Les médecins résidents entameront à partir d'aujourd'hui une grève de deux jours après leur tenue de deux sit-in, lundi et vendredi derniers, pour revendiquer l'amélioration de leurs conditions socioprofessionnelles et pédagogiques. «Nous avons des revendications socioprofessionnelles et pédagogiques. Nous demandons qu'on nous écoute, et qu'on puisse travailler dans des conditions décentes qui permettent une meilleure prise en charge du citoyen en matière de soins», a déclaré le docteur Amine Benhabib. Les revendications des médecins résidents portent notamment sur l'abrogation du Service civil, la révision de l'actuel statut, un relèvement des salaires et la validation des formations spécialisées nationales et internationales effectuées par les résidents au cours de leurs cursus. Ce mouvement de grève, rappelons-le, est le deuxième après celui des paramédicaux qui secoue le département de Ould Abbès en ce mois de mars, tous demandent l'amélioration de leurs conditions socioprofessionnelle et un peu plus de considération de la part de leurs tutelles. Il faut noter que le ministère de la Santé n'a eu jusque lài aucune réaction et les médecins attendent toujours «une discussion directe» avec le département de Ould Abbès affin de trouver «des solutions définitives à leurs problèmes». Il est important de noter aussi que nous avons multiplé les tentatives pour tenter de de joindre la chargée de communication du ministère de la Santé et de la Réforme hospitalière pour plus d'information, mais apparemment la cellule de communication ne communique pas... Les médecins résidents entameront à partir d'aujourd'hui une grève de deux jours après leur tenue de deux sit-in, lundi et vendredi derniers, pour revendiquer l'amélioration de leurs conditions socioprofessionnelles et pédagogiques. «Nous avons des revendications socioprofessionnelles et pédagogiques. Nous demandons qu'on nous écoute, et qu'on puisse travailler dans des conditions décentes qui permettent une meilleure prise en charge du citoyen en matière de soins», a déclaré le docteur Amine Benhabib. Les revendications des médecins résidents portent notamment sur l'abrogation du Service civil, la révision de l'actuel statut, un relèvement des salaires et la validation des formations spécialisées nationales et internationales effectuées par les résidents au cours de leurs cursus. Ce mouvement de grève, rappelons-le, est le deuxième après celui des paramédicaux qui secoue le département de Ould Abbès en ce mois de mars, tous demandent l'amélioration de leurs conditions socioprofessionnelle et un peu plus de considération de la part de leurs tutelles. Il faut noter que le ministère de la Santé n'a eu jusque lài aucune réaction et les médecins attendent toujours «une discussion directe» avec le département de Ould Abbès affin de trouver «des solutions définitives à leurs problèmes». Il est important de noter aussi que nous avons multiplé les tentatives pour tenter de de joindre la chargée de communication du ministère de la Santé et de la Réforme hospitalière pour plus d'information, mais apparemment la cellule de communication ne communique pas...