L'ambassadeur de la République arabe sahraouie démocratique (RASD) à Alger, Brahim Ghali, a indiqué, jeudi, que « l'entière responsabilité de l'échec de ces négociations incombe au Conseil de sécurité et les Nations unies ». Ces rounds, n'ont mené à rien en réalité. L'ambassadeur de la République arabe sahraouie démocratique (RASD) à Alger, Brahim Ghali, a indiqué, jeudi, que « l'entière responsabilité de l'échec de ces négociations incombe au Conseil de sécurité et les Nations unies ». Ces rounds, n'ont mené à rien en réalité. Encore une fois, le quatrième round des négociations informelles entre le Front Polisario et le Maroc n'a abouti à rien de concret. L'ambassadeur de la République arabe sahraouie démocratique (RASD) à Alger, Brahim Ghali, a indiqué, jeudi, que « l'entière responsabilité de l'échec de ces négociations incombe au Conseil de sécurité et les Nations unies ». Ces rounds, a-t-il fait entendre, n'ont mené à rien en réalité. Alors qu'il s'exprimait en marge d'une conférence de presse au siège du Comité national algérien de solidarité avec le peuple sahraoui (CNASPS) par une délégation de juristes sahraouis revenus d'Afrique du Sud, Brahim Ghali, a affirmé que les discussions entre les deux parties en conflit « tournent toujours en rond ». L'échec de ces négociations est dû, selon l'ambassadeur de la RASD, à « l'intransigeance du Maroc qui fait fi, dans l'impunité, de la légalité internationale », à cela s'ajoute « le non respect par le Conseil de sécurité et les Nations unies de leurs responsabilités à l'égard de cette partie obstinée qui se doit de se conformer à la légalité internationale ». L'ambassadeur sahraoui a appelé, dans ce sens, les Nations unies « à faire pression sur la partie marocaine qui entrave toute progression des négociations afin de l'amener à se conformer à la légalité internationale et à coopérer avec la partie sahraouie ». Actuellement, a-t-il confirmé, 160 Sahraouis sont détenus dans les geôles marocaines depuis le 8 novembre dernier, date de l'attaque marocaine contre le camp de la liberté de Gdeim Izik, se trouvant à 12 km à l'est de la ville d'El Ayoun occupée. Selon lui, ces détenus n'ont toujours pas été présentés devant la justice. Ils continuent, a-t-il ajouté, de croupir dans les prisons marocaines dans des conditions extrêmement précaires. M. Ghali a, par ailleurs, rappelé qu'une campagne internationale est menée afin de faire la lumière sur ces détenus et d'appeler à leur libération. De toute évidence, la nouvelle année, pour ce qui est de ce dossier épineux, semble débuter alors qu'aucune avancée considérable n'a été enregistrée en vue d'une solution politique à ce conflit. Encore une fois, le quatrième round des négociations informelles entre le Front Polisario et le Maroc n'a abouti à rien de concret. L'ambassadeur de la République arabe sahraouie démocratique (RASD) à Alger, Brahim Ghali, a indiqué, jeudi, que « l'entière responsabilité de l'échec de ces négociations incombe au Conseil de sécurité et les Nations unies ». Ces rounds, a-t-il fait entendre, n'ont mené à rien en réalité. Alors qu'il s'exprimait en marge d'une conférence de presse au siège du Comité national algérien de solidarité avec le peuple sahraoui (CNASPS) par une délégation de juristes sahraouis revenus d'Afrique du Sud, Brahim Ghali, a affirmé que les discussions entre les deux parties en conflit « tournent toujours en rond ». L'échec de ces négociations est dû, selon l'ambassadeur de la RASD, à « l'intransigeance du Maroc qui fait fi, dans l'impunité, de la légalité internationale », à cela s'ajoute « le non respect par le Conseil de sécurité et les Nations unies de leurs responsabilités à l'égard de cette partie obstinée qui se doit de se conformer à la légalité internationale ». L'ambassadeur sahraoui a appelé, dans ce sens, les Nations unies « à faire pression sur la partie marocaine qui entrave toute progression des négociations afin de l'amener à se conformer à la légalité internationale et à coopérer avec la partie sahraouie ». Actuellement, a-t-il confirmé, 160 Sahraouis sont détenus dans les geôles marocaines depuis le 8 novembre dernier, date de l'attaque marocaine contre le camp de la liberté de Gdeim Izik, se trouvant à 12 km à l'est de la ville d'El Ayoun occupée. Selon lui, ces détenus n'ont toujours pas été présentés devant la justice. Ils continuent, a-t-il ajouté, de croupir dans les prisons marocaines dans des conditions extrêmement précaires. M. Ghali a, par ailleurs, rappelé qu'une campagne internationale est menée afin de faire la lumière sur ces détenus et d'appeler à leur libération. De toute évidence, la nouvelle année, pour ce qui est de ce dossier épineux, semble débuter alors qu'aucune avancée considérable n'a été enregistrée en vue d'une solution politique à ce conflit.