Les brigades de contrôle relevant des services de la direction du commerce de la wilaya d'Alger procèdent actuellement à "l'observation" de l'application des prix des produits de large consommation, a souligné hier un responsable auprès de cette direction. Les brigades de contrôle relevant des services de la direction du commerce de la wilaya d'Alger procèdent actuellement à "l'observation" de l'application des prix des produits de large consommation, a souligné hier un responsable auprès de cette direction. «Les agents de contrôle, sur instruction du ministère du Commerce, observent, comme ils le font toujours, les prix appliqués par les opérateurs économiques sur les produits de première nécessité, dont l'huile et le sucre", a indiqué à l'APS le directeur du contrôle et du contentieux, M. Malek Kemmache. Le ministre du Commerce, M. Mustapha Benbada a précisé hier à la Radio nationale, qu'il s'agit plutôt d'une "observation de l'évolution du marché" et du "contrôle de la qualité des produits", et non d'une "opération spéciale pour le contrôle des prix de l'huile et du sucre". M. Benbada s'est félicité de la stabilité des prix de ces deux denrées à leur niveau fixé dimanche dernier, affirmant que la moyenne nationale des prix enregistrée jeudi dernier pour le sucre était de 92 DA et 598 DA pour l'huile. Il a précisé que cette moyenne a baissé dimanche à 90 DA pour le sucre et 593 DA pour l'huile, et a qualifié cette évolution de "positive". M. Benbada a fait état, néanmoins, de cas "exceptionnels et isolés" dans certaines wilayas, à l'instar de Tindouf ou El Bayadh, où les prix des deux produits sont au-dessus de ceux fixés par le gouvernement, et ce, en raison "peut être du manque d'un accord pour le remboursement entre certains grossistes et les détaillants". Un deuxième Conseil interministériel s'était, rappelons-le, tenu jeudi passé pour parachever le dispositif juridique et organisationnel relatif à la régulation des prix et la définition de la marge bénéficiaire des produits de large consommation. Selon le ministre du Commerce, M. Mustapha Benbada, cette réunion va "examiner des décrets exécutifs prévus par les lois relatives à la concurrence et aux pratiques commerciales", notamment, dans "leur aspect relatif à la définition des marges bénéficiaires des produits de large consommation et d'autres produits qui seront concernés par ces mesures". Le conseil avait également "définit les mécanismes à redynamiser et les ministères concernés par cette opération". M. Benbada souligne à cette occasion la détermination des autorités publiques "à organiser le marché, même si une telle démarche nécessite du temps". Un premier Conseil interministériel s'est tenu dans l'urgence, samedi 8 janvier, pour juguler la forte hausse de prix de certains produits de large consommation enregistrée ces dix derniers jours. Plusieurs mesures importantes avaient été prises lors de cette réunion dont une suspension et une exonération des droits de douanes, de taxes et d'impôts représentant un total de charge de 41% qui vient en déduction des prix de revient, du 1er janvier au 31 août 2011. «Les agents de contrôle, sur instruction du ministère du Commerce, observent, comme ils le font toujours, les prix appliqués par les opérateurs économiques sur les produits de première nécessité, dont l'huile et le sucre", a indiqué à l'APS le directeur du contrôle et du contentieux, M. Malek Kemmache. Le ministre du Commerce, M. Mustapha Benbada a précisé hier à la Radio nationale, qu'il s'agit plutôt d'une "observation de l'évolution du marché" et du "contrôle de la qualité des produits", et non d'une "opération spéciale pour le contrôle des prix de l'huile et du sucre". M. Benbada s'est félicité de la stabilité des prix de ces deux denrées à leur niveau fixé dimanche dernier, affirmant que la moyenne nationale des prix enregistrée jeudi dernier pour le sucre était de 92 DA et 598 DA pour l'huile. Il a précisé que cette moyenne a baissé dimanche à 90 DA pour le sucre et 593 DA pour l'huile, et a qualifié cette évolution de "positive". M. Benbada a fait état, néanmoins, de cas "exceptionnels et isolés" dans certaines wilayas, à l'instar de Tindouf ou El Bayadh, où les prix des deux produits sont au-dessus de ceux fixés par le gouvernement, et ce, en raison "peut être du manque d'un accord pour le remboursement entre certains grossistes et les détaillants". Un deuxième Conseil interministériel s'était, rappelons-le, tenu jeudi passé pour parachever le dispositif juridique et organisationnel relatif à la régulation des prix et la définition de la marge bénéficiaire des produits de large consommation. Selon le ministre du Commerce, M. Mustapha Benbada, cette réunion va "examiner des décrets exécutifs prévus par les lois relatives à la concurrence et aux pratiques commerciales", notamment, dans "leur aspect relatif à la définition des marges bénéficiaires des produits de large consommation et d'autres produits qui seront concernés par ces mesures". Le conseil avait également "définit les mécanismes à redynamiser et les ministères concernés par cette opération". M. Benbada souligne à cette occasion la détermination des autorités publiques "à organiser le marché, même si une telle démarche nécessite du temps". Un premier Conseil interministériel s'est tenu dans l'urgence, samedi 8 janvier, pour juguler la forte hausse de prix de certains produits de large consommation enregistrée ces dix derniers jours. Plusieurs mesures importantes avaient été prises lors de cette réunion dont une suspension et une exonération des droits de douanes, de taxes et d'impôts représentant un total de charge de 41% qui vient en déduction des prix de revient, du 1er janvier au 31 août 2011.