Le bilan des activités réalisées par les éléments des deux directions de la Sûreté nationale, à savoir la Direction de la sécurité publique (DSP) et celle de la police judiciaire (DPJ), durant l'année écoulée est, comparativement à celui de 2009, « positif ». C'est ce qu'ont indiqué, hier à Alger, les deux directeurs respectifs, les commissaires divisionnaires Amrane Achour et Aziz Lafani, en exposant les bilans de leurs directions. Le bilan des activités réalisées par les éléments des deux directions de la Sûreté nationale, à savoir la Direction de la sécurité publique (DSP) et celle de la police judiciaire (DPJ), durant l'année écoulée est, comparativement à celui de 2009, « positif ». C'est ce qu'ont indiqué, hier à Alger, les deux directeurs respectifs, les commissaires divisionnaires Amrane Achour et Aziz Lafani, en exposant les bilans de leurs directions. Pour ce qui est des activités liées à la lutte contre la violence dans les stades, la DSP a enregistré 88 incidents sportifs et 481 personnes impliquées dont 78 mineurs en 2010, contre 240 cas impliquant 943 individus dont 198 mineurs en 2009. Concernant la prévention et circulation routières, une baisse de quelque 14% a été enregistrée dans le nombre des accidents, des décédés et des blessés. 15.894 accidents ont été constatés en 2010 contre 18.351 en 2009. Ces accidents ont engendré le décès de 666 personnes et des blessures à 18.173 autres l'année écoulée, et ont causé la mort de 778 et des blessures à 21.197 personnes en 2009. Sur ce dernier point, il convient de noter que la principale cause des accidents de la route de l'année 2010 serait l'être humain. En terme d'opérations dissuasives, 30.196 barrages routiers ont été érigés, outre les 125.837 déjà mis en place depuis 2009. Le nombre des véhicules contrôlés ainsi que celui des patrouilles pédestres et celles motorisées a également augmenté. Pour celui des opérations effectuées par l'équipage cinémomètre Radar, il a reculé de 842 opérations. Les opérations répressives incluant les délits routiers, les mises en fourrière et autres ont, quant à elles, baissé. Notons, dans ce sens, que le taux d'acquittement des amendes forfaitaires a atteint en 2010 plus 95%. Concernant les différentes activités de la Police judiciaire (DPJ), notamment les affaires et les suites judiciaires en matière de criminalité de droit commun une baisse de 0,57% d'affaires enregistrées, une hausse de 3,56% de celles résolues ainsi qu'une baisse de 0,52% ont été constatées durant l'année passée. Citons, en terme de résolution d'affaires, le taux de près de 90% d'affaires d'homicides qui ont été résolues. Outre cette infraction, près de 65% des affaires relatives à des coups et blessures volontaires ont été également résolues. Concernant les atteintes aux bonnes mœurs, regroupant les avortements, l'exposition et le délaissement des enfants ou des incapables, les crimes et délits tendant à empêcher l'identification de l'enfant, l'enlèvement de mineurs, les excitations des mineurs à la débauche et à la prostitution ainsi que l'abandon de famille, près de 80% d'affaires ont été résolues. S'agissant de la criminalité économique et judiciaire, M. Lafani a indiqué que « les 1.472 affaires économiques (enregistrées en 2010) ont été toutes été résolues (…) celles relatives à la criminalité financière ont enregistré un taux d'élucidation de 94 ,20% ». Concernant les infractions en matière de trafic et consommation de stupéfiants, « une baisse de 22,39% d'affaires enregistrées et de 29,76% d'individus impliqués » a été constatée. Notons enfin que les wilayas criminogènes, les plus touchées par l'ensemble de ces crimes et délits, sont Alger suivie d'Oran, Tébessa et Tlemcen puis la wilaya de Tamanrasset en matière d'immigration clandestine et de séjour irrégulier. Pour ce qui est des activités liées à la lutte contre la violence dans les stades, la DSP a enregistré 88 incidents sportifs et 481 personnes impliquées dont 78 mineurs en 2010, contre 240 cas impliquant 943 individus dont 198 mineurs en 2009. Concernant la prévention et circulation routières, une baisse de quelque 14% a été enregistrée dans le nombre des accidents, des décédés et des blessés. 15.894 accidents ont été constatés en 2010 contre 18.351 en 2009. Ces accidents ont engendré le décès de 666 personnes et des blessures à 18.173 autres l'année écoulée, et ont causé la mort de 778 et des blessures à 21.197 personnes en 2009. Sur ce dernier point, il convient de noter que la principale cause des accidents de la route de l'année 2010 serait l'être humain. En terme d'opérations dissuasives, 30.196 barrages routiers ont été érigés, outre les 125.837 déjà mis en place depuis 2009. Le nombre des véhicules contrôlés ainsi que celui des patrouilles pédestres et celles motorisées a également augmenté. Pour celui des opérations effectuées par l'équipage cinémomètre Radar, il a reculé de 842 opérations. Les opérations répressives incluant les délits routiers, les mises en fourrière et autres ont, quant à elles, baissé. Notons, dans ce sens, que le taux d'acquittement des amendes forfaitaires a atteint en 2010 plus 95%. Concernant les différentes activités de la Police judiciaire (DPJ), notamment les affaires et les suites judiciaires en matière de criminalité de droit commun une baisse de 0,57% d'affaires enregistrées, une hausse de 3,56% de celles résolues ainsi qu'une baisse de 0,52% ont été constatées durant l'année passée. Citons, en terme de résolution d'affaires, le taux de près de 90% d'affaires d'homicides qui ont été résolues. Outre cette infraction, près de 65% des affaires relatives à des coups et blessures volontaires ont été également résolues. Concernant les atteintes aux bonnes mœurs, regroupant les avortements, l'exposition et le délaissement des enfants ou des incapables, les crimes et délits tendant à empêcher l'identification de l'enfant, l'enlèvement de mineurs, les excitations des mineurs à la débauche et à la prostitution ainsi que l'abandon de famille, près de 80% d'affaires ont été résolues. S'agissant de la criminalité économique et judiciaire, M. Lafani a indiqué que « les 1.472 affaires économiques (enregistrées en 2010) ont été toutes été résolues (…) celles relatives à la criminalité financière ont enregistré un taux d'élucidation de 94 ,20% ». Concernant les infractions en matière de trafic et consommation de stupéfiants, « une baisse de 22,39% d'affaires enregistrées et de 29,76% d'individus impliqués » a été constatée. Notons enfin que les wilayas criminogènes, les plus touchées par l'ensemble de ces crimes et délits, sont Alger suivie d'Oran, Tébessa et Tlemcen puis la wilaya de Tamanrasset en matière d'immigration clandestine et de séjour irrégulier.