Le président de l'Association française des victimes de terrorisme, Guillaume Denoix de Saint Marc a estimé, hier, que le plus important est qu'il faut engager des négociations dans le cas de kidnappings. «Chaque Etat est en droit d'avoir un point de vue sur la question du paiement de rançons pour les ravisseurs, mais celai ne résout pas le problème pour autant», a-t-il indiqué, tout en expliquant que l'Algérie et la France, qui ont des perceptions différentes à ce propos, demeurent contraints dans les deux cas de négocier la libération de leurs ressortissants. Guillaume de Saint Marc, qui séjourne depuis deux jours en Algérie à l'invitation du Collectif algérien de la Fédération internationale des associations de victimes de terrorisme, veut dire qu'il n'y a pas de solution miracle pour combattre les prises d'otages qui sont, le plus souvent, perpétrées pour avoir des rançons en contrepartie. Pour lui il faudra composer avec ce genre de situations, en entrant en contact avec les ravisseurs. Pour rappel, 17 Algériens sont pris en otage par des pirates au large du Golfe d'Aden depuis quelques jours, alors que 5 Français sont entre les mains des éléments d'Aqmi au nord du Mali depuis septembre dernier. Le président de l'Association française des victimes de terrorisme, Guillaume Denoix de Saint Marc a estimé, hier, que le plus important est qu'il faut engager des négociations dans le cas de kidnappings. «Chaque Etat est en droit d'avoir un point de vue sur la question du paiement de rançons pour les ravisseurs, mais celai ne résout pas le problème pour autant», a-t-il indiqué, tout en expliquant que l'Algérie et la France, qui ont des perceptions différentes à ce propos, demeurent contraints dans les deux cas de négocier la libération de leurs ressortissants. Guillaume de Saint Marc, qui séjourne depuis deux jours en Algérie à l'invitation du Collectif algérien de la Fédération internationale des associations de victimes de terrorisme, veut dire qu'il n'y a pas de solution miracle pour combattre les prises d'otages qui sont, le plus souvent, perpétrées pour avoir des rançons en contrepartie. Pour lui il faudra composer avec ce genre de situations, en entrant en contact avec les ravisseurs. Pour rappel, 17 Algériens sont pris en otage par des pirates au large du Golfe d'Aden depuis quelques jours, alors que 5 Français sont entre les mains des éléments d'Aqmi au nord du Mali depuis septembre dernier.