L'Algérie et le Pérou ont exprimé hier leur détermination à renforcer davantage leur coopération bilatérale, consistant actuellement en des ventes de gaz naturel, pour l'élargir à d'autres segments d'activité. «Nous nous sommes mis d'accord pour qu'il y ait un espace de coopération encore plus large que nous devons explorer, d'autant que les deux pays partagent la même vision de travailler ensemble», a déclaré le ministre péruvien à l'issue des travaux de la 3e session du mécanisme de consultations politiques algéro-péruviennes. En effet, dans le domaine de l'agriculture, les deux parties ont convenu d'encourager la culture de la pomme de terre, un produit qui offre «tout au long de l'année, plusieurs variétés au Pérou», a-t-il dit. Dans le domaine minier, le ministre péruvien a souhaité une plus large coopération avec la présence, outre Sonatrach, d'autres entreprises algériennes au Pérou. «À travers les investissements existant entre l'Algérie et le Pérou, nous pensons avoir trouvé le chemin idéal pour la coopération Sud-Sud, en termes plus larges et non seulement en matière d'assistance technique», a-t-il estimé. Sur un autre chapitre, José Garcia a salué les réalisations enregistrées en Algérie, estimant, à ce propos, que le gouvernement algérien «a démontré, tout au long de ces dernières années, sa capacité à maintenir la stabilité dans le pays et, en parallèle, oeuvrer au développement économique pour une meilleure intégration sociale». Pour sa part, Mourad Medelci a indiqué que l'Algérie et le Pérou ont jeté aujourd'hui «les bases les plus satisfaisantes» pour pouvoir «aller plus loin» dans la consolidation de leur coopération, en explorant d'autres secteurs, citant plus particulièrement le secteur des mines où l'Algérie dispose, a-t-il dit, de «capacités très importantes». «Nous nous sommes félicité des excellentes relations politiques existant entre nos deux pays et nous avons noté avec beaucoup de satisfaction l'état de notre coopération économique qui connaît, depuis quelques années, des avancées extrêmement encourageantes, notamment dans le domaine énergétique avec la présence de la compagnie nationale des hydrocarbures Sonatrach dans un projet très porteur et très prometteur au Pérou», a-t-il relevé. La participation de Sonatrach dans ce projet (CAMISEA) est à hauteur de 10% dans la partie développement et production du gaz et de 20% dans la liquéfaction et le transport par gazoduc. Par ailleurs, les deux pays ont réaffirmé leur position commune au sujet du conflit du Sahara occidental et ont insisté sur la nécessité de permettre au peuple sahraoui de «décider de son propre destin à travers son droit à l'autodétermination conformément à la légalité internationale et aux résolutions pertinentes du Conseil de sécurité», a précisé Mourad Medelci. Les discussions ont également porté sur le 3e Sommet arabo-sud-américain qui va se tenir le mois prochain (février) à Lima. L'Algérie et le Pérou ont exprimé hier leur détermination à renforcer davantage leur coopération bilatérale, consistant actuellement en des ventes de gaz naturel, pour l'élargir à d'autres segments d'activité. «Nous nous sommes mis d'accord pour qu'il y ait un espace de coopération encore plus large que nous devons explorer, d'autant que les deux pays partagent la même vision de travailler ensemble», a déclaré le ministre péruvien à l'issue des travaux de la 3e session du mécanisme de consultations politiques algéro-péruviennes. En effet, dans le domaine de l'agriculture, les deux parties ont convenu d'encourager la culture de la pomme de terre, un produit qui offre «tout au long de l'année, plusieurs variétés au Pérou», a-t-il dit. Dans le domaine minier, le ministre péruvien a souhaité une plus large coopération avec la présence, outre Sonatrach, d'autres entreprises algériennes au Pérou. «À travers les investissements existant entre l'Algérie et le Pérou, nous pensons avoir trouvé le chemin idéal pour la coopération Sud-Sud, en termes plus larges et non seulement en matière d'assistance technique», a-t-il estimé. Sur un autre chapitre, José Garcia a salué les réalisations enregistrées en Algérie, estimant, à ce propos, que le gouvernement algérien «a démontré, tout au long de ces dernières années, sa capacité à maintenir la stabilité dans le pays et, en parallèle, oeuvrer au développement économique pour une meilleure intégration sociale». Pour sa part, Mourad Medelci a indiqué que l'Algérie et le Pérou ont jeté aujourd'hui «les bases les plus satisfaisantes» pour pouvoir «aller plus loin» dans la consolidation de leur coopération, en explorant d'autres secteurs, citant plus particulièrement le secteur des mines où l'Algérie dispose, a-t-il dit, de «capacités très importantes». «Nous nous sommes félicité des excellentes relations politiques existant entre nos deux pays et nous avons noté avec beaucoup de satisfaction l'état de notre coopération économique qui connaît, depuis quelques années, des avancées extrêmement encourageantes, notamment dans le domaine énergétique avec la présence de la compagnie nationale des hydrocarbures Sonatrach dans un projet très porteur et très prometteur au Pérou», a-t-il relevé. La participation de Sonatrach dans ce projet (CAMISEA) est à hauteur de 10% dans la partie développement et production du gaz et de 20% dans la liquéfaction et le transport par gazoduc. Par ailleurs, les deux pays ont réaffirmé leur position commune au sujet du conflit du Sahara occidental et ont insisté sur la nécessité de permettre au peuple sahraoui de «décider de son propre destin à travers son droit à l'autodétermination conformément à la légalité internationale et aux résolutions pertinentes du Conseil de sécurité», a précisé Mourad Medelci. Les discussions ont également porté sur le 3e Sommet arabo-sud-américain qui va se tenir le mois prochain (février) à Lima.