La cour d'Alger se prononcera le 23 février sur le l'affaire en appel de l'Institut Pasteur d'Algérie (IPA) impliquant 10 de ses cadres. Le président de la chambre correctionnelle près la cour d'Alger, le juge Benkherchi Omar a décidé, mercredi, de mettre l'affaire en délibéré après avoir entendu les accusés et les plaidoiries de la défense. Les mis en cause sont accusés de passation de marchés publics contraires à la législation, dilapidation de deniers publics, obtention d'avantages injustifiés et négligence manifeste ayant causé un préjudice à l'Etat. Les accusés avaient fait appel de la décision de la justice prononcée à leur encontre en première instance par le tribunal de Sidi M'Hamed, en date du 13 octobre 2010, les condamnant à des peines allant d'une année de prison avec sursis à 10 ans de prison ferme. Lors du procès, les accusés qui se sont présentés tour à tour devant le juge Benkharchi Omar ont rejeté les chefs d'inculpation retenus contre eux. Certains ont même tenté d'impliquer d'autres personnes. Selon l'arrêt de renvoi, l'affaire remonte à 2005, lorsque les services de sécurité ont reçu une lettre anonyme concernant l'acquisition par l'IPA d'un important lot de vaccins contre la grippe, la tuberculose, la rougeole et des vaccins pour nourrissons auprès de quatre laboratoires étrangers par voie de marchés publics douteux. La cour d'Alger se prononcera le 23 février sur le l'affaire en appel de l'Institut Pasteur d'Algérie (IPA) impliquant 10 de ses cadres. Le président de la chambre correctionnelle près la cour d'Alger, le juge Benkherchi Omar a décidé, mercredi, de mettre l'affaire en délibéré après avoir entendu les accusés et les plaidoiries de la défense. Les mis en cause sont accusés de passation de marchés publics contraires à la législation, dilapidation de deniers publics, obtention d'avantages injustifiés et négligence manifeste ayant causé un préjudice à l'Etat. Les accusés avaient fait appel de la décision de la justice prononcée à leur encontre en première instance par le tribunal de Sidi M'Hamed, en date du 13 octobre 2010, les condamnant à des peines allant d'une année de prison avec sursis à 10 ans de prison ferme. Lors du procès, les accusés qui se sont présentés tour à tour devant le juge Benkharchi Omar ont rejeté les chefs d'inculpation retenus contre eux. Certains ont même tenté d'impliquer d'autres personnes. Selon l'arrêt de renvoi, l'affaire remonte à 2005, lorsque les services de sécurité ont reçu une lettre anonyme concernant l'acquisition par l'IPA d'un important lot de vaccins contre la grippe, la tuberculose, la rougeole et des vaccins pour nourrissons auprès de quatre laboratoires étrangers par voie de marchés publics douteux.