Le ministre de l'Industrie et de la promotion des investissements Abdelhamid Temmar, a indiqué que les autorités compétentes du pays sont en train de négocier avec une firme de construction automobile étrangère l'installation d'une usine en Algérie, en partenariat avec un investisseur privé algérien, sans toutefois préciser s'il s'agit d'un constructeur européen ou asiatique (japonais ou Sud Coréeen). S'exprimant au Sénat jeudi dernier, le ministre a indiqué que les pourparlers en vue de l'aboutissement de cette forme de coopération porte essentiellement sur le taux de participation du partenaire national et le nombre de postes de travail à créer pendant la construction de l'usine et après la mise en service de ce complexe industriel. Les noms des constructeurs candidats à l'implantation de cette usine seront connus dans trois mois, selon Temmar, précisant que le projet prévoit un taux d'intégration de 40 %, des composants de l'automobile construite en Algérie. Rappelons que des marques automobiles françaises (Peugeot et Citroën), italienne (Fiat) allemande (Wolkswagen), et asiatiques (japonaise et Sud coréenne) sont présentes en Algérie et sont tour, à même de postuler à la mise en place de cette usine, sachant que Renault Nissan, qui a longtemps tergiversé et hésité quant à une éventuelle installation en Algérie, a récemment préféré investir 1 milliard d'euros pour construire une usine de construction de voitures de tourisme et de véhicules légers dans le nouveau port de Tanger, au Maroc. A la fin de l'année dernière, l'Algérie a comptabilisé 2 millions de voitures légères, 57.000 véhicules utilitaires et 54.000 camions. En termes financiers, les importations de véhicules, durant l'année précédente, se sont soldées par plus de 3 milliards de dollars, plaçant ainsi l'Algérie au second rang au niveau africain, concernant le parc automobile, après l'Afrique du Sud. Le ministre de l'Industrie et de la promotion des investissements Abdelhamid Temmar, a indiqué que les autorités compétentes du pays sont en train de négocier avec une firme de construction automobile étrangère l'installation d'une usine en Algérie, en partenariat avec un investisseur privé algérien, sans toutefois préciser s'il s'agit d'un constructeur européen ou asiatique (japonais ou Sud Coréeen). S'exprimant au Sénat jeudi dernier, le ministre a indiqué que les pourparlers en vue de l'aboutissement de cette forme de coopération porte essentiellement sur le taux de participation du partenaire national et le nombre de postes de travail à créer pendant la construction de l'usine et après la mise en service de ce complexe industriel. Les noms des constructeurs candidats à l'implantation de cette usine seront connus dans trois mois, selon Temmar, précisant que le projet prévoit un taux d'intégration de 40 %, des composants de l'automobile construite en Algérie. Rappelons que des marques automobiles françaises (Peugeot et Citroën), italienne (Fiat) allemande (Wolkswagen), et asiatiques (japonaise et Sud coréenne) sont présentes en Algérie et sont tour, à même de postuler à la mise en place de cette usine, sachant que Renault Nissan, qui a longtemps tergiversé et hésité quant à une éventuelle installation en Algérie, a récemment préféré investir 1 milliard d'euros pour construire une usine de construction de voitures de tourisme et de véhicules légers dans le nouveau port de Tanger, au Maroc. A la fin de l'année dernière, l'Algérie a comptabilisé 2 millions de voitures légères, 57.000 véhicules utilitaires et 54.000 camions. En termes financiers, les importations de véhicules, durant l'année précédente, se sont soldées par plus de 3 milliards de dollars, plaçant ainsi l'Algérie au second rang au niveau africain, concernant le parc automobile, après l'Afrique du Sud.