Les établissements scolaires qui ont été "gravement" ou "faiblement" touchés par les violences enregistrées dans certaines wilayas du pays ont connu une "reprise normale", a indiqué hier le ministère de l'Education nationale. «45 établissements, dont 21 lycées sur un total de près de 1.900, 20 collèges d'enseignement moyen sur près de 5.000 établissements, et 4 écoles primaires sur près de 18.000 établissements ont été touchés par les émeutes survenues dans des villes et localités du pays », a précisé à l'APS une source proche du ministère. La reprise "normale" des cours au sein des établissements scolaires, touchés par ces violences, a pu se faire « grâce à la mobilisation des responsables des structures décentralisées de l'éducation nationale avec la collaboration étroite des autorités locales», a-t-on ajouté. Les structures décentralisées de l'Education nationale ont fait appel à des artisans ainsi qu'à des petites entreprises pour effectuer les premiers travaux de remise en état des établissements affectés afin d'accueillir dans les "meilleures conditions possibles" les élèves, selon la même source. Le ministère a relevé, par ailleurs, que dans la wilaya de Béjaïa, les parents n'ont pas envoyé leurs enfants dans deux établissements d'enseignement secondaire, le premier situé dans la localité de Derguina, le second à Kherrata. D'autre part, le ministère a tenu à saluer, selon la même source, le "large mouvement citoyen" pour la protection des établissements scolaires en vue d'empêcher que ces derniers ne fassent l'objet d'actes de vandalisme. Les établissements scolaires qui ont été "gravement" ou "faiblement" touchés par les violences enregistrées dans certaines wilayas du pays ont connu une "reprise normale", a indiqué hier le ministère de l'Education nationale. «45 établissements, dont 21 lycées sur un total de près de 1.900, 20 collèges d'enseignement moyen sur près de 5.000 établissements, et 4 écoles primaires sur près de 18.000 établissements ont été touchés par les émeutes survenues dans des villes et localités du pays », a précisé à l'APS une source proche du ministère. La reprise "normale" des cours au sein des établissements scolaires, touchés par ces violences, a pu se faire « grâce à la mobilisation des responsables des structures décentralisées de l'éducation nationale avec la collaboration étroite des autorités locales», a-t-on ajouté. Les structures décentralisées de l'Education nationale ont fait appel à des artisans ainsi qu'à des petites entreprises pour effectuer les premiers travaux de remise en état des établissements affectés afin d'accueillir dans les "meilleures conditions possibles" les élèves, selon la même source. Le ministère a relevé, par ailleurs, que dans la wilaya de Béjaïa, les parents n'ont pas envoyé leurs enfants dans deux établissements d'enseignement secondaire, le premier situé dans la localité de Derguina, le second à Kherrata. D'autre part, le ministère a tenu à saluer, selon la même source, le "large mouvement citoyen" pour la protection des établissements scolaires en vue d'empêcher que ces derniers ne fassent l'objet d'actes de vandalisme.