Les familles sinistrées du tremblement de terre de 2003 ont barré la route reliant la ville de Tizi-Ouzou à Boukhalfa, hier, à hauteur de la Piscine olympique. L'action de protestation a eu lieu hier lundi et avant-hier durant toute la journée. Selon un représentant des familles sinistrées, cette manifestation leur a semblé être leur dernière issue pour se faire entendre de la part des autorités concernées. Plus d'une fois, les représentants des familles sinistrées en question ont été reçus par des resposables locaux mais ces rencontres n'ont pas dépassé le stade des promesses. "Nous avons exposé notre problème au chef de cabinet du wali à deux reprises. Nous avons aussi tenu des réunions avec le chef de daïra et des responsables à l'Assemblée populaire de wilaya. Mais nous n'avons eu droit qu'à des promesses qui n'ont pas été tenues", nous confie l'un des membres de ces familles. Ces dernières vivent sous des tentes implantées à l'intérieur de l'enceinte de la Piscine olympique.Il s'agit d'une centaine de personnes vivant dans des conditions difficiles depuis huit ans. Un minimum de cadre d'hygiène n'existe pas dans le site où vivent ces familles. Au lendemain du séisme de 2003, plusieurs sites avait été implantés à Tizi-Ouzou pour loger les familles dont les habitations ont été classées dans la catégorie "rouge". Ceux de la Piscine olympique ne savent plus à quel saint se vouer vu l'absence d'une quelconque oreille attentive. L'ambassadeur de France en visite dans la wilaya La réouverture du CCF à l'étude Xavier Driencourt, ambassadeur de France à Alger a été l'hôte de la ville de Tizi-Ouzou hier lundi. Lors de son déplacement, il a rencontré le premier responsable de la wilaya, Abdelkader Bouazghi avant de se rendre au siège du presbytère de la ville. L'objectif de cette rencontre entre l'ambassadeur et le wali a trait à la réouverture de l'antenne du Centre culturel français (CCF) fermée en 1994 suite à la dégradation de la situation sécuritaire dans la région. L'antenne du CCF de Tizi-Ouzou avait baissé rideau au lendemain de l'acte terroriste ayant ciblé quatre Pères blancs. L'antenne du CCF de Tizi-Ouzou sera la dernière, à l'échelle nationale, à rouvrir ses portes, cela après la relance de toutes les antennes du CCF à travers le pays. Les familles sinistrées du tremblement de terre de 2003 ont barré la route reliant la ville de Tizi-Ouzou à Boukhalfa, hier, à hauteur de la Piscine olympique. L'action de protestation a eu lieu hier lundi et avant-hier durant toute la journée. Selon un représentant des familles sinistrées, cette manifestation leur a semblé être leur dernière issue pour se faire entendre de la part des autorités concernées. Plus d'une fois, les représentants des familles sinistrées en question ont été reçus par des resposables locaux mais ces rencontres n'ont pas dépassé le stade des promesses. "Nous avons exposé notre problème au chef de cabinet du wali à deux reprises. Nous avons aussi tenu des réunions avec le chef de daïra et des responsables à l'Assemblée populaire de wilaya. Mais nous n'avons eu droit qu'à des promesses qui n'ont pas été tenues", nous confie l'un des membres de ces familles. Ces dernières vivent sous des tentes implantées à l'intérieur de l'enceinte de la Piscine olympique.Il s'agit d'une centaine de personnes vivant dans des conditions difficiles depuis huit ans. Un minimum de cadre d'hygiène n'existe pas dans le site où vivent ces familles. Au lendemain du séisme de 2003, plusieurs sites avait été implantés à Tizi-Ouzou pour loger les familles dont les habitations ont été classées dans la catégorie "rouge". Ceux de la Piscine olympique ne savent plus à quel saint se vouer vu l'absence d'une quelconque oreille attentive. L'ambassadeur de France en visite dans la wilaya La réouverture du CCF à l'étude Xavier Driencourt, ambassadeur de France à Alger a été l'hôte de la ville de Tizi-Ouzou hier lundi. Lors de son déplacement, il a rencontré le premier responsable de la wilaya, Abdelkader Bouazghi avant de se rendre au siège du presbytère de la ville. L'objectif de cette rencontre entre l'ambassadeur et le wali a trait à la réouverture de l'antenne du Centre culturel français (CCF) fermée en 1994 suite à la dégradation de la situation sécuritaire dans la région. L'antenne du CCF de Tizi-Ouzou avait baissé rideau au lendemain de l'acte terroriste ayant ciblé quatre Pères blancs. L'antenne du CCF de Tizi-Ouzou sera la dernière, à l'échelle nationale, à rouvrir ses portes, cela après la relance de toutes les antennes du CCF à travers le pays.