L'Union générale des commerçants et artisans algériens (UGCAA) a appelé, jeudi à Boumerdès, à plafonner les prix et les marges bénéficiaires de "tous les produits" de premières nécessité. "Ce plafonnement facilitera le contrôle des prix et le respect des marges bénéficiaires par les contrôleurs", a estimé le secrétaire général de l'UGCAA, Salah Souileh en marge des travaux de la deuxième session de l'Union qui s'est tenue à Boumerdès. L'autre impact attendu de cette mesure préconisée est de "responsabiliser le commerçant, du fait qu'il sera mieux imprégné des sanctions qu'il encourt en cas de non respect de la loi". Rappelant que des propositions concrètes avaient été présentées dernièrement au gouvernement pour contribuer à l'application de ce projet, M. Souileh a demandé "l'élargissement de la liste des produits concernés par ce plafonnement à d'autres produits de large consommation, sachant que l'actuelle ne concerne que 15 produits". Par ailleurs, il a fait part de sa "grande inquiétude" devant la prolifération du commerce informel qui a "fortement ébranlé la confiance du citoyen en l'administration du secteur", selon lui. L'Union générale des commerçants et artisans algériens (UGCAA) a appelé, jeudi à Boumerdès, à plafonner les prix et les marges bénéficiaires de "tous les produits" de premières nécessité. "Ce plafonnement facilitera le contrôle des prix et le respect des marges bénéficiaires par les contrôleurs", a estimé le secrétaire général de l'UGCAA, Salah Souileh en marge des travaux de la deuxième session de l'Union qui s'est tenue à Boumerdès. L'autre impact attendu de cette mesure préconisée est de "responsabiliser le commerçant, du fait qu'il sera mieux imprégné des sanctions qu'il encourt en cas de non respect de la loi". Rappelant que des propositions concrètes avaient été présentées dernièrement au gouvernement pour contribuer à l'application de ce projet, M. Souileh a demandé "l'élargissement de la liste des produits concernés par ce plafonnement à d'autres produits de large consommation, sachant que l'actuelle ne concerne que 15 produits". Par ailleurs, il a fait part de sa "grande inquiétude" devant la prolifération du commerce informel qui a "fortement ébranlé la confiance du citoyen en l'administration du secteur", selon lui.