Selon un rapport du Forum euro-méditerranéen des instituts de sciences économiques ‘'FEMISE'' «les quatre pays MENA qui ont fait l'objet de cette étude menée sous l'égide du «FEMISE» – Algérie, Egypte, Maroc, Liban –, et qui vient d'être publiée démontre que ces pays ne sont pas sensiblement en deçà des performances observées pour la Chine et l'Inde. Ils seraient même mieux placés pour certains secteurs, mais avec des niveaux de salaires par tête plus élevés». Selon un rapport du Forum euro-méditerranéen des instituts de sciences économiques ‘'FEMISE'' «les quatre pays MENA qui ont fait l'objet de cette étude menée sous l'égide du «FEMISE» – Algérie, Egypte, Maroc, Liban –, et qui vient d'être publiée démontre que ces pays ne sont pas sensiblement en deçà des performances observées pour la Chine et l'Inde. Ils seraient même mieux placés pour certains secteurs, mais avec des niveaux de salaires par tête plus élevés». Selon cet organisme qui travaille avec des experts et des économistes des pays des rives nord et sud de la Méditerranée, l'Algérie n'est pas dans la zone rouge et réalise, par conséquent, des performances en raison de ses points forts (recettes pétrolières importantes, santé financière et réserves de change importantes). Le «FEMISE» indique que «la productivité est un facteur de compétitivité et d'insertion dans l'économie mondiale. Elle est déterminée par de nombreux facteurs dont la qualité du climat des affaires qui influe sur le rythme des investissements et la dynamique manufacturière des organisations. Le concept de productivité est retenu ici sous différentes acceptions et pour de nombreux pays au sein desquels on porte une particulière attention à quatre d'entre eux : Algérie, Egypte, Maroc, Liban». Parfaire l'efficience des entreprises algeriennes Cet organisme d'analyse et de prospective spécialisé en économie euro-méditerranéenne, précise que «sur la base de la médiane, dans tous les secteurs, la productivité des entreprises marocaines devance celle de l'Algérie d'environ 20 % à l'exception de l'agro-alimentaire». Concernant l'évolution de l'économie algérienne et ses perspectives, il montre que «l'Algérie devance elle-même l'Egypte dans des proportions significatives. La performance des entreprises libanaises est dans le voisinage des performances observées pour l'Egypte. L'évaluation de la PTF confirme, au moins en termes de classement des distributions nationales sectorielles, les écarts observés à partir des productivités apparentes». Il estime également que «les pays MENA ne sont pas sensiblement en deçà des performances observées pour la Chine et l'Inde. Ils seraient même mieux placés pour certains secteurs, mais avec des niveaux de salaires par tête plus élevés». La réflexion reportée sur les frontières stochastiques de production montre une nouvelle fois la supériorité du Brésil et de l'Afrique du Sud, même si le Maroc semble être à petite distance de ces deux pays. Ses conclusions sur le fonctionnement des économies des pays du Maghreb ne sont pas alarmantes. «FEMISE» souligne que «l'efficience technique moyenne des entreprises algériennes est en revanche inférieure de moitié à celle des pays sur la frontière et d'un cinquième pour celles de l'Egypte ou du Liban». Sur des échantillons sectoriels larges qui combinent les entreprises de nombreux pays, les modèles de frontières stochastiques ont permis de mettre l'accent sur le caractère statistiquement significatif des variables de financement et d'ouverture, cette dernière étant mesurée par le taux d'exportation des biens ou de participation étrangère au capital des firmes, selon «FEMISE». Au sujet des attributions des admistrations, il estime que «le rôle des institutions publiques est peu ressorti, peut-être en raison du caractère mal renseigné de ces variables ou de leur mesure qualitative avec peu de variation dans les choix discrets proposés. Bien que les variables institutionnelles soient finalement peu nombreuses et posent un véritable problème d'attrition des échantillons initiaux, on peut raisonnablement supposer qu'elles jouent un rôle significatif dans les écarts de performances». «FEMISE» précise que «les institutions publiques marocaines apparaissent plus efficaces que celles des autres pays MENA. Sur les différents secteurs, les médianes montrent, par exemple, que l'importateur doit compter entre 2 et 6 jours avant d'avoir la disposition de sa marchandise contre une dizaine en Egypte et de 15 à 26 en Algérie». Selon cet organisme qui travaille avec des experts et des économistes des pays des rives nord et sud de la Méditerranée, l'Algérie n'est pas dans la zone rouge et réalise, par conséquent, des performances en raison de ses points forts (recettes pétrolières importantes, santé financière et réserves de change importantes). Le «FEMISE» indique que «la productivité est un facteur de compétitivité et d'insertion dans l'économie mondiale. Elle est déterminée par de nombreux facteurs dont la qualité du climat des affaires qui influe sur le rythme des investissements et la dynamique manufacturière des organisations. Le concept de productivité est retenu ici sous différentes acceptions et pour de nombreux pays au sein desquels on porte une particulière attention à quatre d'entre eux : Algérie, Egypte, Maroc, Liban». Parfaire l'efficience des entreprises algeriennes Cet organisme d'analyse et de prospective spécialisé en économie euro-méditerranéenne, précise que «sur la base de la médiane, dans tous les secteurs, la productivité des entreprises marocaines devance celle de l'Algérie d'environ 20 % à l'exception de l'agro-alimentaire». Concernant l'évolution de l'économie algérienne et ses perspectives, il montre que «l'Algérie devance elle-même l'Egypte dans des proportions significatives. La performance des entreprises libanaises est dans le voisinage des performances observées pour l'Egypte. L'évaluation de la PTF confirme, au moins en termes de classement des distributions nationales sectorielles, les écarts observés à partir des productivités apparentes». Il estime également que «les pays MENA ne sont pas sensiblement en deçà des performances observées pour la Chine et l'Inde. Ils seraient même mieux placés pour certains secteurs, mais avec des niveaux de salaires par tête plus élevés». La réflexion reportée sur les frontières stochastiques de production montre une nouvelle fois la supériorité du Brésil et de l'Afrique du Sud, même si le Maroc semble être à petite distance de ces deux pays. Ses conclusions sur le fonctionnement des économies des pays du Maghreb ne sont pas alarmantes. «FEMISE» souligne que «l'efficience technique moyenne des entreprises algériennes est en revanche inférieure de moitié à celle des pays sur la frontière et d'un cinquième pour celles de l'Egypte ou du Liban». Sur des échantillons sectoriels larges qui combinent les entreprises de nombreux pays, les modèles de frontières stochastiques ont permis de mettre l'accent sur le caractère statistiquement significatif des variables de financement et d'ouverture, cette dernière étant mesurée par le taux d'exportation des biens ou de participation étrangère au capital des firmes, selon «FEMISE». Au sujet des attributions des admistrations, il estime que «le rôle des institutions publiques est peu ressorti, peut-être en raison du caractère mal renseigné de ces variables ou de leur mesure qualitative avec peu de variation dans les choix discrets proposés. Bien que les variables institutionnelles soient finalement peu nombreuses et posent un véritable problème d'attrition des échantillons initiaux, on peut raisonnablement supposer qu'elles jouent un rôle significatif dans les écarts de performances». «FEMISE» précise que «les institutions publiques marocaines apparaissent plus efficaces que celles des autres pays MENA. Sur les différents secteurs, les médianes montrent, par exemple, que l'importateur doit compter entre 2 et 6 jours avant d'avoir la disposition de sa marchandise contre une dizaine en Egypte et de 15 à 26 en Algérie».