Un large front anti marche s'est constitué en l'espace de quelques jours, afin de « court-circuiter » la marche de samedi prochain. Si les autorités publiques sont les seules habilitées par la loi à tolérer ou interdire de telles manifestations, il n'en demeure pas moins que plusieurs associations, partis politiques et personnalités se relaient pour dénoncer la marche prévue après demain dans la capitale. Un large front anti marche s'est constitué en l'espace de quelques jours, afin de « court-circuiter » la marche de samedi prochain. Si les autorités publiques sont les seules habilitées par la loi à tolérer ou interdire de telles manifestations, il n'en demeure pas moins que plusieurs associations, partis politiques et personnalités se relaient pour dénoncer la marche prévue après demain dans la capitale. L'appel à la marche lancé par la Coordination nationale pour le changement démocratique (CNCD) ne fait pas l'unanimité au sein de la scène nationale. En effet, un large front antimarche s'est constitué en l'espace de quelques jours, afin de « court-circuiter » la marche de samedi prochain. Si les autorités publiques sont les seules habilitées par la loi à tolérer ou interdire de telles manifestations, il n'en demeure pas moins que plusieurs associations, partis politiques et personnalités se relaient pour dénoncer la marche prévue après demain dans la capitale. Selon des indiscrétions, la Centrale syndicale a mis en place des comités de vigilance dans les différentes entreprises et grands pôles industriels pour contrôler le mouvement des travailleurs et les prémunir d'une éventuelle tentation de prendre part à la marche. L'UGTA d'Abdelmadjid Sidi Saïd a déjà réuni à maintes reprises les présidents des différentes fédérations et les représentants de syndicats d'entreprises pour mener une campagne intempestive contre la marche du 12 février. De son côté, la Coordination nationale des associations de soutien au programme du président de la République a lancé un appel à l'ensemble « des militants et nationalistes sincères, notamment les jeunes, à faire preuve de vigilance, d'être prudents pour renforcer la paix et la stabilité du pays ». Même le mouvement des Archs a refait surface en cette occasion, non pour rallier l'initiative de la CNCD, loin s'en faut, mais pour dissuader les citoyens d'y prendre part. « Des personnes se sont fait passer pour des membres de cette organisation au sein de la Coordination nationale pour le changement et la démocratie pour la tenue de la marche du 12 février », lit-on dans un communiqué de cette structure citoyenne, qui parle de « complot » et de « dangereuse aventure ». Toujours autour de la marche du 12 février prochain, l'appel de la CNCD a remonté à la surface les vieilles dissensions au sein des partis politiques et des syndicats. C'est le cas du Front des forces socialistes (FFS). Le retrait de la direction nationale qui s'est démarquée de ladite marche a permis aux protestataires du parti de monter au créneau, accusant notamment le premier Secrétaire national, Karim Tabbou de freiner les initiatives citoyennes. Il est de même au sein du Syndicat national autonome des personnels de l'administration publique (SNAPAP), qui vient de rendre public un communiqué où il dément formellement sa participation à la prochaine marche. Tout en se démarquant de l'initiative de la CNCD, le Secrétaire général de ce syndicat, Belgacem Felfoul en l'occurrence, s'en prend à Rachid Malaoui qui, lui, avait appelé à participer à la marche au nom du SNAPAP. « Nous déclinons toute responsabilité quant à la personne qui parle au nom du SNAPAP, en l'occurrence M. Rachid Malaoui, ex-SG exclu des rangs de notre organisation », lit-on entre autres dans ledit communiqué. Le SNAPAP de Felfoul se démarque Le Syndicat national autonome des personnels de l'administration publique (SNAPAP), aile Felfoul, se démarque de la marche initiée par la Coordination nationale du changement démocratique (CNCD). « Nous portons à votre connaissance que ces informations sont considérées comme nulles et non avenues dont nous déclinons toute responsabilité », lit-on dans un communiqué qui précise que les articles parus dans les titres de la presse nationale ne concernent en aucun cas ledit syndicat. Une précision de taille : « Quant à la personne qui parle au nom du SNAPAP, en l'occurrence M. Malaoui Rachid, ex-secrétaire général exclu du rang de notre organisation lors du 5e congrès national tenu les 25 et 26 mai 2004 à Sidi Fredj (Alger), ce qui a été reconnu par les instances judiciaires (Cour suprême) en décembre 2008 ». Le SNAPAP, version Malaoui, qui se réclame également comme direction légale de ce syndicat est partie prenante de la marche du 12 février prochain. Selon le communiqué qui nous est parvenu, M. Felfoul Belgacem a été réélu en qualité de SG dudit syndicat, à l'issue du 6e congrès, dont le ministère du Travail a validé les résultats. Par ailleurs, le SNAPAP, version Felfoul appelle dans le même communiqué les directions des quotidiens nationaux « de ne plus publier ce dernier (Malaoui) du moment qu'il ne porte plus le statut de syndicaliste ». L'appel à la marche lancé par la Coordination nationale pour le changement démocratique (CNCD) ne fait pas l'unanimité au sein de la scène nationale. En effet, un large front antimarche s'est constitué en l'espace de quelques jours, afin de « court-circuiter » la marche de samedi prochain. Si les autorités publiques sont les seules habilitées par la loi à tolérer ou interdire de telles manifestations, il n'en demeure pas moins que plusieurs associations, partis politiques et personnalités se relaient pour dénoncer la marche prévue après demain dans la capitale. Selon des indiscrétions, la Centrale syndicale a mis en place des comités de vigilance dans les différentes entreprises et grands pôles industriels pour contrôler le mouvement des travailleurs et les prémunir d'une éventuelle tentation de prendre part à la marche. L'UGTA d'Abdelmadjid Sidi Saïd a déjà réuni à maintes reprises les présidents des différentes fédérations et les représentants de syndicats d'entreprises pour mener une campagne intempestive contre la marche du 12 février. De son côté, la Coordination nationale des associations de soutien au programme du président de la République a lancé un appel à l'ensemble « des militants et nationalistes sincères, notamment les jeunes, à faire preuve de vigilance, d'être prudents pour renforcer la paix et la stabilité du pays ». Même le mouvement des Archs a refait surface en cette occasion, non pour rallier l'initiative de la CNCD, loin s'en faut, mais pour dissuader les citoyens d'y prendre part. « Des personnes se sont fait passer pour des membres de cette organisation au sein de la Coordination nationale pour le changement et la démocratie pour la tenue de la marche du 12 février », lit-on dans un communiqué de cette structure citoyenne, qui parle de « complot » et de « dangereuse aventure ». Toujours autour de la marche du 12 février prochain, l'appel de la CNCD a remonté à la surface les vieilles dissensions au sein des partis politiques et des syndicats. C'est le cas du Front des forces socialistes (FFS). Le retrait de la direction nationale qui s'est démarquée de ladite marche a permis aux protestataires du parti de monter au créneau, accusant notamment le premier Secrétaire national, Karim Tabbou de freiner les initiatives citoyennes. Il est de même au sein du Syndicat national autonome des personnels de l'administration publique (SNAPAP), qui vient de rendre public un communiqué où il dément formellement sa participation à la prochaine marche. Tout en se démarquant de l'initiative de la CNCD, le Secrétaire général de ce syndicat, Belgacem Felfoul en l'occurrence, s'en prend à Rachid Malaoui qui, lui, avait appelé à participer à la marche au nom du SNAPAP. « Nous déclinons toute responsabilité quant à la personne qui parle au nom du SNAPAP, en l'occurrence M. Rachid Malaoui, ex-SG exclu des rangs de notre organisation », lit-on entre autres dans ledit communiqué. Le SNAPAP de Felfoul se démarque Le Syndicat national autonome des personnels de l'administration publique (SNAPAP), aile Felfoul, se démarque de la marche initiée par la Coordination nationale du changement démocratique (CNCD). « Nous portons à votre connaissance que ces informations sont considérées comme nulles et non avenues dont nous déclinons toute responsabilité », lit-on dans un communiqué qui précise que les articles parus dans les titres de la presse nationale ne concernent en aucun cas ledit syndicat. Une précision de taille : « Quant à la personne qui parle au nom du SNAPAP, en l'occurrence M. Malaoui Rachid, ex-secrétaire général exclu du rang de notre organisation lors du 5e congrès national tenu les 25 et 26 mai 2004 à Sidi Fredj (Alger), ce qui a été reconnu par les instances judiciaires (Cour suprême) en décembre 2008 ». Le SNAPAP, version Malaoui, qui se réclame également comme direction légale de ce syndicat est partie prenante de la marche du 12 février prochain. Selon le communiqué qui nous est parvenu, M. Felfoul Belgacem a été réélu en qualité de SG dudit syndicat, à l'issue du 6e congrès, dont le ministère du Travail a validé les résultats. Par ailleurs, le SNAPAP, version Felfoul appelle dans le même communiqué les directions des quotidiens nationaux « de ne plus publier ce dernier (Malaoui) du moment qu'il ne porte plus le statut de syndicaliste ».