Le roi Hamad Ben Issa Al-Khalifa a annoncé, lundi 21 mars, que le Bahreïn avait "mis en échec un complot étranger", dans une allusion possible à l'Iran, lors d'une rencontre avec les chefs de la force commune du Golfe qui s'est déployée dans son pays. Le royaume de Bahreïn a mis en échec un complot étranger qui était fomenté depuis au moins vingt ou trente ans (...), contre les pays du Conseil de coopération du Golfe (CCG), a déclaré le roi, rapporte le journal Le Monde. "S'il avait réussi, ce complot se serait étendu à l'ensemble des pays du Conseil (Arabie Saoudite, Bahreïn, Emirats arabes unis, Qatar, Oman et Koweït)", a encore ajouté le souverain. Le roi Hamad a tenu ses propos, rapportés par l'agence officielle BNA, lors d'une rencontre dimanche soir avec des officiers du 'Bouclier de la péninsule', la force commune du CCG qui s'est déployée dans son pays pour aider à contenir la contestation chiite. Le souverain n'a pas précisé qui était derrière ce complot, mais sa déclaration intervient alors que les relations sont tendues entre Bahreïn et l'Iran. Téhéran a demandé, dimanche, à un diplomate bahreïni de quitter l'Iran en représailles contre l'expulsion d'un diplomate iranien de Manama. "Après les actions illogiques et incompréhensibles du gouvernement bahreïni (...), en particulier le renvoi d'un de nos diplomates, par mesure de réciprocité l'attaché de l'ambassade de Bahreïn a été convoqué et il lui a été demandé qu'un des diplomates de l'ambassade quitte l'Iran", a déclaré le porte-parole du ministère des affaires étrangères, Ramin Mehmanparast. Le quotidien bahreïni Al-Watan a rapporté lundi que les autorités avaient accordé soixante-douze heures à un diplomate iranien pour quitter le pays, l'accusant de 'violations', dont l'acheminement d'armes à Bahreïn. L'Iran avait rappelé son ambassadeur à Manama mercredi pour protester contre la répression par le pouvoir sunnite bahreïni des manifestants en majorité chiites Le roi Hamad Ben Issa Al-Khalifa a annoncé, lundi 21 mars, que le Bahreïn avait "mis en échec un complot étranger", dans une allusion possible à l'Iran, lors d'une rencontre avec les chefs de la force commune du Golfe qui s'est déployée dans son pays. Le royaume de Bahreïn a mis en échec un complot étranger qui était fomenté depuis au moins vingt ou trente ans (...), contre les pays du Conseil de coopération du Golfe (CCG), a déclaré le roi, rapporte le journal Le Monde. "S'il avait réussi, ce complot se serait étendu à l'ensemble des pays du Conseil (Arabie Saoudite, Bahreïn, Emirats arabes unis, Qatar, Oman et Koweït)", a encore ajouté le souverain. Le roi Hamad a tenu ses propos, rapportés par l'agence officielle BNA, lors d'une rencontre dimanche soir avec des officiers du 'Bouclier de la péninsule', la force commune du CCG qui s'est déployée dans son pays pour aider à contenir la contestation chiite. Le souverain n'a pas précisé qui était derrière ce complot, mais sa déclaration intervient alors que les relations sont tendues entre Bahreïn et l'Iran. Téhéran a demandé, dimanche, à un diplomate bahreïni de quitter l'Iran en représailles contre l'expulsion d'un diplomate iranien de Manama. "Après les actions illogiques et incompréhensibles du gouvernement bahreïni (...), en particulier le renvoi d'un de nos diplomates, par mesure de réciprocité l'attaché de l'ambassade de Bahreïn a été convoqué et il lui a été demandé qu'un des diplomates de l'ambassade quitte l'Iran", a déclaré le porte-parole du ministère des affaires étrangères, Ramin Mehmanparast. Le quotidien bahreïni Al-Watan a rapporté lundi que les autorités avaient accordé soixante-douze heures à un diplomate iranien pour quitter le pays, l'accusant de 'violations', dont l'acheminement d'armes à Bahreïn. L'Iran avait rappelé son ambassadeur à Manama mercredi pour protester contre la répression par le pouvoir sunnite bahreïni des manifestants en majorité chiites