à élucider les vrais préalables à la concrétisation de ce partenariat et les blocages et les entraves sont aussi difficiles à cerner. Benmeradi ajoute : « Nous exigeons à ce que le projet ne soit pas uniquement une usine de montage, mais une véritable usine de fabrication de véhicules avec un taux d'intégration progressif, permettant à la sous-traitance algérienne de participer au projet ». Donc, l'essentiel pour la partie algérienne consiste à installer un véritable complexe de construction automobile moyennant l'implication de l'industrie algérienne de la sous-traitance et le taux d'intégration égal au moins à 50 %. Ainsi, le ministre a ajouté que « nous exigeons également du partenaire étranger de s'engager avec nous financièrement dans l'investissement, et qu'il n'apporte pas uniquement sa marque et son label. Nous voulons qu'il s'implique ». Les premiers véhicules Renault en 2012 L'implantation de Renault en Algérie transformera complètement la configuration et la structure du marché national de l'automobile avec la nécessité de mettre un terme à l'importation massive (plus de 200.000 véhicules par an), et ce dans le but d'éviter la concurrence et la compétitivité des autres marques automobiles, notamment allemandes, italiennes et américaines. Dans cet ordre d'idées, le ministre a souligné que « la partie française a posé également certaines conditions qui ont trait notamment à la protection du marché national de l'automobile et à la suppression de l'importation de véhicules » en ajoutant que « les français exigent, de leur côté, un certain nombre de garanties que nous ne pouvons pas leur donner, des garanties de protection du marché et qu'il y ait plus d'importation de véhicules, etc. Ce sont là les questions sur lesquelles nous travaillons ».A la suite de la visite de l'émissaire de Sarkozy à Alger, récemment, le ministre avait affirmé que les détails de l'investissement ne sont pas encore arrêtés, mais le principe retenu lors des discussions entre les deux parties est d'arriver à produire 75.000 véhicules particuliers par an pour trois ou quatre modèles. Selon le ministre, « les discussions portent sur la création dans une première étape d'une usine de montage, qui sera suivie dans une seconde étape par la fabrication de véhicules avec un taux d'intégration de l'industrie nationale de 40% étalée sur quatre ans », mais précisant que dans l'hypothèse « où les négociations aboutissent, l'usine sera implantée sur les sites de la SNVI sachant que Renault s'est proposé de livrer ses véhicules au marché algérien d'ici à 2012». Tandis que les hommes d'affaires et les industriels algériens et français vont se rencontrer durant le premier trimestre 2011 à Alger, les négociations pour la finalisation du projet Renault peuvent porter leurs fruits, le cas contraire mettrait définitivement le dossier de cet ambitieux projet dans le tiroir. Reste à savoir si les exigences et les conditionnalités de la partie algérienne sont acceptables pour la partie française. Benmeradi a indiqué que « les discussions avec le constructeur automobile français Renault pour l'implantation d'une usine de construction en Algérie sont toujours en cours, et qu'une rencontre réunira les deux parties à la mi-janvier 2011 ». Après maintes tergiversations et atermoiements, donc, les deux parties sont déterminées à matérialiser ce partenariat gagnant-gagnant dans l'intérêt des deux pays, sachant que, le projet industriel pourra générer des milliers d'emplois et produire des véhicules pour le marché domestique accessibles à tous les consommateurs et à des prix raisonnables. Il s'agit également d'envisager des quotas pour l'exportation vers l'Afrique, sachant qu'actuellement le constructeur français pourvoit le marché algérien en véhicules automobiles fabriqués en Turquie (Renault Symbol) et en Roumanie (Renault Dacia)Cependant, les négociations, qui ne sont qu'à un stade préliminaire, doivent rapidement aboutir à des résultats concrets, car cette affaire a traîné et a trop tardé alors que le constructeur Renault a déjà opté pour le marché marocain. Selon le ministre, « il y a eu les premières manifestations des responsables français de reprendre les négociations avec nous. Nous sommes au stade d'échanges d'informations ». Le moment n'est pas encore venu, hélas, d'accélérer les démarches en ce sens que rien de palpable n'est décelé en l'état actuel des choses. « C'est un dossier qui est à l'étude. Renault est en train de préparer des dossiers pour répondre à un certain nombre de nos interrogations. Nous-mêmes sommes en train de préparer des réponses à un certain nombre d'interrogations (posées par la partie française) » a-t-il poursuivi. Sur les exigences de l'Algérie dans le cadre des négociations avec Renault, concernant le processus de gestation de cet important projet, on arrive difficilement à élucider les vrais préalables à la concrétisation de ce partenariat et les blocages et les entraves sont aussi difficiles à cerner. Benmeradi ajoute : « Nous exigeons à ce que le projet ne soit pas uniquement une usine de montage, mais une véritable usine de fabrication de véhicules avec un taux d'intégration progressif, permettant à la sous-traitance algérienne de participer au projet ». Donc, l'essentiel pour la partie algérienne consiste à installer un véritable complexe de construction automobile moyennant l'implication de l'industrie algérienne de la sous-traitance et le taux d'intégration égal au moins à 50 %. Ainsi, le ministre a ajouté que « nous exigeons également du partenaire étranger de s'engager avec nous financièrement dans l'investissement, et qu'il n'apporte pas uniquement sa marque et son label. Nous voulons qu'il s'implique ». Les premiers véhicules Renault en 2012 L'implantation de Renault en Algérie transformera complètement la configuration et la structure du marché national de l'automobile avec la nécessité de mettre un terme à l'importation massive (plus de 200.000 véhicules par an), et ce dans le but d'éviter la concurrence et la compétitivité des autres marques automobiles, notamment allemandes, italiennes et américaines. Dans cet ordre d'idées, le ministre a souligné que « la partie française a posé également certaines conditions qui ont trait notamment à la protection du marché national de l'automobile et à la suppression de l'importation de véhicules » en ajoutant que « les français exigent, de leur côté, un certain nombre de garanties que nous ne pouvons pas leur donner, des garanties de protection du marché et qu'il y ait plus d'importation de véhicules, etc. Ce sont là les questions sur lesquelles nous travaillons ».A la suite de la visite de l'émissaire de Sarkozy à Alger, récemment, le ministre avait affirmé que les détails de l'investissement ne sont pas encore arrêtés, mais le principe retenu lors des discussions entre les deux parties est d'arriver à produire 75.000 véhicules particuliers par an pour trois ou quatre modèles. Selon le ministre, « les discussions portent sur la création dans une première étape d'une usine de montage, qui sera suivie dans une seconde étape par la fabrication de véhicules avec un taux d'intégration de l'industrie nationale de 40% étalée sur quatre ans », mais précisant que dans l'hypothèse « où les négociations aboutissent, l'usine sera implantée sur les sites de la SNVI sachant que Renault s'est proposé de livrer ses véhicules au marché algérien d'ici à 2012». Tandis que les hommes d'affaires et les industriels algériens et français vont se rencontrer durant le premier trimestre 2011 à Alger, les négociations pour la finalisation du projet Renault peuvent porter leurs fruits, le cas contraire mettrait définitivement le dossier de cet ambitieux projet dans le tiroir. Reste à savoir si les exigences et les conditionnalités de la partie algérienne sont acceptables pour la partie française.