Le dossier des sinistrés dans la wilaya de Boumerdès semble loin d'être clos. En effet plusieurs dizaines de sinistrés ont observé, hier, devant le siège de la wilaya, un rassemblement pour réclamer l'octroi des actes de propriété des logements qu'ils occupent depuis déjà plusieurs années. Ces sinistrés qui avaient opté pour la formule de relogement au lendemain de séisme de 2003 ayant ébranlé Boumerdès, réclament aujourd'hui la suppression des frais de loyer en raison de l'incapacité de plusieurs d'entre eux à payer ces frais. Ils ont exigé des autorités de tenir les promesses faites en 2003 de reloger cette catégorie de sinistrés. Ils sont près de 8.000 sinistrés à avoir choisi cette formule du fait que plusieurs d'entre eux n'ont pas les moyens financiers de construire leurs propres toits. Les protestataires ont exigé d'être reçus par le premier magistrat de la wilaya et ont refusé de prendre langue avec le chef de cabinet qui, selon eux, ne fait que des promesses sans lendemain. À l'heure où nous mettons sous presse, les sinistrés observaient encore leur sit-in et menacent d'inscrire leur action dans la durée si aucune solution n'est apportée à leurs doléances. Le dossier des sinistrés dans la wilaya de Boumerdès semble loin d'être clos. En effet plusieurs dizaines de sinistrés ont observé, hier, devant le siège de la wilaya, un rassemblement pour réclamer l'octroi des actes de propriété des logements qu'ils occupent depuis déjà plusieurs années. Ces sinistrés qui avaient opté pour la formule de relogement au lendemain de séisme de 2003 ayant ébranlé Boumerdès, réclament aujourd'hui la suppression des frais de loyer en raison de l'incapacité de plusieurs d'entre eux à payer ces frais. Ils ont exigé des autorités de tenir les promesses faites en 2003 de reloger cette catégorie de sinistrés. Ils sont près de 8.000 sinistrés à avoir choisi cette formule du fait que plusieurs d'entre eux n'ont pas les moyens financiers de construire leurs propres toits. Les protestataires ont exigé d'être reçus par le premier magistrat de la wilaya et ont refusé de prendre langue avec le chef de cabinet qui, selon eux, ne fait que des promesses sans lendemain. À l'heure où nous mettons sous presse, les sinistrés observaient encore leur sit-in et menacent d'inscrire leur action dans la durée si aucune solution n'est apportée à leurs doléances.