Les réactions internationales à la crise politique, qui prévaut en Tunisie, se partagent entre des appels au calme et au respect de la volonté du peuple tunisien. Ainsi, les Nations unies, par la voix de leur SG, Ban Ki-Moon, s'est dit attristé par les morts dans les mouvements de protestations populaires qui secouent la Tunisie. «Je suis de très près et avec préoccupation la situation en Tunisie. Je suis attristé par les pertes en vies humaines et j'appelle de nouveau à la retenue dans le recours à la force et au plein respect de la liberté d'expression et d'association», a-t-il dit, tout en appelant à résoudre les problèmes de façon pacifique. De son côté, le président des Etats-Unis, tout en saluant «le courage et la dignité du peuple tunisien», appelle le gouvernement à organiser des «élections libres et justes». «J'encourage toutes les parties à maintenir le calme et à éviter des violences et appelle le gouvernement tunisien à respecter les droits de l'homme et à organiser dans un proche avenir des élections libres et justes qui reflètent la volonté réelle et les aspirations des Tunisiens», a déclaré Barack Obama. L'UE pour sa part, a appelé à une solution démocratique «durable» en Tunisie. La Grande-Bretagne elle, s'est prononcée en faveur d'un règlement pacifique de la crise. «Je condamne la violence et nous appelons les autorités tunisiennes à faire tout leur possible pour régler pacifiquement la situation. Je plaide pour un retour rapide à l'ordre public, la retenue de toutes les parties, et pour un passage ordonné à des élections libres et équitables et une expansion immédiate des libertés politiques en Tunisie», a déclaré William Hague, le ministre britannique des AE. La chancelière allemande Angela Merkel a appelé à l'instauration d'«une véritable démocratie» en Tunisie, tout en soulignant la nécessité d'utiliser «cette césure profonde dans l'histoire de la Tunisie» comme «un nouveau départ». Pékin de son côté, a fait part de son souhait de voir la stabilité se rétablir de nouveau en Tunisie. Dans une déclaration à la presse, un porte-parole du ministère chinois des AE, Hong Lei, a fait part des inquiétudes de son pays face à ce qui se passe en Tunisie, tout en souhaitant que «la stabilité soit rétablie le plus vite possible». «Nous lançons un appel sincère et amical aux différentes institutions en Tunisie et à toutes les composantes sociales pour faire prévaloir le calme, la retenue et la dialogue», souligne par ailleurs, un communiqué du ministère des AE d'Italie. Enfin, Le porte-parole du ministère des AE qatari a déclaré que «le Qatar respecte la volonté et le choix du peuple tunisien», affirmant «suivre les événements en cours en Tunisie», tout en indiquant que «le Qatar s'engage à maintenir ses solides relations avec le peuple tunisien (...) et à les développer dans l'intérêt des deux pays frères». Les réactions internationales à la crise politique, qui prévaut en Tunisie, se partagent entre des appels au calme et au respect de la volonté du peuple tunisien. Ainsi, les Nations unies, par la voix de leur SG, Ban Ki-Moon, s'est dit attristé par les morts dans les mouvements de protestations populaires qui secouent la Tunisie. «Je suis de très près et avec préoccupation la situation en Tunisie. Je suis attristé par les pertes en vies humaines et j'appelle de nouveau à la retenue dans le recours à la force et au plein respect de la liberté d'expression et d'association», a-t-il dit, tout en appelant à résoudre les problèmes de façon pacifique. De son côté, le président des Etats-Unis, tout en saluant «le courage et la dignité du peuple tunisien», appelle le gouvernement à organiser des «élections libres et justes». «J'encourage toutes les parties à maintenir le calme et à éviter des violences et appelle le gouvernement tunisien à respecter les droits de l'homme et à organiser dans un proche avenir des élections libres et justes qui reflètent la volonté réelle et les aspirations des Tunisiens», a déclaré Barack Obama. L'UE pour sa part, a appelé à une solution démocratique «durable» en Tunisie. La Grande-Bretagne elle, s'est prononcée en faveur d'un règlement pacifique de la crise. «Je condamne la violence et nous appelons les autorités tunisiennes à faire tout leur possible pour régler pacifiquement la situation. Je plaide pour un retour rapide à l'ordre public, la retenue de toutes les parties, et pour un passage ordonné à des élections libres et équitables et une expansion immédiate des libertés politiques en Tunisie», a déclaré William Hague, le ministre britannique des AE. La chancelière allemande Angela Merkel a appelé à l'instauration d'«une véritable démocratie» en Tunisie, tout en soulignant la nécessité d'utiliser «cette césure profonde dans l'histoire de la Tunisie» comme «un nouveau départ». Pékin de son côté, a fait part de son souhait de voir la stabilité se rétablir de nouveau en Tunisie. Dans une déclaration à la presse, un porte-parole du ministère chinois des AE, Hong Lei, a fait part des inquiétudes de son pays face à ce qui se passe en Tunisie, tout en souhaitant que «la stabilité soit rétablie le plus vite possible». «Nous lançons un appel sincère et amical aux différentes institutions en Tunisie et à toutes les composantes sociales pour faire prévaloir le calme, la retenue et la dialogue», souligne par ailleurs, un communiqué du ministère des AE d'Italie. Enfin, Le porte-parole du ministère des AE qatari a déclaré que «le Qatar respecte la volonté et le choix du peuple tunisien», affirmant «suivre les événements en cours en Tunisie», tout en indiquant que «le Qatar s'engage à maintenir ses solides relations avec le peuple tunisien (...) et à les développer dans l'intérêt des deux pays frères».