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Ce qu'il faut savoir
Angiographie
Publié dans Le Midi Libre le 06 - 03 - 2011

Visualiser l'intérieur de nos vaisseaux ! C'est ce que permet l'angiographie ou angéiographie. Réalisé par un radiologue, cet examen médical est précisément appelé artériographie, lorsqu'il concerne une artère. Et phlébographie, quand le médecin explore une veine. Découverte.
Quelles sont les indications ?
Ce type d'examen est notamment indiqué en cas de suspicion d'une maladie vasculaire, d'une malformation artérielle ou veineuse. Il permet aussi de mettre en évidence un rétrécissement ou une occlusion d'une artère ou d'une veine.
L'angiographie est réalisée sous anesthésie locale ou générale, selon les cas. Elle débute par une ponction au niveau d'une artère. Il s'agit généralement de la carotide (dans le cou), de l'artère humérale (au niveau du coude) ou fémorale (à l'aine) selon que la zone à investiguer se situe au niveau du cerveau, du cœur, de l'œil, du poumon… Le médecin introduit un cathéter, autrement dit un tube flexible dont il va suivre la progression sur un écran de contrôle. Cet instrument va servir à injecter un produit de contraste iodé qui va colorer les vaisseaux. Une fois l'examen terminé et les clichés radiologiques effectués, le cathéter est retiré et le point de ponction comprimé pendant quelques minutes.
Des risques ?
Outre des réactions locales au point de ponction (formation d'un hématome par exemple), le risque principal est lié à une réaction d'intolérance au produit iodé. C'est pourquoi les patients allergiques doivent informer le médecin de leurs antécédents éventuels. Quant au risque thrombo-embolique lié au cheminement du cathéter, il est très rare et serait inférieur à 1 %.
Visualiser l'intérieur de nos vaisseaux ! C'est ce que permet l'angiographie ou angéiographie. Réalisé par un radiologue, cet examen médical est précisément appelé artériographie, lorsqu'il concerne une artère. Et phlébographie, quand le médecin explore une veine. Découverte.
Quelles sont les indications ?
Ce type d'examen est notamment indiqué en cas de suspicion d'une maladie vasculaire, d'une malformation artérielle ou veineuse. Il permet aussi de mettre en évidence un rétrécissement ou une occlusion d'une artère ou d'une veine.
L'angiographie est réalisée sous anesthésie locale ou générale, selon les cas. Elle débute par une ponction au niveau d'une artère. Il s'agit généralement de la carotide (dans le cou), de l'artère humérale (au niveau du coude) ou fémorale (à l'aine) selon que la zone à investiguer se situe au niveau du cerveau, du cœur, de l'œil, du poumon… Le médecin introduit un cathéter, autrement dit un tube flexible dont il va suivre la progression sur un écran de contrôle. Cet instrument va servir à injecter un produit de contraste iodé qui va colorer les vaisseaux. Une fois l'examen terminé et les clichés radiologiques effectués, le cathéter est retiré et le point de ponction comprimé pendant quelques minutes.
Des risques ?
Outre des réactions locales au point de ponction (formation d'un hématome par exemple), le risque principal est lié à une réaction d'intolérance au produit iodé. C'est pourquoi les patients allergiques doivent informer le médecin de leurs antécédents éventuels. Quant au risque thrombo-embolique lié au cheminement du cathéter, il est très rare et serait inférieur à 1 %.


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