La décision du président de la République, Abdelaziz Bouteflika, de lever, prochainement, l'état d'urgence instauré dans le pays depuis 1992, a été saluée par les Etats-Unis. Washington l'a qualifié d'avance positive. Dans sa conférence de presse quotidienne, le porte-parole du Département D'Etat américain, M. Philipp Crowley, a souligné à Washington que les Etats-Unis étaient non seulement "encouragés" par une telle décision, mais ils considéraient, également, qu'elle constitue aussi une "avancée positive". Pour ce haut responsable de la diplomatie américaine, il s'agit là d'une décision « importante » reflétant ainsi « une dynamique émergente dans la région pour répondre aux demandes des peuples ». Le Président Bouteflika a rappelé, à ce propos, lors du Conseil des ministres, jeudi, que l'état d'urgence avait été instauré « pour les seuls besoins de la lutte antiterroriste, et c'est cette raison uniquement qui en a dicté le maintien sur une base légale ». Il a souligné également que l'état d'urgence « n'a, à aucun moment, entravé une activité politique pluraliste des plus riches, ni contrarié le déroulement de campagnes électorales intenses, de l'avis même des observateurs qui les ont suivies ». La décision du président de la République, Abdelaziz Bouteflika, de lever, prochainement, l'état d'urgence instauré dans le pays depuis 1992, a été saluée par les Etats-Unis. Washington l'a qualifié d'avance positive. Dans sa conférence de presse quotidienne, le porte-parole du Département D'Etat américain, M. Philipp Crowley, a souligné à Washington que les Etats-Unis étaient non seulement "encouragés" par une telle décision, mais ils considéraient, également, qu'elle constitue aussi une "avancée positive". Pour ce haut responsable de la diplomatie américaine, il s'agit là d'une décision « importante » reflétant ainsi « une dynamique émergente dans la région pour répondre aux demandes des peuples ». Le Président Bouteflika a rappelé, à ce propos, lors du Conseil des ministres, jeudi, que l'état d'urgence avait été instauré « pour les seuls besoins de la lutte antiterroriste, et c'est cette raison uniquement qui en a dicté le maintien sur une base légale ». Il a souligné également que l'état d'urgence « n'a, à aucun moment, entravé une activité politique pluraliste des plus riches, ni contrarié le déroulement de campagnes électorales intenses, de l'avis même des observateurs qui les ont suivies ».