La création de l'état-major général de l'Armée de libération nationale (ALN) en 1960 a insufflé une nouvelle dynamique à l'action armée qui a mené finalement au recouvrement de l'indépendance nationale, a affirmé, hier à Alger, le ministre des Moudjahidine, M. Mohamed Cherif Abbès. La création de l'état-major général de l'Armée de libération nationale (ALN) en 1960 a insufflé une nouvelle dynamique à l'action armée qui a mené finalement au recouvrement de l'indépendance nationale, a affirmé, hier à Alger, le ministre des Moudjahidine, M. Mohamed Cherif Abbès. Intervenant dans le cadre d'une conférence organisée à l'occasion du 51e anniversaire de la création de l'état-major général de l'ALN, le ministre a indiqué que la création de cette structure a été l'aboutissement d'un long processus de structuration et d'organisation de l'ALN. Mettant en exergue le rôle joué par ses dirigeants durant la guerre de Libération nationale, M. Cherif Abbès a souligné, rapporte l'APS, que la création de l'état-major général a permis de renforcer la coordination et la communication entre les wilayas historiques, notamment en ce qui concerne la planification des opérations militaires tout au long des frontières, en se basant sur le principe de transfert des responsables d'une wilaya à l'autre. Evoquant les circonstances ayant marqué la création de l'état-major général, le ministre des Moudjahidine a indiqué que cela répondait plus particulièrement aux besoins de l'ALN en armement et la nécessité de coordonner les opérations militaires au niveau des frontières, précisant que l'état-major aura été l'un des instruments organisationnels les plus efficaces, ayant permis à l'ALN de disposer des meilleures conditions possibles dans la lutte pour l'indépendance. Pour sa part, le général Boualem Madi, directeur de la communication, de l'information et de l'orientation au ministère de la Défense nationale, a relevé l'importance de l'état-major général dont la création a permis l'unification des rangs et la multiplication des opérations militaires contre l'ennemi colonial, ce qui a, a-t-il dit, accéléré le recouvrement de l'indépendance nationale. Il a appelé, en cette occasion, l'ensemble des moudjahidine qui ont participé à la guerre de Libération nationale à contribuer, par leurs témoignages, à l'écriture de l'Histoire de la Révolution algérienne. Pour sa part, le commandant Azzedine, membre de l'EMG a affirmé que l''état-major général, qui avait la responsabilité de conduire et de coordonner les opérations militaires, a eu le haut commandement sur l'Armée de Libération nationale (ALN). Le commandant Azzedine a indiqué que l'EMG, né du comité interministériel de guerre (CIG), a eu sous son autorité, conformément à la circulaire gouvernementale du 31 janvier 1960, les chefs de wilaya et le commandement des frontières pour toutes les questions militaires, tout comme il était responsable de l'instruction militaire des cadres et des camps de repos. Il était également chargé des questions de stratégie et de tactique militaires, a-t-il ajouté. Rappelant le contexte dans lequel a été créé l'EMG, le commandant Azzedine a mis en exergue le rôle du congrès de la Soummam qui a réussi à structurer le Front de libération nationale (FLN) et l'ALN, avec la mise en place du Conseil national de la Révolution algérienne (CNRA) et le Conseil de coordination et d'exécution (CCE) qui était chargé de la coordination politico-militaire. Intervenant dans le cadre d'une conférence organisée à l'occasion du 51e anniversaire de la création de l'état-major général de l'ALN, le ministre a indiqué que la création de cette structure a été l'aboutissement d'un long processus de structuration et d'organisation de l'ALN. Mettant en exergue le rôle joué par ses dirigeants durant la guerre de Libération nationale, M. Cherif Abbès a souligné, rapporte l'APS, que la création de l'état-major général a permis de renforcer la coordination et la communication entre les wilayas historiques, notamment en ce qui concerne la planification des opérations militaires tout au long des frontières, en se basant sur le principe de transfert des responsables d'une wilaya à l'autre. Evoquant les circonstances ayant marqué la création de l'état-major général, le ministre des Moudjahidine a indiqué que cela répondait plus particulièrement aux besoins de l'ALN en armement et la nécessité de coordonner les opérations militaires au niveau des frontières, précisant que l'état-major aura été l'un des instruments organisationnels les plus efficaces, ayant permis à l'ALN de disposer des meilleures conditions possibles dans la lutte pour l'indépendance. Pour sa part, le général Boualem Madi, directeur de la communication, de l'information et de l'orientation au ministère de la Défense nationale, a relevé l'importance de l'état-major général dont la création a permis l'unification des rangs et la multiplication des opérations militaires contre l'ennemi colonial, ce qui a, a-t-il dit, accéléré le recouvrement de l'indépendance nationale. Il a appelé, en cette occasion, l'ensemble des moudjahidine qui ont participé à la guerre de Libération nationale à contribuer, par leurs témoignages, à l'écriture de l'Histoire de la Révolution algérienne. Pour sa part, le commandant Azzedine, membre de l'EMG a affirmé que l''état-major général, qui avait la responsabilité de conduire et de coordonner les opérations militaires, a eu le haut commandement sur l'Armée de Libération nationale (ALN). Le commandant Azzedine a indiqué que l'EMG, né du comité interministériel de guerre (CIG), a eu sous son autorité, conformément à la circulaire gouvernementale du 31 janvier 1960, les chefs de wilaya et le commandement des frontières pour toutes les questions militaires, tout comme il était responsable de l'instruction militaire des cadres et des camps de repos. Il était également chargé des questions de stratégie et de tactique militaires, a-t-il ajouté. Rappelant le contexte dans lequel a été créé l'EMG, le commandant Azzedine a mis en exergue le rôle du congrès de la Soummam qui a réussi à structurer le Front de libération nationale (FLN) et l'ALN, avec la mise en place du Conseil national de la Révolution algérienne (CNRA) et le Conseil de coordination et d'exécution (CCE) qui était chargé de la coordination politico-militaire.