L'Association nationale des hémophiles (bureau de Tizi Ouzou) est sortie de sa réserve pour dénoncer ce qu'elle qualifie d'injustice. Cette dernière, par la voix de sa présidente, dénonce la mauvaise prise en charge des hémophiles au niveau du service de pédiatrie du Centre hospitalo-universitaire « Nedir-Mohamed » de Tizi Ouzou. La présidente a souligné que, grâce aux efforts de son association et à la bonne volonté de l'ancien directeur de l'hôpital de Tizi Ouzou, le docteur Mansouri, il a été possible de mettre en place un programme de prise en charge qui avoisinne la perfection, en permettant un traitement à domicile pour tous les malades hémophiles adultes ainsi qu'un traitement prophylactique pour les plus jeunes en pédiatrie. La même responsable précise qu'à Tizi Ouzou, les jeunes malades hémophiles sont pris en charge dans le service de pédiatrie par une équipe d'hématologues orientée à cet effet. La présidente de l'association en question déplore toutefois que depuis le départ du Dr Mansouri, « nos jeunes malades sont victimes d'une anarchie à cause de l'interdiction de toute prescription d'ordonnance sur les facteurs de coagulation par les hématologues ainsi que l'interdiction des gardes de ces médecins, qui ont été toujours présents pour rassurer les malades même en l'absence de médicaments dans un passé proche ». Et de préciser que les malades en question se trouvent livrés à eux-même. Ces derniers attendent en effet longtemps avant de pouvoir avoir accès aux médicaments. Les conséquences de ce changement sont nombreuses comme c'est le cas d'un incident ayant surgi suite à la circoncision d'un enfant de 4 ans et qui a des inhibiteurs, nécessitant de ce fait un autre facteur de coagulation. L'enfant a vécu une situation tragique à cause de l'absence d'une prise en charge adéquate. Plusieurs autres incidents similaires ont été enregistrés selon la même source. La présidente de l'association des hémophiles qui est membre de la Fédération mondiale des hémophiles a saisi le ministre de la Santé par écrit afin que ce dernier réagisse à cette situation. L'Association nationale des hémophiles (bureau de Tizi Ouzou) est sortie de sa réserve pour dénoncer ce qu'elle qualifie d'injustice. Cette dernière, par la voix de sa présidente, dénonce la mauvaise prise en charge des hémophiles au niveau du service de pédiatrie du Centre hospitalo-universitaire « Nedir-Mohamed » de Tizi Ouzou. La présidente a souligné que, grâce aux efforts de son association et à la bonne volonté de l'ancien directeur de l'hôpital de Tizi Ouzou, le docteur Mansouri, il a été possible de mettre en place un programme de prise en charge qui avoisinne la perfection, en permettant un traitement à domicile pour tous les malades hémophiles adultes ainsi qu'un traitement prophylactique pour les plus jeunes en pédiatrie. La même responsable précise qu'à Tizi Ouzou, les jeunes malades hémophiles sont pris en charge dans le service de pédiatrie par une équipe d'hématologues orientée à cet effet. La présidente de l'association en question déplore toutefois que depuis le départ du Dr Mansouri, « nos jeunes malades sont victimes d'une anarchie à cause de l'interdiction de toute prescription d'ordonnance sur les facteurs de coagulation par les hématologues ainsi que l'interdiction des gardes de ces médecins, qui ont été toujours présents pour rassurer les malades même en l'absence de médicaments dans un passé proche ». Et de préciser que les malades en question se trouvent livrés à eux-même. Ces derniers attendent en effet longtemps avant de pouvoir avoir accès aux médicaments. Les conséquences de ce changement sont nombreuses comme c'est le cas d'un incident ayant surgi suite à la circoncision d'un enfant de 4 ans et qui a des inhibiteurs, nécessitant de ce fait un autre facteur de coagulation. L'enfant a vécu une situation tragique à cause de l'absence d'une prise en charge adéquate. Plusieurs autres incidents similaires ont été enregistrés selon la même source. La présidente de l'association des hémophiles qui est membre de la Fédération mondiale des hémophiles a saisi le ministre de la Santé par écrit afin que ce dernier réagisse à cette situation.