Une convention de partenariat a été signée, hier à Alger, entre le ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique et des organismes publics portant sur la création d'emploi et d'opportunités de travail pour les universitaires. La convention porte sur la création d'un consortium de partenariat entre les universités et les centres de recherche d'un côté et des organismes sociaux et économiques des différents secteurs professionnels. Elle permettra aux institutions concernées d'avoir une représentation au niveau des universités et des centres de recherches qui offrira aux universitaires un soutien matériel et technique dans la réalisation de leurs projets. Ce consortium de partenariat a été signé au siège du ministère, entre le directeur général de la Recherche scientifique et du développement technologique, M. Hafid Aourag et les directeurs d'entreprises et d'organismes publics, dont l'Agence nationale de soutien à l'emploi de jeunes (ANSEJ), l'Office national des droits d'auteur et des droits voisins (ONDA) et la Chambre algérienne de Commerce et d'Industrie (CACI). La signature a eu lieu en présence du ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, M. Rachid Harraoubia. Dans une allocution, M. Harraoubia a souligné que cette convention constitue une passerelle entre le milieu de la recherche scientifique et un nombre d'organismes et entreprises professionnels relevant des différents secteurs. La convention permettra notamment "l'accompagnement" du travail de la recherche scientifique, "son développement et sa valorisation", ainsi que de bénéficier des expériences acquises par ces organismes, à même de développer la partenariat entre les différentes parties, a-t-il indiqué. Dans une déclaration à la presse en marge de cette cérémonie de signature, M. Harraoubia a affirmé que l'équivalence des diplômes "n'est pas une opération mécanique ou administrative mais elle est tranchée au niveau des commission techniques composées d'enseignants spécialisés". «L'équivalence des diplômes ne relève pas des prérogatives du ministre de l'Enseignement supérieur ni du directeur central du ministère», affirme-t-il. Cette déclaration intervient au moment où des étudiants qui ont effectué leurs études à l'institut de recherches et d'études arabes relevant de la Ligue arabe en Egypte observent un sit-in devant le siège du ministère pour demander l'équivalence de leur diplôme. «Nous recevons les dossiers des concernés et les remettrons aux commissions techniques composées d'enseignants spécialisés en la matière", a-t-il ajouté. Il a précisé qu'un programme informatique au niveau du ministère a permis de numériser les diplômes au niveau national, soulignant qu'il fallait du temps pour vérifier si les thèses présentées n'avaient pas de lien avec celles déjà soutenues. Selon M. Harraoubia, le ministère reçoit entre 30 à 40 demandes d'équivalence par semaine, insistant sur l'importance de préserver la valeur du diplôme algérien. Il a enfin déclaré que l'Algérie n'a pas envoyé officiellement cette année des étudiants en Egypte. Une convention de partenariat a été signée, hier à Alger, entre le ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique et des organismes publics portant sur la création d'emploi et d'opportunités de travail pour les universitaires. La convention porte sur la création d'un consortium de partenariat entre les universités et les centres de recherche d'un côté et des organismes sociaux et économiques des différents secteurs professionnels. Elle permettra aux institutions concernées d'avoir une représentation au niveau des universités et des centres de recherches qui offrira aux universitaires un soutien matériel et technique dans la réalisation de leurs projets. Ce consortium de partenariat a été signé au siège du ministère, entre le directeur général de la Recherche scientifique et du développement technologique, M. Hafid Aourag et les directeurs d'entreprises et d'organismes publics, dont l'Agence nationale de soutien à l'emploi de jeunes (ANSEJ), l'Office national des droits d'auteur et des droits voisins (ONDA) et la Chambre algérienne de Commerce et d'Industrie (CACI). La signature a eu lieu en présence du ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, M. Rachid Harraoubia. Dans une allocution, M. Harraoubia a souligné que cette convention constitue une passerelle entre le milieu de la recherche scientifique et un nombre d'organismes et entreprises professionnels relevant des différents secteurs. La convention permettra notamment "l'accompagnement" du travail de la recherche scientifique, "son développement et sa valorisation", ainsi que de bénéficier des expériences acquises par ces organismes, à même de développer la partenariat entre les différentes parties, a-t-il indiqué. Dans une déclaration à la presse en marge de cette cérémonie de signature, M. Harraoubia a affirmé que l'équivalence des diplômes "n'est pas une opération mécanique ou administrative mais elle est tranchée au niveau des commission techniques composées d'enseignants spécialisés". «L'équivalence des diplômes ne relève pas des prérogatives du ministre de l'Enseignement supérieur ni du directeur central du ministère», affirme-t-il. Cette déclaration intervient au moment où des étudiants qui ont effectué leurs études à l'institut de recherches et d'études arabes relevant de la Ligue arabe en Egypte observent un sit-in devant le siège du ministère pour demander l'équivalence de leur diplôme. «Nous recevons les dossiers des concernés et les remettrons aux commissions techniques composées d'enseignants spécialisés en la matière", a-t-il ajouté. Il a précisé qu'un programme informatique au niveau du ministère a permis de numériser les diplômes au niveau national, soulignant qu'il fallait du temps pour vérifier si les thèses présentées n'avaient pas de lien avec celles déjà soutenues. Selon M. Harraoubia, le ministère reçoit entre 30 à 40 demandes d'équivalence par semaine, insistant sur l'importance de préserver la valeur du diplôme algérien. Il a enfin déclaré que l'Algérie n'a pas envoyé officiellement cette année des étudiants en Egypte.