Les familles des 17 Algériens pris en otage, depuis déjà 6 jours, dans l'Océan Indien par des pirates, probablement somaliens, pourront espérer voir les leurs une fois que les auteurs de cet acte auront dicté leurs conditions. Les familles des 17 Algériens pris en otage, depuis déjà 6 jours, dans l'Océan Indien par des pirates, probablement somaliens, pourront espérer voir les leurs une fois que les auteurs de cet acte auront dicté leurs conditions. En effet, Le ministre des Transports, Amar Tou, a annoncé, hier, que l'Etat algérien est prêt à répondre aux exigences des ravisseurs quand ces derniers le demanderont. En marge d'une journée parlementaire, tenue hier, sur la sécurité routière, le ministre a indiqué qu'il n'y a aucun contact avec les auteurs de l'acte de piraterie dont a fait l'objet, de puis samedi dernier, le vraquier battant pavillon algérien, «MV Blida.» «Nous n'avons pas de contacts avec les auteurs de l'acte de piraterie, parce qu'ils ne communiquent pas», a-t-il dit. Il a, dans ce sens, rappelé que «l'acte de piraterie n'a pas été revendiqué», avant d'ajouter que «l'Algérie est prête répondre aux exigences des ravisseurs». Il a, en outre, rassuré que ses services compétents suivent les développements de cette affaire. Par ailleurs, Tou a estimé que cet acte a pu avoir lieu à cause d'«une négligence» de l'équipage. Soulignant que les pirates ont profité de la célébration du Nouvel An pour commettre leur acte. Par ailleurs, Amar Tou a, concernant la destination du navire otage, fait savoir que «nous savons où le navire est, à tout moment, car nous avons au niveau du ministère le système COSS (un dispositif de veille pour la sûreté et la sécurité des navire) qui nous permet de situer le bateau». Il a, dans ce sens, tenu à préciser que «nous pouvons même grâce à ce système obtenir toutes les informations sur le navire et son inscription parce qu'il est enregistré à travers le monde. Nous pouvons le faire parce que les pirates n'ont pas encore coupé le système de communication qui est à bord du navire». D'autre part, Tou a indiqué que le navire était dans les eaux internationales et se dirigeait vers les eaux territoriales somaliennes. Il convient de souligner que l'Algérie a fait de la criminalisation du paiement de rançons son cheval de bataille à l'Organisation onusienne. Il est toutefois utile de rappeler le double discours des Européens quant à la criminalisation du paiement de rançons d'un côté et le paiement de ces rançons de l'autre à l'image de l'Allemagne et l'Espagne. Il faut dire que c'est une équation complexe et même difficile à résoudre pour le ministère des Affaires étrangères algérien. En effet, Le ministre des Transports, Amar Tou, a annoncé, hier, que l'Etat algérien est prêt à répondre aux exigences des ravisseurs quand ces derniers le demanderont. En marge d'une journée parlementaire, tenue hier, sur la sécurité routière, le ministre a indiqué qu'il n'y a aucun contact avec les auteurs de l'acte de piraterie dont a fait l'objet, de puis samedi dernier, le vraquier battant pavillon algérien, «MV Blida.» «Nous n'avons pas de contacts avec les auteurs de l'acte de piraterie, parce qu'ils ne communiquent pas», a-t-il dit. Il a, dans ce sens, rappelé que «l'acte de piraterie n'a pas été revendiqué», avant d'ajouter que «l'Algérie est prête répondre aux exigences des ravisseurs». Il a, en outre, rassuré que ses services compétents suivent les développements de cette affaire. Par ailleurs, Tou a estimé que cet acte a pu avoir lieu à cause d'«une négligence» de l'équipage. Soulignant que les pirates ont profité de la célébration du Nouvel An pour commettre leur acte. Par ailleurs, Amar Tou a, concernant la destination du navire otage, fait savoir que «nous savons où le navire est, à tout moment, car nous avons au niveau du ministère le système COSS (un dispositif de veille pour la sûreté et la sécurité des navire) qui nous permet de situer le bateau». Il a, dans ce sens, tenu à préciser que «nous pouvons même grâce à ce système obtenir toutes les informations sur le navire et son inscription parce qu'il est enregistré à travers le monde. Nous pouvons le faire parce que les pirates n'ont pas encore coupé le système de communication qui est à bord du navire». D'autre part, Tou a indiqué que le navire était dans les eaux internationales et se dirigeait vers les eaux territoriales somaliennes. Il convient de souligner que l'Algérie a fait de la criminalisation du paiement de rançons son cheval de bataille à l'Organisation onusienne. Il est toutefois utile de rappeler le double discours des Européens quant à la criminalisation du paiement de rançons d'un côté et le paiement de ces rançons de l'autre à l'image de l'Allemagne et l'Espagne. Il faut dire que c'est une équation complexe et même difficile à résoudre pour le ministère des Affaires étrangères algérien.