Nonobstant les déclarations récurrentes des responsables d'Algérie Poste se voulant rassurants et tentant ainsi de minimiser la crise des liquidités, cette dernière après avoir connu un léger mieux, fait de nouveau parler d'elle. Les usagers de la Poste n'en peuvent plus de cette situation qui les pénalise gravement. Il faut se rendre à l'évidence Algérie Poste n'arrive plus à alimenter certains de ses bureaux de poste en liquidités. Sur quels crières sont choisis ces bureaux pour être sacrifiés, personne ne saurait l'expliquer puisque cela peut autant concerner un bureau de banlieue que celui situé en plein cœur de la capitale. En effet on a assisté au cours de ces dernières semaines à cette «panne» de liquidités dans un bureau situé en plein Alger-Centre, en l'occurence le bureau Khelifa-Boukhalfa. Cette crise des liquidités est devenue à tel point grave que certains bureaux pour ne pas être confrontés à la vindicte légitime des usagers ont opté pour la fermeture pure et simple de leurs portes, c'est le cas du bureau de poste de Bordj El-Bahri. En effet avant-hier dimanche les usagers ont eu la désagréable surprise de se retrouver face à des portes closes, devant leur insistance on finira par leur avouer que les caisses de l'agence postale se trouvaient à cours de liquidités. Tout le monde s'accorde à dire que l'on ne s'y prendrait pas autrement si on voulait tuer ce géant, qu'est la poste, et qui gère des millions de comptes. Il faut dire que beaucoup d'usagers, lassés d'être confrontés à ce problème, qui perdure, ont claqué la porte préférant ouvrir des comptes auprès d'agences bancaires, qui bizzarement, ne rencontrent pas le même problème. Il reste ceux qui n'ont pas d'autre recours, car obligés par leurs centres payeurs, Caisses de retraite, Caisse d'assurances... de détenir un compte postal. Certains responsables de bureaux de poste ont décidé de pallier le manque de liquidités et de ne plus attendre le bon vouloir de la Banque d'Algérie, cela en sollicitant les commerçants, les organismes étatiques, à l'instar des agences Sonelgaz, les priant d'effectuer quotidiennement des versements sur leurs comptes afin de pouvoir faire face aux retraits de chèques de leurs clientèle. Mais, s'interrogent les usagers, jusqu'à quand devons-nous faire des kilomètres et des kilomètres, souvent à pied, faute d'argent, pour enfin trouver un bureau de poste suffisamment alimenté ?. Il est clair que le désarroi de ces milliers de citoyens devrait interpeller les responsables concernés qui doivent impérativement y apporter une solution, surtout, durable . Y. D. Nonobstant les déclarations récurrentes des responsables d'Algérie Poste se voulant rassurants et tentant ainsi de minimiser la crise des liquidités, cette dernière après avoir connu un léger mieux, fait de nouveau parler d'elle. Les usagers de la Poste n'en peuvent plus de cette situation qui les pénalise gravement. Il faut se rendre à l'évidence Algérie Poste n'arrive plus à alimenter certains de ses bureaux de poste en liquidités. Sur quels crières sont choisis ces bureaux pour être sacrifiés, personne ne saurait l'expliquer puisque cela peut autant concerner un bureau de banlieue que celui situé en plein cœur de la capitale. En effet on a assisté au cours de ces dernières semaines à cette «panne» de liquidités dans un bureau situé en plein Alger-Centre, en l'occurence le bureau Khelifa-Boukhalfa. Cette crise des liquidités est devenue à tel point grave que certains bureaux pour ne pas être confrontés à la vindicte légitime des usagers ont opté pour la fermeture pure et simple de leurs portes, c'est le cas du bureau de poste de Bordj El-Bahri. En effet avant-hier dimanche les usagers ont eu la désagréable surprise de se retrouver face à des portes closes, devant leur insistance on finira par leur avouer que les caisses de l'agence postale se trouvaient à cours de liquidités. Tout le monde s'accorde à dire que l'on ne s'y prendrait pas autrement si on voulait tuer ce géant, qu'est la poste, et qui gère des millions de comptes. Il faut dire que beaucoup d'usagers, lassés d'être confrontés à ce problème, qui perdure, ont claqué la porte préférant ouvrir des comptes auprès d'agences bancaires, qui bizzarement, ne rencontrent pas le même problème. Il reste ceux qui n'ont pas d'autre recours, car obligés par leurs centres payeurs, Caisses de retraite, Caisse d'assurances... de détenir un compte postal. Certains responsables de bureaux de poste ont décidé de pallier le manque de liquidités et de ne plus attendre le bon vouloir de la Banque d'Algérie, cela en sollicitant les commerçants, les organismes étatiques, à l'instar des agences Sonelgaz, les priant d'effectuer quotidiennement des versements sur leurs comptes afin de pouvoir faire face aux retraits de chèques de leurs clientèle. Mais, s'interrogent les usagers, jusqu'à quand devons-nous faire des kilomètres et des kilomètres, souvent à pied, faute d'argent, pour enfin trouver un bureau de poste suffisamment alimenté ?. Il est clair que le désarroi de ces milliers de citoyens devrait interpeller les responsables concernés qui doivent impérativement y apporter une solution, surtout, durable . Y. D.