La révision de la Constitution, l'élection d'une assemblée constituante, les revendications de changement, l'Alliance présidentielle et les dernières mesures prises par le Conseil des ministres en faveur des jeunes ont été les principales questions sur lesquelles Abdelaziz Belkhadem a exprimé la position de son parti, le FLN. La révision de la Constitution, l'élection d'une assemblée constituante, les revendications de changement, l'Alliance présidentielle et les dernières mesures prises par le Conseil des ministres en faveur des jeunes ont été les principales questions sur lesquelles Abdelaziz Belkhadem a exprimé la position de son parti, le FLN. Dans une interview accordée à l'APS, le secrétaire général du vieux parti a, tantôt implicitement tantôt explicitement, dit son opposition aux revendications de changements avancées par de nombreuses forces politiques et des associations de la société civile. «La scène politique en Algérie est pluraliste et il est tout à fait naturel de voir des initiatives politiques de ce genre provenir de partis de l'opposition, d'associations de la société civile et de personnalités politiques, reflétant ainsi la bonne santé de la pratique politique en Algérie» a-t-il indiqué en réponse à une question relative aux initiatives provenant de partis de l'opposition, d'associations de la société civile et de personnalités politiques en faveur d'un changement. Et d'ajouter que «nous ne trouvons pas ces initiatives étranges, comme nous ne les répugnons pas (…) il est normal, dans une scène politique pluraliste, de trouver des partis qui proposent un changement et qui expriment leurs idées». Ces derniers temps, une grande partie de la classe politique qui se recrute essentiellement au sein des partis de l'opposition, rejointe par quelques personnalités politiques, dont Abdelhamid Mehri et Mouloud Hamrouche, a émis nombre de propositions toutes appelant au changement. Des appels que, de toute évidence, n'agrée pas l'ex-parti unique. Abdelaziz Belkhadem, qui ne rate pourtant aucune occasion pour dire que son parti est pour la conservation des libertés démocratiques, a aussi implicitement cautionné la mesure non écrite interdisant l'octroi d'un agrément pour les nouveaux partis politiques. Dahou Ould Kablia, le ministre de l'Intérieur a affirmé avant-hier que «la porte n'est pas fermée, mais il y a un agenda et chaque chose en son temps». Belkhadem a, en indiquant que cette mesure de refus d'octroi d'agréments à de nouveaux partis politiques est «momentanée», voulu juste la justifier au lieu de s'exprimer sur son bien-fondé et ses soubassements tant juridiques que politiques. Poursuivant, le chef de file du FLN a dit son opposition à l'élection d'une assemblée constituante, une revendication notamment avancée par le FFS depuis l'aube de sa création au début des années soixante et le Parti des travailleurs. Abdelaziz Belkhadem dira ainsi que son parti ne peut pas soutenir une proposition politique qui fait abstraction de tout ce qui a été réalisé depuis l'indépendance, en considérant que cela équivaut à «un départ à zéro». Par contre, Abdelaziz Belkhadem s'est montré très favorable à une révision profonde de la Constitution, une demande qu'il n'a cessé de défendre tout au long ces dernières années. Belkhadem, qui a rappelé la volonté du chef de l'Etat de réviser en profondeur la Constitution, considère que cette dernière, élaborée en 1996, ne répond plus aux exigences de l'étape actuelle. Abdelaziz Bouteflika a proposé, pour rappel, une révision partielle de la loi fondamentale. Une proposition entérinée par le Parlement le 12 novembre 2008.Toutefois, le secrétaire général du FLN ne souffle mot sur la nature de cette révision alors que de plus en plus de voix s'élèvent pour appeler à l'instauration d'un régime parlementaire. Il a par ailleurs défendu l'Alliance présidentielle en soutenant que les trois partis la composant «ne monopolisent pas» la scène nationale ajoutant que «l'Alliance n'est pas un nouveau parti dans lequel les trois formations qui le composent se seraient diluées». À propos des appels au changement et à l'organisation de marches et manifestations, Belkhadem, et après avoir mis en avant l'importance des dernières mesures du Conseil des ministres relatives à l'emploi des jeunes, souligne que «l'Algérie, et grâce à la maturité de son peuple, refuse de suivre tout courant dévastateur se cachant derrière la nécessité d'un changement démocratique pour mieux déstabiliser le pays». Dans une interview accordée à l'APS, le secrétaire général du vieux parti a, tantôt implicitement tantôt explicitement, dit son opposition aux revendications de changements avancées par de nombreuses forces politiques et des associations de la société civile. «La scène politique en Algérie est pluraliste et il est tout à fait naturel de voir des initiatives politiques de ce genre provenir de partis de l'opposition, d'associations de la société civile et de personnalités politiques, reflétant ainsi la bonne santé de la pratique politique en Algérie» a-t-il indiqué en réponse à une question relative aux initiatives provenant de partis de l'opposition, d'associations de la société civile et de personnalités politiques en faveur d'un changement. Et d'ajouter que «nous ne trouvons pas ces initiatives étranges, comme nous ne les répugnons pas (…) il est normal, dans une scène politique pluraliste, de trouver des partis qui proposent un changement et qui expriment leurs idées». Ces derniers temps, une grande partie de la classe politique qui se recrute essentiellement au sein des partis de l'opposition, rejointe par quelques personnalités politiques, dont Abdelhamid Mehri et Mouloud Hamrouche, a émis nombre de propositions toutes appelant au changement. Des appels que, de toute évidence, n'agrée pas l'ex-parti unique. Abdelaziz Belkhadem, qui ne rate pourtant aucune occasion pour dire que son parti est pour la conservation des libertés démocratiques, a aussi implicitement cautionné la mesure non écrite interdisant l'octroi d'un agrément pour les nouveaux partis politiques. Dahou Ould Kablia, le ministre de l'Intérieur a affirmé avant-hier que «la porte n'est pas fermée, mais il y a un agenda et chaque chose en son temps». Belkhadem a, en indiquant que cette mesure de refus d'octroi d'agréments à de nouveaux partis politiques est «momentanée», voulu juste la justifier au lieu de s'exprimer sur son bien-fondé et ses soubassements tant juridiques que politiques. Poursuivant, le chef de file du FLN a dit son opposition à l'élection d'une assemblée constituante, une revendication notamment avancée par le FFS depuis l'aube de sa création au début des années soixante et le Parti des travailleurs. Abdelaziz Belkhadem dira ainsi que son parti ne peut pas soutenir une proposition politique qui fait abstraction de tout ce qui a été réalisé depuis l'indépendance, en considérant que cela équivaut à «un départ à zéro». Par contre, Abdelaziz Belkhadem s'est montré très favorable à une révision profonde de la Constitution, une demande qu'il n'a cessé de défendre tout au long ces dernières années. Belkhadem, qui a rappelé la volonté du chef de l'Etat de réviser en profondeur la Constitution, considère que cette dernière, élaborée en 1996, ne répond plus aux exigences de l'étape actuelle. Abdelaziz Bouteflika a proposé, pour rappel, une révision partielle de la loi fondamentale. Une proposition entérinée par le Parlement le 12 novembre 2008.Toutefois, le secrétaire général du FLN ne souffle mot sur la nature de cette révision alors que de plus en plus de voix s'élèvent pour appeler à l'instauration d'un régime parlementaire. Il a par ailleurs défendu l'Alliance présidentielle en soutenant que les trois partis la composant «ne monopolisent pas» la scène nationale ajoutant que «l'Alliance n'est pas un nouveau parti dans lequel les trois formations qui le composent se seraient diluées». À propos des appels au changement et à l'organisation de marches et manifestations, Belkhadem, et après avoir mis en avant l'importance des dernières mesures du Conseil des ministres relatives à l'emploi des jeunes, souligne que «l'Algérie, et grâce à la maturité de son peuple, refuse de suivre tout courant dévastateur se cachant derrière la nécessité d'un changement démocratique pour mieux déstabiliser le pays».