La lutte contre les transactions commerciales illicites poursuit son chemin avec la multiplication des interventions des services concernés. La lutte contre les transactions commerciales illicites poursuit son chemin avec la multiplication des interventions des services concernés. Le renforcement du contrôle du marché des matériaux de construction en Algérie, notamment le ciment, a permis aux services concernés de dévoiler des transactions sans factures d'une valeur de 21 milliards DA entre mars 2008 et décembre 2010, a indiqué jeudi à Alger le ministre du Commerce, Mustapha Benbada. Durant cette période, "87.000 interventions de contrôle ont été enregistrées et 11.500 PV ont été dressés ce qui a permis la saisie de 1,4 milliard DA de ciment et la décision de fermeture de 323 locaux commerciaux", a précisé le ministre qui répondait à une question orale du député Mohamed Salmi (RND). "Des constats de falsification dans les extraits du Registre du commerce durant la même période ont également engendré plusieurs poursuites judiciaires", a-t-il ajouté. La mission de contrôle commercial sera davantage renforcée grâce au "large programme de recrutement de contrôleurs prévu par le plan quinquennal 2010-2014", a avancé le ministre. Evoquant la spéculation sur les prix du ciment, constatée auparavant, il a rappelé que ces prix étaient libres et n'obéissaient qu'aux seules lois de l'offre et de la demande, mais que cette liberté du marché "n'empêche pas l'Etat d'intervenir pour plafonner les prix quand la situation l'exige". En réponse à une autre question du même député, relative au "retard dans le remboursement des frais de transport des produits commerciaux vers les wilayas du Sud", le ministre a indiqué que l'enveloppe budgétaire consacrée à cette opération a atteint 2,5 milliards DA en 2010, assurant que ce genre de retard sera, dans la mesure du possible, évité dans le futur. Le rôle régulateur de l'Etat est devenu donc normal en ce sens que cela permet de mieux juguler la spéculation tout en évitant la hausse des prix et l'inflation galopante concernant les matériaux de construction, notamment le ciment enregistrant de fortes demandes. Le renforcement du contrôle du marché des matériaux de construction en Algérie, notamment le ciment, a permis aux services concernés de dévoiler des transactions sans factures d'une valeur de 21 milliards DA entre mars 2008 et décembre 2010, a indiqué jeudi à Alger le ministre du Commerce, Mustapha Benbada. Durant cette période, "87.000 interventions de contrôle ont été enregistrées et 11.500 PV ont été dressés ce qui a permis la saisie de 1,4 milliard DA de ciment et la décision de fermeture de 323 locaux commerciaux", a précisé le ministre qui répondait à une question orale du député Mohamed Salmi (RND). "Des constats de falsification dans les extraits du Registre du commerce durant la même période ont également engendré plusieurs poursuites judiciaires", a-t-il ajouté. La mission de contrôle commercial sera davantage renforcée grâce au "large programme de recrutement de contrôleurs prévu par le plan quinquennal 2010-2014", a avancé le ministre. Evoquant la spéculation sur les prix du ciment, constatée auparavant, il a rappelé que ces prix étaient libres et n'obéissaient qu'aux seules lois de l'offre et de la demande, mais que cette liberté du marché "n'empêche pas l'Etat d'intervenir pour plafonner les prix quand la situation l'exige". En réponse à une autre question du même député, relative au "retard dans le remboursement des frais de transport des produits commerciaux vers les wilayas du Sud", le ministre a indiqué que l'enveloppe budgétaire consacrée à cette opération a atteint 2,5 milliards DA en 2010, assurant que ce genre de retard sera, dans la mesure du possible, évité dans le futur. Le rôle régulateur de l'Etat est devenu donc normal en ce sens que cela permet de mieux juguler la spéculation tout en évitant la hausse des prix et l'inflation galopante concernant les matériaux de construction, notamment le ciment enregistrant de fortes demandes.