Les médecins résidents ont pris part, hier, à la réunion à laquelle le ministère de la Santé et de la Réforme hospitalière a appelé avant-hier. Les médecins résidents, qui disent avoir fait le premier pas puisque le ministère ne leur a envoyé aucune invitation officielle, ont tout de même envoyé pour assister à la réunion, 21 délégués, représentant le collectif autonome des médecins résidents algériens. Ces délégués ont représenté les médecins résidents de tout le pays afin de négocier les solutions avec leur tutelle. « Nous avons envoyé 21 délégués pour représenter tous les médecins résidents à travers le pays et ce, en dépit que la tutelle ne nous ait pas invité officiellement et qu'elle se soit contentée de faire appel aux directeurs des établissements hospitaliers », nous a affirmé le docteur Aider, membre du collectif et faisant partie des délégués des médecins résidents. La réunion a pris donc fin la fin de journée d'hier et les deux parties sont sorties avec la décision « d'installer trois commissions ayant pour missions l'étude des revendications des médecins résidents », nous a affirmé le docteur Merwane Sid-Ali, un des représentants des médecins résidents, membre du Collectif autonome des médecins résidents algériens, contacté hier par le Midi Libre. La tutelle a aussi promis à la délégation des médecins résidents de « contacter le ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique », concerné lui aussi par les revendications des médecins résidents afin de l'inviter à prendre part aux commissions mises en place et dont la première sera chargée, toujours selon notre interlocuteur, d'étudier les possibilité de l'abrogation de la loi décriée de même que tous les décrets portant sur la question du service civil, qui figure parmi les principales revendications des résidents. La deuxième commission quant à elle se chargera de la révision du statut particulier revendiqué par les résidents ainsi que de la révision des conditions socioprofessionnelles. La troisième commission aura en charge le côté pédagogique afin de répondre aux aspirations des médecins résidents et des étudiants en médecines. Il faut noter que les travaux de ces commissions débuteront, selon le docteur Merwane, aujourd'hui. Une assemblée générale du collectif autonome des médecins résidents algériens est prévue également aujourd'hui pour décider après concertation avec les médecins résidents, « le maintien ou la suspension du mouvement de grève qu'observent jusqu'ici les médecins résidents à travers tout le territoire national », nous a encore affirmé le docteur Merwane. Les médecins résidents ont pris part, hier, à la réunion à laquelle le ministère de la Santé et de la Réforme hospitalière a appelé avant-hier. Les médecins résidents, qui disent avoir fait le premier pas puisque le ministère ne leur a envoyé aucune invitation officielle, ont tout de même envoyé pour assister à la réunion, 21 délégués, représentant le collectif autonome des médecins résidents algériens. Ces délégués ont représenté les médecins résidents de tout le pays afin de négocier les solutions avec leur tutelle. « Nous avons envoyé 21 délégués pour représenter tous les médecins résidents à travers le pays et ce, en dépit que la tutelle ne nous ait pas invité officiellement et qu'elle se soit contentée de faire appel aux directeurs des établissements hospitaliers », nous a affirmé le docteur Aider, membre du collectif et faisant partie des délégués des médecins résidents. La réunion a pris donc fin la fin de journée d'hier et les deux parties sont sorties avec la décision « d'installer trois commissions ayant pour missions l'étude des revendications des médecins résidents », nous a affirmé le docteur Merwane Sid-Ali, un des représentants des médecins résidents, membre du Collectif autonome des médecins résidents algériens, contacté hier par le Midi Libre. La tutelle a aussi promis à la délégation des médecins résidents de « contacter le ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique », concerné lui aussi par les revendications des médecins résidents afin de l'inviter à prendre part aux commissions mises en place et dont la première sera chargée, toujours selon notre interlocuteur, d'étudier les possibilité de l'abrogation de la loi décriée de même que tous les décrets portant sur la question du service civil, qui figure parmi les principales revendications des résidents. La deuxième commission quant à elle se chargera de la révision du statut particulier revendiqué par les résidents ainsi que de la révision des conditions socioprofessionnelles. La troisième commission aura en charge le côté pédagogique afin de répondre aux aspirations des médecins résidents et des étudiants en médecines. Il faut noter que les travaux de ces commissions débuteront, selon le docteur Merwane, aujourd'hui. Une assemblée générale du collectif autonome des médecins résidents algériens est prévue également aujourd'hui pour décider après concertation avec les médecins résidents, « le maintien ou la suspension du mouvement de grève qu'observent jusqu'ici les médecins résidents à travers tout le territoire national », nous a encore affirmé le docteur Merwane.