L'Algérie adhère à la démarche de l'Union africaine (UA) et appuie la feuille de route qu'elle a élaborée pour une "solution durable et pacifique à la situation en Libye", a affirmé, hier à Addis-Abeba, M. Abdelkader Messahel, ministre délégué chargé des Affaires maghrébines et africaines. Intervenant à la réunion du comité de Haut niveau de l'UA, le ministre délégué a formulé une démarche en sept points susceptibles de conforter et de mettre en œuvre la feuille de route africaine pour un règlement de la crise libyenne et pour aboutir à un arrêt des opérations militaires. Il a estimé, dans ce cadre, que le comité devrait "réitérer son appel à un cessez-le-feu immédiat sur tout le territoire libyen et à la cessation de toutes les actions militaires d'où qu'elles viennent" et "appeler à la mise en place d'un mécanisme pour l'observation et la vérification du cessez-le-feu". M. Messahel a également suggéré que le comité "réitère sa demande de dépêcher en Libye la délégation des chefs d'Etat" qui le compose "pour nouer le dialogue entre les protagonistes de la crise" et plaidé pour une "coordination" des efforts des Nations unies avec ceux de l'organisation africaine et de son comité. L'Algérie adhère à la démarche de l'Union africaine (UA) et appuie la feuille de route qu'elle a élaborée pour une "solution durable et pacifique à la situation en Libye", a affirmé, hier à Addis-Abeba, M. Abdelkader Messahel, ministre délégué chargé des Affaires maghrébines et africaines. Intervenant à la réunion du comité de Haut niveau de l'UA, le ministre délégué a formulé une démarche en sept points susceptibles de conforter et de mettre en œuvre la feuille de route africaine pour un règlement de la crise libyenne et pour aboutir à un arrêt des opérations militaires. Il a estimé, dans ce cadre, que le comité devrait "réitérer son appel à un cessez-le-feu immédiat sur tout le territoire libyen et à la cessation de toutes les actions militaires d'où qu'elles viennent" et "appeler à la mise en place d'un mécanisme pour l'observation et la vérification du cessez-le-feu". M. Messahel a également suggéré que le comité "réitère sa demande de dépêcher en Libye la délégation des chefs d'Etat" qui le compose "pour nouer le dialogue entre les protagonistes de la crise" et plaidé pour une "coordination" des efforts des Nations unies avec ceux de l'organisation africaine et de son comité.