Le Comité international de la Croix-Rouge (CICR) a estimé ses besoins financiers à environ 65 millions d'euros pour la région d'Afrique du Nord et de l'Ouest en prévision de l'année 2011, a appris jeudi l'APS à Dakar. "Nous avons déjà lancé notre appel de fonds de 85 millions de francs suisses (environ 65 millions d'euros) pour couvrir nos actions humanitaires retenues pour l'année 2011", a déclaré à l'APS le chef des opérations du CICR pour cette région, M. Boris Michel, en marge d'une rencontre d'évaluation annuelle regroupant les chefs de délégations du Comité de 21 pays. Précisant que ce montant est adapté aux situations humanitaires qui prévalent dans la sous-région, M. Michel a affirmé que le comité a toujours bénéficié de "bonnes réponses" auprès des donateurs et de ses partenaires. "Nous n'avons pas de préoccupations quant à la mise en œuvre de nos actions", s'est-il félicité, avant d'expliquer que le CICR procède dans le cas échéant à "un ajustement de son plan d'action" pour l'adapter à l'évolution des situations dans différents contextes. Le souci du CICR est de "montrer sa capacité d'analyse et sa flexibilité opérationnelle nécessaire en s'adaptant à toutes les éventualités", a notamment dit M. Michel, rappelant les différents champs d'intervention de l'agence humanitaire en 2010 et 2011. Le Comité international de la Croix-Rouge (CICR) a estimé ses besoins financiers à environ 65 millions d'euros pour la région d'Afrique du Nord et de l'Ouest en prévision de l'année 2011, a appris jeudi l'APS à Dakar. "Nous avons déjà lancé notre appel de fonds de 85 millions de francs suisses (environ 65 millions d'euros) pour couvrir nos actions humanitaires retenues pour l'année 2011", a déclaré à l'APS le chef des opérations du CICR pour cette région, M. Boris Michel, en marge d'une rencontre d'évaluation annuelle regroupant les chefs de délégations du Comité de 21 pays. Précisant que ce montant est adapté aux situations humanitaires qui prévalent dans la sous-région, M. Michel a affirmé que le comité a toujours bénéficié de "bonnes réponses" auprès des donateurs et de ses partenaires. "Nous n'avons pas de préoccupations quant à la mise en œuvre de nos actions", s'est-il félicité, avant d'expliquer que le CICR procède dans le cas échéant à "un ajustement de son plan d'action" pour l'adapter à l'évolution des situations dans différents contextes. Le souci du CICR est de "montrer sa capacité d'analyse et sa flexibilité opérationnelle nécessaire en s'adaptant à toutes les éventualités", a notamment dit M. Michel, rappelant les différents champs d'intervention de l'agence humanitaire en 2010 et 2011.