Une délégation de la Commission nationale consultative de protection et de promotion des droits de l'Homme (CNCPPDH) s'est enquis samedi à Adrar des préparatifs de la caravane qu'elle compte organiser en solidarité avec les victimes des essais nucléaires français à Reggane le 13 février 1960. «Toutes les dispositions d'organisation ont été prises, en coordination avec les parties concernées, au niveau de la wilaya d'Adrar, en vue de réussir le riche programme de cette caravane de solidarité, qui s'ébranlera le 11 février et sillonnera plusieurs régions d'Adrar, avec le concours de différentes parties sur la scène nationale", a indiqué le secrétaire général de la CNCPPDH. «Cette initiative est née de la conviction profonde de la Commission du nécessaire rapprochement des acteurs de la société civile et l'accompagnement des associations nationales activant dans le domaine des droits de l'Homme", a ajouté M. Abdelwahab Mordjana. La question de la reconnaissance par la France de ces crimes et de l'indemnisation des victimes, "requiert concertation et conjugaison des efforts de l'ensemble des parties activant dans le cadre du droit et des droits de l'Homme, dans le but d'élaborer un dossier complet, documents à l'appui, sur ces crimes et mettre à nu ces pratiques coloniales inhumaines", a estimé, pour sa part, un membre de la CNCPPDH, M. Layachi Dâadoua. Dans le cadre de ses activités dans la wilaya d'Adrar, la caravane de solidarité devra effectuer des missions médicales encadrées par des spécialistes en cancérologie, radiologie et ORL, qui devront assurer des visites médicales et distribuer des aides aux victimes, dans la daira de Reggane. Une délégation de la Commission nationale consultative de protection et de promotion des droits de l'Homme (CNCPPDH) s'est enquis samedi à Adrar des préparatifs de la caravane qu'elle compte organiser en solidarité avec les victimes des essais nucléaires français à Reggane le 13 février 1960. «Toutes les dispositions d'organisation ont été prises, en coordination avec les parties concernées, au niveau de la wilaya d'Adrar, en vue de réussir le riche programme de cette caravane de solidarité, qui s'ébranlera le 11 février et sillonnera plusieurs régions d'Adrar, avec le concours de différentes parties sur la scène nationale", a indiqué le secrétaire général de la CNCPPDH. «Cette initiative est née de la conviction profonde de la Commission du nécessaire rapprochement des acteurs de la société civile et l'accompagnement des associations nationales activant dans le domaine des droits de l'Homme", a ajouté M. Abdelwahab Mordjana. La question de la reconnaissance par la France de ces crimes et de l'indemnisation des victimes, "requiert concertation et conjugaison des efforts de l'ensemble des parties activant dans le cadre du droit et des droits de l'Homme, dans le but d'élaborer un dossier complet, documents à l'appui, sur ces crimes et mettre à nu ces pratiques coloniales inhumaines", a estimé, pour sa part, un membre de la CNCPPDH, M. Layachi Dâadoua. Dans le cadre de ses activités dans la wilaya d'Adrar, la caravane de solidarité devra effectuer des missions médicales encadrées par des spécialistes en cancérologie, radiologie et ORL, qui devront assurer des visites médicales et distribuer des aides aux victimes, dans la daira de Reggane.