Hier, la wilaya de Boumerdès a été le théâtre de deux protestations grandioses de citoyens en colère. La première action a été initiée par les habitants de plusieurs villages de la commune de Bordj Ménaïel, à une quarantaine de kilomètres à l'est de Boumerdès. Les habitants des villages Tizi N'Ali N'Slimane, Tiharakine et Zidi, composant l'Arch Rouafâa, ont, observé, dans la matinée d'hier, un rassemblement devant le siège de la cour de Boumerdès, en signe de solidarité avec leurs concitoyens poursuivis en justice par l'APC de Bordj Ménaïel. Ils étaient plus de 1400 villageois à dire leur colère et réclamer la levée des poursuites judiciaires contre quatre citoyens de la localité, accusés d'avoir proférés des menaces à l'encontre des éboueurs de l'APC et interdits le jet des ordures ménagères au niveau de la décharge communale de Vachet, fermé par les villageois, il y a de cela, près de huit mois. « Qu'ils retirent leurs plaintes, car nous sommes tous concernés par cette décharge, nous sommes venus ici, pour dire que c'est tout les habitants de la localité qui refusent de cette décharge que nous réclamons vainement depuis plusieurs mois son transfert», nous dira un protestataire. Selon les villageois, les quatre citoyens comparaitrons devant le juge prochainement. Une requête ainsi qu'une pétition ont été établis et signés par plus de 600 personnes et transmises au juge chargé du traitement du dossier des quatre personnes, nous-dit-on. Les protestataires se sont regroupés devant le siège de la cour et vers 10h ils se sont dispersés dans le calme. Pour rappel, c'est la quatrième fois depuis huit mois, que les habitants dudit Arch, observent une action de protestation. La dernière action a été organisée, le 4 décembre dernier, au niveau du siège de l'APC de Bordj Ménaïel, ils ont réclamé la levée des poursuites judiciaires enclenchées à l'encontre des quatre citoyens cités plus haut. Notons que la ville de Bordj-Ménaïel croule sous les ordures depuis que la décharge Vachet fermée par les villageois du faite des désagréments qu'elle cause à longueur d''année particulièrement en été. L'APC a été contrainte de décharger les déchets ménagers au niveau des décharges des communes limitrophes des Issers et de Chabet El Ameur. Notons qu'enfin le projet de CET devant être réalisé dans la localité de Zâatra, dans la commune de Zemmouri, peine toujours à se concrétiser. Par ailleurs, les habitants du village B'hallil ans la commune d'Afir, à 65 km à l'est de Boumerdès, ont protesté, hier, pour la troisième fois, leur colère contre ce qu'ils qualifient de laxisme excessif des autorités locales quant à la résolution de leur revendication concernant le bitumage des pistes de leur localité. Ils ont réclamé le revêtement d'une piste longue d'à peine 1 kilomètre qui devient boueuse en période hivernale. Cette situation cause d'énormes désagréments aux villageois notamment les automobilistes. En milieu de journée d'hier, les villageois maintenaient encore la fermeture du siège de l'APC d'Afir. Notons, par ailleurs, que les villageois sont contraints de faire un détour via le village Azrou (Dellys) pour arriver au chef lieu communal d'Afir en raison de l'indisponibilité des moyens de transports. Hier, la wilaya de Boumerdès a été le théâtre de deux protestations grandioses de citoyens en colère. La première action a été initiée par les habitants de plusieurs villages de la commune de Bordj Ménaïel, à une quarantaine de kilomètres à l'est de Boumerdès. Les habitants des villages Tizi N'Ali N'Slimane, Tiharakine et Zidi, composant l'Arch Rouafâa, ont, observé, dans la matinée d'hier, un rassemblement devant le siège de la cour de Boumerdès, en signe de solidarité avec leurs concitoyens poursuivis en justice par l'APC de Bordj Ménaïel. Ils étaient plus de 1400 villageois à dire leur colère et réclamer la levée des poursuites judiciaires contre quatre citoyens de la localité, accusés d'avoir proférés des menaces à l'encontre des éboueurs de l'APC et interdits le jet des ordures ménagères au niveau de la décharge communale de Vachet, fermé par les villageois, il y a de cela, près de huit mois. « Qu'ils retirent leurs plaintes, car nous sommes tous concernés par cette décharge, nous sommes venus ici, pour dire que c'est tout les habitants de la localité qui refusent de cette décharge que nous réclamons vainement depuis plusieurs mois son transfert», nous dira un protestataire. Selon les villageois, les quatre citoyens comparaitrons devant le juge prochainement. Une requête ainsi qu'une pétition ont été établis et signés par plus de 600 personnes et transmises au juge chargé du traitement du dossier des quatre personnes, nous-dit-on. Les protestataires se sont regroupés devant le siège de la cour et vers 10h ils se sont dispersés dans le calme. Pour rappel, c'est la quatrième fois depuis huit mois, que les habitants dudit Arch, observent une action de protestation. La dernière action a été organisée, le 4 décembre dernier, au niveau du siège de l'APC de Bordj Ménaïel, ils ont réclamé la levée des poursuites judiciaires enclenchées à l'encontre des quatre citoyens cités plus haut. Notons que la ville de Bordj-Ménaïel croule sous les ordures depuis que la décharge Vachet fermée par les villageois du faite des désagréments qu'elle cause à longueur d''année particulièrement en été. L'APC a été contrainte de décharger les déchets ménagers au niveau des décharges des communes limitrophes des Issers et de Chabet El Ameur. Notons qu'enfin le projet de CET devant être réalisé dans la localité de Zâatra, dans la commune de Zemmouri, peine toujours à se concrétiser. Par ailleurs, les habitants du village B'hallil ans la commune d'Afir, à 65 km à l'est de Boumerdès, ont protesté, hier, pour la troisième fois, leur colère contre ce qu'ils qualifient de laxisme excessif des autorités locales quant à la résolution de leur revendication concernant le bitumage des pistes de leur localité. Ils ont réclamé le revêtement d'une piste longue d'à peine 1 kilomètre qui devient boueuse en période hivernale. Cette situation cause d'énormes désagréments aux villageois notamment les automobilistes. En milieu de journée d'hier, les villageois maintenaient encore la fermeture du siège de l'APC d'Afir. Notons, par ailleurs, que les villageois sont contraints de faire un détour via le village Azrou (Dellys) pour arriver au chef lieu communal d'Afir en raison de l'indisponibilité des moyens de transports.