«Nous nous efforçons de développer un partenariat entre le Luxembourg et l'Algérie en transférant notamment le savoir-faire et en stimulant la coopération entre nos deux pays» a notamment déclaré, hier, Jean-Claude Knebeler, chargé de la direction du commerce extérieur au ministère de l'Economie et du Commerce extérieur du Grand-Duché de Luxembourg, à l'adresse des opérateurs et hommes d'affaires algériens. Durant trois jours, les membres de la délégation luxembourgeoise, composée essentiellement du ministre de l'Economie et du Commerce extérieur, Jeannot Krecké, et d'hommes d'affaires ont eu des négociations avec le ministre de l'Industrie, de la PME et de la promotion des investissements, Mohamed Benmeradi et des responsables de la Chambre algérienne de commerce et d'industrie. L'essentiel de l'objet de la visite consiste à mettre en place un pont pour intensifier la coopération entre les deux pays dont les échanges commerciaux sont jugés faibles (2 à 3 millions d'euros seulement) alors que les ambitions des parties de développer des projets de développement économiques communs sont grandes. L'attaché du département international de la Chambre de commerce du Luxembourg, Daniel Sahr, est optimiste concernant la promotion des échanges entre les deux pays estimant que le partenariat algéro-luxembourgeois peut connaître un boom extraordinaire, car a-t-il dit, «les entreprises du Luxembourg cherchent, non seulement à développer des activités commerciales et d'exportation vers l'Algérie, mais également à nouer un partenariat durable avec des entreprises algériennes. Il s'agit d'explorer des créneaux spécifiques avec les sociétés algériennes afin de développer des projets structurants de grande envergure et réaliser des infrastructures ». La collaboration entre les opérateurs algériens et les industriels luxembourgeois est enclenchée dans les secteurs d'activités considérés comme étant stratégiques en Algérie. «Il y a des entreprises de dragage pour la construction des ports et nous avons la volonté ferme de développer des projets de développement». Les 13 hommes d'affaires luxembourgeois, présents à Alger, sont spécialisés dans des domaines industriels multisectoriels, tels que la construction, la finance et tout ce concerne les infrastructures. Mise en place de la future Chambre de commerce algéro-luxembourgeoise La «consistance» des membres de la délégation du Luxembourg montre la détermination du Grand-Duché de fructifier des projets entre les deux pays. En effet, outre la délégation officielle, composée du ministre de l'Economie et du Commerce extérieur, et des responsables du ministère des Finances et des Affaires étrangères, on peut également citer les membres des Fédérations d'entreprises et de la Chambre de commerce du Luxembourg, ainsi que les délégations d'entreprises (banque du Luxembourg, Dexia Bil Business développement pour l'Afrique du Nord, Egerie S. A., Experta Luxembourg, future Chambre de commerce Luxembourg-Algérie…). Le Président-directeur général de l'entreprise Egerie S. A., spécialisée dans les conseils, études et réalisations de systèmes d'information, Tabet Rahba, dira que sa présence en Algérie a pour but essentiel «d'apporter quelque chose au niveau de l'intelligence et non pas sur la quincaillerie pour l'Algérie. Il faut une persévérance et piloter des projets viables pour apporter une plus value. Je compte intervenir en Algérie, mais il devient impérieux de développer des projets structuarnts en Algérie et réaliser quelque chose de solide en formant des cadres, des informaticiens et des techniciens. Il s'agit d'assurer la continuité de cet investissement ». L'Algérie est considérée comme une porte d'entrée pour l'Afrique pour les investisseurs européens, par conséquent, le climat d'affaires attrayant attire de plus en plus d'investisseurs et d'hommes d'affaires de pays occidentaux en raison de son vaste marché et de ses projets de développement auquel plus de 286 milliards de dollars seront consacrés. D'où l'engouement des entreprises européennes pour s'impliquer dans les activités de développement en proposant leur expertise et leurs technologies. Au slogan «Pour ceux qui voient loin, l‘Algérie tout près» de l'Agence nationale algérienne de développement de l'investissement (ANDI) pour inciter les investisseurs étrangers à venir massivement en Algérie, le ministre de l'Economie et du Commerce extérieur, Jeannot Krecké, dira «le Luxembourg est, certes, un petit pays, mais dont le dynamisme et l'attractivité ne sont plus à démontrer pour ceux qui ont pris la peine de le regarder de plus près ». Considéré comme «le cœur vert de l'Europe», le Luxembourg possède un secteur financier parmi les premiers au monde offrant tous les services annexes aux métiers bancaires et financiers, affirme Kreché ajoutant que ce pays verdoyant possède «une industrie de pointe basée sur la très haute technologie et l'innovation, un centre logistique accueillant aussi bien par voies aériennes, terrestres et même fluviales les marchandises en provenance de la planète sauront attirer tout investisseur souhaitant développer ses activités en Europe». «Nous nous efforçons de développer un partenariat entre le Luxembourg et l'Algérie en transférant notamment le savoir-faire et en stimulant la coopération entre nos deux pays» a notamment déclaré, hier, Jean-Claude Knebeler, chargé de la direction du commerce extérieur au ministère de l'Economie et du Commerce extérieur du Grand-Duché de Luxembourg, à l'adresse des opérateurs et hommes d'affaires algériens. Durant trois jours, les membres de la délégation luxembourgeoise, composée essentiellement du ministre de l'Economie et du Commerce extérieur, Jeannot Krecké, et d'hommes d'affaires ont eu des négociations avec le ministre de l'Industrie, de la PME et de la promotion des investissements, Mohamed Benmeradi et des responsables de la Chambre algérienne de commerce et d'industrie. L'essentiel de l'objet de la visite consiste à mettre en place un pont pour intensifier la coopération entre les deux pays dont les échanges commerciaux sont jugés faibles (2 à 3 millions d'euros seulement) alors que les ambitions des parties de développer des projets de développement économiques communs sont grandes. L'attaché du département international de la Chambre de commerce du Luxembourg, Daniel Sahr, est optimiste concernant la promotion des échanges entre les deux pays estimant que le partenariat algéro-luxembourgeois peut connaître un boom extraordinaire, car a-t-il dit, «les entreprises du Luxembourg cherchent, non seulement à développer des activités commerciales et d'exportation vers l'Algérie, mais également à nouer un partenariat durable avec des entreprises algériennes. Il s'agit d'explorer des créneaux spécifiques avec les sociétés algériennes afin de développer des projets structurants de grande envergure et réaliser des infrastructures ». La collaboration entre les opérateurs algériens et les industriels luxembourgeois est enclenchée dans les secteurs d'activités considérés comme étant stratégiques en Algérie. «Il y a des entreprises de dragage pour la construction des ports et nous avons la volonté ferme de développer des projets de développement». Les 13 hommes d'affaires luxembourgeois, présents à Alger, sont spécialisés dans des domaines industriels multisectoriels, tels que la construction, la finance et tout ce concerne les infrastructures. Mise en place de la future Chambre de commerce algéro-luxembourgeoise La «consistance» des membres de la délégation du Luxembourg montre la détermination du Grand-Duché de fructifier des projets entre les deux pays. En effet, outre la délégation officielle, composée du ministre de l'Economie et du Commerce extérieur, et des responsables du ministère des Finances et des Affaires étrangères, on peut également citer les membres des Fédérations d'entreprises et de la Chambre de commerce du Luxembourg, ainsi que les délégations d'entreprises (banque du Luxembourg, Dexia Bil Business développement pour l'Afrique du Nord, Egerie S. A., Experta Luxembourg, future Chambre de commerce Luxembourg-Algérie…). Le Président-directeur général de l'entreprise Egerie S. A., spécialisée dans les conseils, études et réalisations de systèmes d'information, Tabet Rahba, dira que sa présence en Algérie a pour but essentiel «d'apporter quelque chose au niveau de l'intelligence et non pas sur la quincaillerie pour l'Algérie. Il faut une persévérance et piloter des projets viables pour apporter une plus value. Je compte intervenir en Algérie, mais il devient impérieux de développer des projets structuarnts en Algérie et réaliser quelque chose de solide en formant des cadres, des informaticiens et des techniciens. Il s'agit d'assurer la continuité de cet investissement ». L'Algérie est considérée comme une porte d'entrée pour l'Afrique pour les investisseurs européens, par conséquent, le climat d'affaires attrayant attire de plus en plus d'investisseurs et d'hommes d'affaires de pays occidentaux en raison de son vaste marché et de ses projets de développement auquel plus de 286 milliards de dollars seront consacrés. D'où l'engouement des entreprises européennes pour s'impliquer dans les activités de développement en proposant leur expertise et leurs technologies. Au slogan «Pour ceux qui voient loin, l‘Algérie tout près» de l'Agence nationale algérienne de développement de l'investissement (ANDI) pour inciter les investisseurs étrangers à venir massivement en Algérie, le ministre de l'Economie et du Commerce extérieur, Jeannot Krecké, dira «le Luxembourg est, certes, un petit pays, mais dont le dynamisme et l'attractivité ne sont plus à démontrer pour ceux qui ont pris la peine de le regarder de plus près ». Considéré comme «le cœur vert de l'Europe», le Luxembourg possède un secteur financier parmi les premiers au monde offrant tous les services annexes aux métiers bancaires et financiers, affirme Kreché ajoutant que ce pays verdoyant possède «une industrie de pointe basée sur la très haute technologie et l'innovation, un centre logistique accueillant aussi bien par voies aériennes, terrestres et même fluviales les marchandises en provenance de la planète sauront attirer tout investisseur souhaitant développer ses activités en Europe».