Le projet du dédoublement de la voie ferrée, reliant Béjaïa à Beni-Mansour, sur une distance de près de 100 km, est rentré dans sa phase active avec l'engagement par l'Agence nationale d'étude, suivi et réalisations des infrastructures ferroviaires (ANESRIF) de l'enquête parcellaire, devant aboutir à l'indemnisation des riverains du tracé, selon la Direction des transports. Le projet, inscrit en réalisation durant le plan quinquennal 2010-2014 sera au terme d'un avis d'appel d'offres incessant, précise la Direction, indiquant que l'étude technique finalisée par un groupement de bureaux algéro-espagnol, en 2009, a dû subir un lifting supplémentaire de sorte à améliorer la courbe de son tracé. Cette étude prévoit le dédoublement de la voie, en empruntant la configuration de la ligne actuelle, mais en corrigeant toutes les courbures de ses virages, d'en éliminer d'autres, et de suspendre tous les passages à niveau (il y en a une centaine sur la ligne) s'y trouvant. Beaucoup d'anciennes gares, à l'instar de celle d'Akbou, connaîtront également un déplacement avec comme finalité la possibilité de faire rouler des trains à des vitesses atteignant 160 km/h, contre 70/80 km/h pour l'autorail actuellement. Sa caractéristique principale, étant sa dotation en nouveaux équipements de gestion et de signalisation, le système s'articulant sur une électrification totale de la ligne et une gestion télécommandée. Il y est prévu, en effet, l'injection d'un système électronique, qui suppose une liaison entre balises sur la voie, considéré comme un nec plus ultra au plan technologique. Sa réalisation, par delà la consolidation des voies de communication avec les wilayas limitrophes, est de nature à bouleverser complètement le transport dans la wilaya, aussi bien celui des voyageurs que fret. C'est également une bouée de sauvetage inespérée pour le port qui, avec le dynamisme qui le caractérise, va pouvoir envisager une activité plus conséquente. Avec le rail, il y trouve une fabuleuse opportunité pour dégager rapidement son fret extra-muros. Cette situation va également influer sur l'état des routes littéralement engorgées depuis Akbou jusqu'à Béjaïa et qui vont pouvoir se soulager en contrebalançant une partie du trafic sur les voies ferrées, en attendant la réalisation de la pénétrante devant relier Béjaïa à l'autoroute Est-ouest, prévue également sur budget centralisé dans le courant du plan quinquennal 2010-2014. Le projet du dédoublement de la voie ferrée, reliant Béjaïa à Beni-Mansour, sur une distance de près de 100 km, est rentré dans sa phase active avec l'engagement par l'Agence nationale d'étude, suivi et réalisations des infrastructures ferroviaires (ANESRIF) de l'enquête parcellaire, devant aboutir à l'indemnisation des riverains du tracé, selon la Direction des transports. Le projet, inscrit en réalisation durant le plan quinquennal 2010-2014 sera au terme d'un avis d'appel d'offres incessant, précise la Direction, indiquant que l'étude technique finalisée par un groupement de bureaux algéro-espagnol, en 2009, a dû subir un lifting supplémentaire de sorte à améliorer la courbe de son tracé. Cette étude prévoit le dédoublement de la voie, en empruntant la configuration de la ligne actuelle, mais en corrigeant toutes les courbures de ses virages, d'en éliminer d'autres, et de suspendre tous les passages à niveau (il y en a une centaine sur la ligne) s'y trouvant. Beaucoup d'anciennes gares, à l'instar de celle d'Akbou, connaîtront également un déplacement avec comme finalité la possibilité de faire rouler des trains à des vitesses atteignant 160 km/h, contre 70/80 km/h pour l'autorail actuellement. Sa caractéristique principale, étant sa dotation en nouveaux équipements de gestion et de signalisation, le système s'articulant sur une électrification totale de la ligne et une gestion télécommandée. Il y est prévu, en effet, l'injection d'un système électronique, qui suppose une liaison entre balises sur la voie, considéré comme un nec plus ultra au plan technologique. Sa réalisation, par delà la consolidation des voies de communication avec les wilayas limitrophes, est de nature à bouleverser complètement le transport dans la wilaya, aussi bien celui des voyageurs que fret. C'est également une bouée de sauvetage inespérée pour le port qui, avec le dynamisme qui le caractérise, va pouvoir envisager une activité plus conséquente. Avec le rail, il y trouve une fabuleuse opportunité pour dégager rapidement son fret extra-muros. Cette situation va également influer sur l'état des routes littéralement engorgées depuis Akbou jusqu'à Béjaïa et qui vont pouvoir se soulager en contrebalançant une partie du trafic sur les voies ferrées, en attendant la réalisation de la pénétrante devant relier Béjaïa à l'autoroute Est-ouest, prévue également sur budget centralisé dans le courant du plan quinquennal 2010-2014.