Les entreprises sud-coréennes ont été invitées, , par le ministre des Affaires étrangères, Mourad Medelci, à venir s'implanter « durablement » en Algérie afin de participer au programme de développement du pays. Animant un point de presse conjointement avec le ministre des Affaires étrangères et du Commerce extérieur de la République de Corée, Kim Sung Hwan, à l'issue d'une réunion entre les deux délégations, tenue à Alger, le ministre algérien a indiqué que « la conjoncture est favorable, car nous avons réussi l'un et l'autre à traverser la crise (économique mondiale) sans grand dommage et à préserver nos atouts qui sont non négligeables ». Pour ce qui est de son pays, le chef de la diplomatie algérienne a souligné que « nous avons des atouts exceptionnels si nous mettons en relief à la fois les programmes de développement qui sont en réalisation, à même de donner, encore plus que le passé, l'occasion aux entreprises sud-coréennes de venir participer à leur réalisation et de venir s'implanter durablement dans le marché algérien ». Qualifiant la coopération entre les deux pays d'« extrêmement prometteuse, voire exemplaire », Medelci a rappelé qu'« en si peu de temps, nous avons intensifié nos consultations politiques au point qu'à la faveur de la visite du président de la République, M. Abdelaziz Bouteflika, à Séoul en 2003, et celle effectuée par son homologue sud-coréen à Alger en 2006, nous avons abouti à un accord de partenariat stratégique et nous sommes en train de le mettre en œuvre ». Il a, en outre, indiqué que la rencontre a été une occasion de se pencher sur les « axes forts » de la relation entre Alger et Séoul. Ces axes, a-t-il poursuivi, « sont les uns et les autres fédérés autour d'un objectif central qui est celui du développement durable et de la diversification de nos économies ». Le ministre a, tout en précisant que « les discussions entre les deux pays avancent très bien », fait savoir que « c'est donc dans cet esprit que nous avons convenu de continuer à travailler ensemble dans le domaine des énergies en générale et des énergies renouvelables en particulier ». Sur un autre plan, Medelci a exprimé son espoir de « recevoir, de nouveau, le plus rapidement possible », son homologue sud-coréen « pour signer un accord de coopération dans la domaine du nucléaire pacifique ». Par ailleurs, il a indiqué que « nous avons également convenu de développer des engagements plus fermes en matière de coopération industrielle à la faveur de la création d'un fonds de coopération industriel qui est maintenant quasiment finalisé ». Il a, dans ce sens, ajouté les deux parties ont convenu de développer « davantage » leurs relations, « pas seulement au niveau bilatérale, mais également à travers la création d'un centre africain de technologies avancées qui pourraient donc avoir une profondeur continentale ». Pour ce qui est du secteur de l'agriculture, qui est « important », le ministre a indiqué que les deux parties ont convenu de donner à la coopération, dans le domaine agricole, « un potentiel accru dans les prochaines années ». En outre, « il y a également l'existence d'une coopération institutionnelle au niveau des deux gouvernements des deux pays, qui est appelée à se développer », a-t-il relevé, ajoutant que l'Algérie a « enregistré avec beaucoup de satisfaction que la Corée du Sud est prête à nous accompagner dans l'élaboration de notre vision à moyen et long termes (horizon 2050), sachant que ce pays a mis une très grande expérience en matière de planification et des instituts qualifiés pour nous accompagner ». D'autre part, le ministre a, soulignant que la Corée du Sud est à la pointe des technologies nouvelles, et précisé que c'est dans le domaine des technologies de l'information et de la communication (TIC) que les deux pays ont convenu de coopérer. Les entreprises sud-coréennes ont été invitées, , par le ministre des Affaires étrangères, Mourad Medelci, à venir s'implanter « durablement » en Algérie afin de participer au programme de développement du pays. Animant un point de presse conjointement avec le ministre des Affaires étrangères et du Commerce extérieur de la République de Corée, Kim Sung Hwan, à l'issue d'une réunion entre les deux délégations, tenue à Alger, le ministre algérien a indiqué que « la conjoncture est favorable, car nous avons réussi l'un et l'autre à traverser la crise (économique mondiale) sans grand dommage et à préserver nos atouts qui sont non négligeables ». Pour ce qui est de son pays, le chef de la diplomatie algérienne a souligné que « nous avons des atouts exceptionnels si nous mettons en relief à la fois les programmes de développement qui sont en réalisation, à même de donner, encore plus que le passé, l'occasion aux entreprises sud-coréennes de venir participer à leur réalisation et de venir s'implanter durablement dans le marché algérien ». Qualifiant la coopération entre les deux pays d'« extrêmement prometteuse, voire exemplaire », Medelci a rappelé qu'« en si peu de temps, nous avons intensifié nos consultations politiques au point qu'à la faveur de la visite du président de la République, M. Abdelaziz Bouteflika, à Séoul en 2003, et celle effectuée par son homologue sud-coréen à Alger en 2006, nous avons abouti à un accord de partenariat stratégique et nous sommes en train de le mettre en œuvre ». Il a, en outre, indiqué que la rencontre a été une occasion de se pencher sur les « axes forts » de la relation entre Alger et Séoul. Ces axes, a-t-il poursuivi, « sont les uns et les autres fédérés autour d'un objectif central qui est celui du développement durable et de la diversification de nos économies ». Le ministre a, tout en précisant que « les discussions entre les deux pays avancent très bien », fait savoir que « c'est donc dans cet esprit que nous avons convenu de continuer à travailler ensemble dans le domaine des énergies en générale et des énergies renouvelables en particulier ». Sur un autre plan, Medelci a exprimé son espoir de « recevoir, de nouveau, le plus rapidement possible », son homologue sud-coréen « pour signer un accord de coopération dans la domaine du nucléaire pacifique ». Par ailleurs, il a indiqué que « nous avons également convenu de développer des engagements plus fermes en matière de coopération industrielle à la faveur de la création d'un fonds de coopération industriel qui est maintenant quasiment finalisé ». Il a, dans ce sens, ajouté les deux parties ont convenu de développer « davantage » leurs relations, « pas seulement au niveau bilatérale, mais également à travers la création d'un centre africain de technologies avancées qui pourraient donc avoir une profondeur continentale ». Pour ce qui est du secteur de l'agriculture, qui est « important », le ministre a indiqué que les deux parties ont convenu de donner à la coopération, dans le domaine agricole, « un potentiel accru dans les prochaines années ». En outre, « il y a également l'existence d'une coopération institutionnelle au niveau des deux gouvernements des deux pays, qui est appelée à se développer », a-t-il relevé, ajoutant que l'Algérie a « enregistré avec beaucoup de satisfaction que la Corée du Sud est prête à nous accompagner dans l'élaboration de notre vision à moyen et long termes (horizon 2050), sachant que ce pays a mis une très grande expérience en matière de planification et des instituts qualifiés pour nous accompagner ». D'autre part, le ministre a, soulignant que la Corée du Sud est à la pointe des technologies nouvelles, et précisé que c'est dans le domaine des technologies de l'information et de la communication (TIC) que les deux pays ont convenu de coopérer.