Ayant une capacité de 8 milliards de mètres cubes de gaz par an, avec une longueur de plus de 1.000 km dont 550 km en territoire algérien et 210 km en mer Méditerranée, (le coût du projet qui est initialement évalué à 900 millions d'euros, a atteint plus d'un milliard d'euros dont plus de 420 millions concerne la partie algérienne), le gazoduc est déjà opérationnel sur le territoire algérien, alors que sa mise en service doit se faire incessamment. En effet, le projet du gazoduc Medgaz reliant directement les champs gaziers de Hassi R'Mel d'Algérie à l'Espagne est opérationnel dans sa partie algérienne et sa mise en service est imminente, selon des responsables du projet. Ainsi, la « station de compression de Beni Saf, alimentée par le pipe-line (GZ4) provenant de Hassi R'mel (Laghouat) est fin prête pour procéder au pompage du gaz vers le sud d'Espagne » a notamment affirmé, Mohamed Tayeb Cherif, directeur régional de la société de transport par canalisation (TRC), filiale du groupe Sonatrach. Celui-ci estime que l'ensemble des essais techniques et tous les menus détails préalables à sa mise en fonctionnement ont été terminés, d'où l'opportunité de le rendre opérationnel le plus tôt possible sachant que les responsables de ce projet attendent juste le feu vert pour son éventuelle exploitation. Aussi, les promoteurs de ce projet précisent que « tous les essais techniques inhérents au fonctionnement des équipements de traitement et de compression de gaz, à l'alimentation en énergie et la sécurité des installations sont achevés depuis presque deux années». Et depuis trois mois, les essais ont montré une efficience dans le système du gazoduc, notamment pour ce qui est de la mise à gaz expérimentale des équipements. L'important consiste, toutefois, à garantir une sécurité maximale et une fiabilité permanente du gazoduc dans la mesure où les paramètres d'hygiène, sécurité et environnement doivent être strictement et scrupuleusement respectés. Selon les responsables de ce projet, qui se sont exprimés devant la presse récemment à Aïn Temouchent, « tout est entré dans l'ordre pour le lancement de son exploitation incessamment », précisant que « le complexe de Beni Saf, situé dans la localité de Sidi Djelloul à mi-chemin du chef lieu de la wilaya de Aïn Temouchent, est composé de deux infrastructures à savoir le terminal arrivée du GZ4 acheminant du gaz à partir du gisement de Hassi R'mel sur une distance de 638 km, et la station de compression de gaz destinée à l'Espagne via un tube sous-marin de 200 km de longueur ». Ils précisent que «le GZ4, dont la capacité annuelle est estimée à 11,4 milliards de mètres cubes, est en grande partie destiné à alimenter le Medgaz (8 milliards m3 par an), la capacité restante étant réservée à fournir du gaz naturel pour les centrales électriques de Hadjret Ennous (Tipasa) et Terga (Aïn Temouchent) ainsi que la zone industrielle d'Arzew en fonction des besoins de chaque installation et aussi de la capacité du pipeline». Ayant une capacité de 8 milliards de mètres cubes de gaz par an, avec une longueur de plus de 1.000 km dont 550 km en territoire algérien et 210 km en mer Méditerranée, (le coût du projet qui est initialement évalué à 900 millions d'euros, a atteint plus d'un milliard d'euros dont plus de 420 millions concerne la partie algérienne), le gazoduc est déjà opérationnel sur le territoire algérien, alors que sa mise en service doit se faire incessamment. En effet, le projet du gazoduc Medgaz reliant directement les champs gaziers de Hassi R'Mel d'Algérie à l'Espagne est opérationnel dans sa partie algérienne et sa mise en service est imminente, selon des responsables du projet. Ainsi, la « station de compression de Beni Saf, alimentée par le pipe-line (GZ4) provenant de Hassi R'mel (Laghouat) est fin prête pour procéder au pompage du gaz vers le sud d'Espagne » a notamment affirmé, Mohamed Tayeb Cherif, directeur régional de la société de transport par canalisation (TRC), filiale du groupe Sonatrach. Celui-ci estime que l'ensemble des essais techniques et tous les menus détails préalables à sa mise en fonctionnement ont été terminés, d'où l'opportunité de le rendre opérationnel le plus tôt possible sachant que les responsables de ce projet attendent juste le feu vert pour son éventuelle exploitation. Aussi, les promoteurs de ce projet précisent que « tous les essais techniques inhérents au fonctionnement des équipements de traitement et de compression de gaz, à l'alimentation en énergie et la sécurité des installations sont achevés depuis presque deux années». Et depuis trois mois, les essais ont montré une efficience dans le système du gazoduc, notamment pour ce qui est de la mise à gaz expérimentale des équipements. L'important consiste, toutefois, à garantir une sécurité maximale et une fiabilité permanente du gazoduc dans la mesure où les paramètres d'hygiène, sécurité et environnement doivent être strictement et scrupuleusement respectés. Selon les responsables de ce projet, qui se sont exprimés devant la presse récemment à Aïn Temouchent, « tout est entré dans l'ordre pour le lancement de son exploitation incessamment », précisant que « le complexe de Beni Saf, situé dans la localité de Sidi Djelloul à mi-chemin du chef lieu de la wilaya de Aïn Temouchent, est composé de deux infrastructures à savoir le terminal arrivée du GZ4 acheminant du gaz à partir du gisement de Hassi R'mel sur une distance de 638 km, et la station de compression de gaz destinée à l'Espagne via un tube sous-marin de 200 km de longueur ». Ils précisent que «le GZ4, dont la capacité annuelle est estimée à 11,4 milliards de mètres cubes, est en grande partie destiné à alimenter le Medgaz (8 milliards m3 par an), la capacité restante étant réservée à fournir du gaz naturel pour les centrales électriques de Hadjret Ennous (Tipasa) et Terga (Aïn Temouchent) ainsi que la zone industrielle d'Arzew en fonction des besoins de chaque installation et aussi de la capacité du pipeline».