Les actions de lutte contre la chenille processionnaire ont touché, l'année dernière, 7.000 hectares de pins d'Alep parallèlement au traitement de 250 hectares de peuplements de cèdres de l'Atlas contre le dépérissement. Selon la Conservation des forêts, ce phénomène de dépérissement des arbres commençait à prendre de l'ampleur avant un "retour à la normale" favorisé par le programme de prévention mené conjointement par les services concernés et une entreprise spécialisée dans la protection des végétaux basée à Alger. Le ministère de l'Agriculture et du Développement rural a consacré, pour sa part, un montant de 20 millions de dinars pour la réhabilitation des peuplements de ces deux espèces, notamment le cèdre de l'Atlas, classée mondialement espèce protégée. Les actions de traitement ont porté sur l'exécution de travaux sylvicoles et sur le nettoyage des aires ciblées, débarrassées des herbes sèches par l'utilisation de pesticides sélectionnés qui ont permis, avec le temps, de stopper le jaunissement du feuillage et de reverdir les arbres. Espèce autochtone, le cèdre de l'Atlas occupe à Khenchela 5.872 hectares des massifs forestiers de Ouled Yacoub et de Beni Oudjana, selon les services des forêts qui signalent la présence de peuplements de ce même arbre à Theniet El-Had (Tissemsilt) et à Chréa (Blida). Lors de sa dernière session, l'Assemblée populaire de wilaya (APW) avait recommandé la préservation du patrimoine forestier de la wilaya qui, outre son importance écologique, produit annuellement près de 24.000 m3 de bois et occupe plusieurs centaines de travailleurs dans des ateliers ouverts, notamment par la Société régionale pour le développement forestier et agricole (Safa) dont le siège est à Kaïs, à 30 km du chef-lieu de wilaya. Les élus avaient également préconisé l'intensification des actions de contrôle des cédraies pour mieux lutter contre l'abattage sauvage mené par certaines "bandes" qui commercialisent le bois de cet arbre très demandé pour la fabrication de meubles. Les services des forêts font part, de leur côté, d'un "recul" du problème d'abattage de cèdres, comparativement aux années précédentes, grâce à l'action concertée des gardes-forestiers et des éléments de la Gendarmerie nationale. Les actions de lutte contre la chenille processionnaire ont touché, l'année dernière, 7.000 hectares de pins d'Alep parallèlement au traitement de 250 hectares de peuplements de cèdres de l'Atlas contre le dépérissement. Selon la Conservation des forêts, ce phénomène de dépérissement des arbres commençait à prendre de l'ampleur avant un "retour à la normale" favorisé par le programme de prévention mené conjointement par les services concernés et une entreprise spécialisée dans la protection des végétaux basée à Alger. Le ministère de l'Agriculture et du Développement rural a consacré, pour sa part, un montant de 20 millions de dinars pour la réhabilitation des peuplements de ces deux espèces, notamment le cèdre de l'Atlas, classée mondialement espèce protégée. Les actions de traitement ont porté sur l'exécution de travaux sylvicoles et sur le nettoyage des aires ciblées, débarrassées des herbes sèches par l'utilisation de pesticides sélectionnés qui ont permis, avec le temps, de stopper le jaunissement du feuillage et de reverdir les arbres. Espèce autochtone, le cèdre de l'Atlas occupe à Khenchela 5.872 hectares des massifs forestiers de Ouled Yacoub et de Beni Oudjana, selon les services des forêts qui signalent la présence de peuplements de ce même arbre à Theniet El-Had (Tissemsilt) et à Chréa (Blida). Lors de sa dernière session, l'Assemblée populaire de wilaya (APW) avait recommandé la préservation du patrimoine forestier de la wilaya qui, outre son importance écologique, produit annuellement près de 24.000 m3 de bois et occupe plusieurs centaines de travailleurs dans des ateliers ouverts, notamment par la Société régionale pour le développement forestier et agricole (Safa) dont le siège est à Kaïs, à 30 km du chef-lieu de wilaya. Les élus avaient également préconisé l'intensification des actions de contrôle des cédraies pour mieux lutter contre l'abattage sauvage mené par certaines "bandes" qui commercialisent le bois de cet arbre très demandé pour la fabrication de meubles. Les services des forêts font part, de leur côté, d'un "recul" du problème d'abattage de cèdres, comparativement aux années précédentes, grâce à l'action concertée des gardes-forestiers et des éléments de la Gendarmerie nationale.